Un groupe de scientifiques africains a lancé la semaine dernière un appel aux dirigeants politiques pour soutenir davantage la recherche en sciences et technologies dans le continent, avant le sommet Europe-Afrique d’Abidjan les 29 et 30 novembre. « Le continent africain souffre, malgré la compétence intellectuelle de ses chercheurs, de beaucoup d’insuffisances et de faiblesses en matière de recherche scientifique, de science et de technologie », écrivent les pétitionnaires dans cet « appel d’Abidjan 2017 en faveur de la science et la technologie ».
L’investissement public dans la recherche scientifique est inférieur à 0,5 % du PIB dans la plupart des pays africains, déplorent les chercheurs, relevant que « ce sont les pays qui ont investi dans la formation des ressources humaines et dans la science qui sont aujourd’hui soit émergents, soit développés ».
« Interpeller les décideurs africains »
Ce faible montant investi dans la recherche scientifique est largement inférieur à l’objectif de 1 % du PIB du « plan d’action de Lagos (1980-2000) », selon l’appel lancé à l’initiative de la ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique de Côte d’Ivoire, Ramata Ly-Bakayoko, et de chercheurs et universitaires d’Afrique de l’Ouest.
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« La situation de la recherche africaine est désastreuse, avec moins de 100 publications par an dans les grandes revues internationales, contre 3 000 pour l’Europe », souligne le professeur Daouda Aïdara, président de l’Académie des sciences, des arts, des cultures d’Afrique et des diasporas africaines, l’un des initiateurs de l’appel. « Pour que l’Afrique se développe, il faut absolument accorder plus de place à la recherche et à l’innovation, avec des budgets d’au moins 1 % du PIB ».
Avec leur appel d’Abidjan, les scientifiques entendent « interpeller les décideurs africains » à l’occasion du cinquième sommet Union africaine-Union européenne à Abidjan et demandent notamment la mise en place d’un « Conseil africain de la recherche scientifique et de l’innovation », à l’image du Conseil européen de la recherche. « Vous, décideurs et acteurs politiques de l’Union africaine, votre engagement à intégrer la recherche scientifique et technologique dans vos actions politiques sera déterminant pour l’avenir de notre continent », concluent-ils.
Avec Lemonde
La Fondation MTN, branche sociale de la filiale camerounaise de la compagnie de téléphonie mobile MTN, vient d’inaugurer le premier des cinq laboratoires scientifiques qu’elle s’est engagée à construire et à équiper dans cinq lycées du pays d’ici la fin de l’année 2015; notamment dans le cadre de son programme “Scientific Labs”
Logé au lycée bilingue de New Bell à Douala, ce laboratoire pilote réceptionné le 15 mai dernier est équipé d’un dispositif expérimental constitué d’un kit de matériels de physique, de chimie, de biologie, etc.
Ce matériel comprend de la verrerie avec des tubes à essai, des burettes, des pipettes, des fioles ; des balances, des charriots, des baromètres, des microscopes, des thermomètres, des modèles biologiques en plastique, des balances électroniques, une chambre à fumée en verre, des réactifs etc…
Les donateurs voient en cette infrastructure une occasion pour les élèves d’améliorer leur niveau d’études afin d’obtenir de meilleurs résultats scolaires.
“Grâce à ce joyau, nous avons la ferme conviction que les 3 991 élèves du Lycée bilingue de New-Bell pourront améliorer considérablement leurs résultats dans les examens de pratique scientifique”, a déclaré Félix Fon-Ndikum, le représentant du conseil d’administration de la Fondation MTN, au cours de la cérémonie d’inauguration et de réception de ce premier laboratoire.
“Nous avons grand espoir que ces laboratoires scientifiques vont susciter chez nos élèves l’envie d’approfondir la connaissance des sciences dans l’enseignement supérieur afin d’exercer plus tard dans ces domaines.”
Jean Melvin Akam, Secrétaire exécutif de la Fondation MTN
D’ailleurs, au Ministère des enseignements secondaires (Minesec), le projet “Scientific Labs” est perçu comme une véritable bouffée d’oxygène qui arrive dans un contexte marqué par une carence en matériels et en laboratoires de recherches dans les écoles.
“Ce don est le bienvenu surtout dans un environnement scolaire dans lequel les établissements se plaignent du manque de matériel pour faire des travaux pratiques”, souligne Helen Agbor Bessong, conseiller technique N°1 de ce ministère.
Cette dernière exhorte au passage les bénéficiaires de ces équipements à en faire un bon usage.
Justement, en cette période de préparation aux examens de fin d’année scolaire, ce don est fortement salué par les élèves des séries scientifiques du lycée bilingue de New-Bell.
Ceux-ci y voient un appui déterminant devant leur permettre d’affronter avec plus d’assurance les épreuves scientifiques très redoutées par les candidats aux examens officiels.
“Ces appareils arrivent au bon moment ; car, ils vont nous permettre de mieux préparer les examens et améliorer nos aptitudes pratiques”, témoigne Patrick Ndomo, élève en terminale dans cet établissement.
Pour sa part, Jean Melvin Akam, le secrétaire exécutif de la Fondation MTN, a des ambitions bien plus lointaines.
“Nous avons grand espoir que ces laboratoires scientifiques vont susciter chez nos élèves l’envie d’approfondir la connaissance des sciences dans l’enseignement supérieur afin d’exercer plus tard dans ces domaines ; car notre pays a besoin, pour se développer, d’éminents scientifiques, de médecins bien formés, et d’ingénieurs compétents”, dit-il.
En effet, selon ses promoteurs, le programme “Scientific Labs” vise au moins trois objectifs : développer chez les apprenants le sens de l’observation et de la précision ; donner aux jeunes Camerounais le goût de la recherche et de la démarche expérimentale ; favoriser les vocations dans le domaine des sciences et des technologies.
Pour la suite de l’opération, les établissements scolaires bénéficiaires du projet vont être progressivement choisis par la Fondation MTN en étroite collaboration avec le Minesec.
Avec Scidev
Interrompus depuis plusieurs semaines du faite du mot d’ordre de grève de la Fédération Estudiantine et Scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI), les cours à l’Université Félix Houphouët Boigny ont repris ce jeudi 28 juillet 2016. La FESCI au terme de son Assemblée Générale du mercredi 27 juillet, a suspendu son mot d’ordre et dit vouloir donner une chance aux négociations.
La FESCI fait remarquer qu’une bonne partie des points contenus dans leurs revendications a été prise en compte par les autorités. Et de son côté, elle décide de mettre un peu d’eau dans son vin et entamer à partir de ce moment des négociations pour la satisfaction des autres points.
Depuis près de deux semaines, nous avons observé une motion de grève et cette motion de grève avait plus de dix-sept points de revendications. Aujourd’hui nous sommes à la fin de la grève et nous avons eu certains acquis. Il est question pour nous de communiquer ces acquis et à partir de ces acquis qu’on puisse faire place au dialogue ,
a déclaré le secrétaire général de la FESCI Assi Fulgence Assi, demandant par ailleurs aux étudiants de regagner les amphis à compter de ce jeudi.
Parmi les points qui ont été pris en compte, figurent « la renonciation au projet de délogement de la citée du Campus au profit des athlètes de la Francophonie et la question des sessions uniques ». Concernant le dernier point, M. Assi informe que tous les doyens organiseront dans leur UFR respective deux sessions.
« Nos différents doyens disent n’avoir jamais eu l’intention d’organiser une seule session dans les unités de formation. Désormais, dans nos unités de formation, il y aura deux sessions », dit-il.
Cependant, la fédération appelle à la réintégration des quatre étudiants de l’Université Nangui Abrogoua , dont l’inscription a été suspendue. “Nous donnons 48 heures au Vice-président de l’Université Nangui Abrogoua de réintégrer sans condition nos quatre amis étudiants qui ont vu leur inscription suspendue”, lance t-il.
Avec Le Régionale
Le bilan provisoire des affrontements « violents » entre les forces de l’ordre et les étudiants, survenus ce lundi au campus de l’université Félix Houphouët Boigny fait état de plusieurs blessés dans les deux camps.
Des bureaux saccagés et des véhicules incendiés par les manifestants. Des douilles de gaz lacrymogènes et des pierres jonchaient encore le sol cet-après midi, comme constaté sur place par PMEPMIMAGAZINE.INFO .Un calme précaire régnait sur le campus universitaire.
Dans le cadre du Programme de décentralisation des Universités (Pdu) les ministres, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Ly Ramata Bakayoko et celui des Affaires étrangères, Mabri Toikeuse ont visité le vendredi 8 juillet 2016 l’Université de Man.
Au terme de sa visite, Mme Ly Ramata a animé un point de presse où elle a indiqué que cette Université accueillera sa première vague de trois mille étudiants dans le mois d’octobre 2016. Ceux-ci seront formés en agroforesterie, tourisme, mines et géologie. Expliquant le choix de ces filières, la ministre a révélé que c’est en fonction des potentialités de la région du Tonkpi, qu’elles ont été retenues. Outre le caractère pédagogique de l’Université de Man, la ministre s’est appesantie sur l’avancée des travaux. Sur ce sujet, elle a dit : « Je suis satisfaite. Avec l’avancée des travaux, nous savons que c’est dans le mois de septembre que l’Université sera livrée. Je suis vraiment satisfaite de ce qui est fait. Il y a une infrastructure minimale qui est déjà mise sur pieds. Notamment, un amphithéâtre de 500 places, des salles de travaux dirigés et des dortoirs avec 540 lits (…) L’innovation majeure, c’est que les différentes Universités seront interconnectées. Cela permettra de faire des cours en ligne ». Quant au ministre des Affaires étrangères, Mabri Toikeuse, il s’est réjoui de la construction de cet édifice dans sa région. Pour lui, elle favorisera ‘’irréversiblement’’ le développement du Tonkpi. « Je suis vraiment heureux de la construction de cet ouvrage de savoir, dans notre région qui regorge d’énormes potentialités minières, géologiques et touristiques. Elle favorisera le développement de notre région, dans la mesure où des activités se créeront. Nos parents pourront également envoyer leurs enfants à l’Université facilement », s’est-il exprimé, devant un parterre d’autorités préfectorales, régionales, coutumières et des parents d’élèves. Poursuivant, il a rassuré son hôte quant à la volonté des cadres du Tonkpi à œuvrer à l’insertion sociale des étudiants. Par ailleurs, le ministre des Affaires étrangères a convoqué séance tenante à son domicile privé de Man, une réunion avec les représentants de chaque couche socio-professionnelle de sa région, afin de trouver des moyens d’intégration des futurs locataires de l’Université. A l’instar des ministres, M. Malick Dembélé coordonnateur du Pdu, a souligné que l’objectif du programme est de doter chaque capitale régionale, choisie par le gouvernement, une université avec un horizon de 20.000 étudiants. « Nous voulons inviter les structures privées à accompagner ce projet. Dans ce programme, nous avons une réflexion sur l’impact de chacune de ces Universités dans son ancrage régional et environnemental, afin que l’université puisse agir sur l’environnement local en termes de recherche, et développement des ressources locales. Mais également créer des emplois dans les régions concernées », a-t-il conclu. Dans sa première phase, l’Université de Man a été construite sur une superficie de 113 hectares. Notons que le samedi 9 juillet 2016, la ministre Ly Ramata Bakayoko, accompagnée d’une forte délégation s’est rendue à Daloa, afin de visiter les travaux d’extension de l’Université Jean Lorougnon Guedé. Elle a visité le bâtiment du restaurant, le bureau des professeurs, un amphi, le nouvel édifice des travaux dirigés. Cette inspection s’est soldée par la remise des clés du bureau de quatre doyens.
avec abidjan.net
Le gouvernement ivoirien a lancé, jeudi, les inscriptions en ligne comptant pour la rentrée scolaire 2016-2017 qui est officiellement fixée au 15 septembre prochain, a appris APA, vendredi, à Abidjan, dans la capitale économique ivoirienne.
Selon le Directeur de cabinet de la ministre ivoirienne de l’éducation nationale, Assoumou Kabran, ces inscriptions en ligne se feront avec les mêmes opérateurs mobiles de l’année dernière, à savoir, Orange, Mtn et Moov .
Les tarifs de ces prestations sont fixés selon lui, à 3000 FCFA pour les élèves du public et à 6.000 FCFA pour ceux du privé. Les inscriptions prennent fin le 10 septembre 2016 à minuit.
Une innovation, selon M. Assoumou a été instaurée pour cette rentrée scolaire avec un jeu-concours qui récompensera les trois Directions régionales de l’éducation (DREN) qui ” auront le pourcentage
d’inscrits le plus élevé avec 50% de son effectif inscrit du 30 juin au 05 août 2016 à minuit».
Dénommé ” Bravo DREN», ce jeu concours offrira un ordinateur portable, deux ordinateurs de bureau et deux livebox aux DREN vainqueurs.
Avec Abidjan.net
Jeudi 30 juin 2016, les élèves du Lycée Thierno Saïdou Nourou Tall accueilleront la seconde édition de la Journée d’Education à l’Environnement et au Développement Durable (JEEDD) organisée par l’Institut International pour la promotion du Développement (iIDev) et la Commission Nationale pour l’Unesco à Dakar, en partenariat avec le Ministère de l’Environnement et du Développement Durable.
La JEEDD s’inscrit dans le prolongement de l’opération pilote “Green Back to School : pour une rentrée scolaire au cœur du développement durable” : la semaine de sensibilisation aux enjeux du développement durable organisée à destination des élèves du CEM Blaise Diagne en octobre 2015, dont elle revient renforcée par les conclusions positives.
Toute la matinée, les élèves du Lycée Saïdou Nourou Tall accueilleront les partenaires de l’iiDev qui leur délivreront des ateliers de sensibilisation aux enjeux de la protection de l’environnement et du développement durable : l’Océanium de Dakar, l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN), et le Groupe pour l’Etude et l’Enseignement de la Population (GEEP).
A 13h30, la cérémonie de clôture actera la fin des ateliers de sensibilisation et le lancement officiel du Label “Dakar, ville du Développement Durable“. Elle verra notamment la participation du Ministère de l’Environnement et du Développement Durable (MINEDD) en la personne de son Conseiller Technique Monsieur Doudou Ndiaye, de Monsieur le Secrétaire Général de la Commission Nationale pour l’Unesco Aliou Ly, de Monsieur l’Inspecteur d’Académie de Dakar, Ngary Faye, et de Madame le Proviseur du Lycée Annie Coly.
Pour toute demande d’accréditation ou d’information complémentaire, contactez le :
(+221) 78 348 03 69 / press@iidev-international.org
Avec iiDe
Le cabinet de sondage français Ipsos a mené une étude portant sur les habitudes de consommation des 15-24 ans dans 14 pays d’Afrique. Dénommée «Jeunesses africaines», cette étude porte sur quatorze pays africains à savoir le Maroc, l’Algérie, la Tunisie, l’Égypte, l’Afrique du Sud, le Nigeria, le Ghana, le Kenya, la Tanzanie, l’Ouganda, la Zambie, le Mozambique, l’Angola et la Côte d’Ivoire.
Optimistes malgré tout
Sur le continent, les jeunes dont la tranche d’âge se situe entre 15 et 24 ans s’élève à 220 millions de personnes. Pour les entreprises qui désirent s’y implanter, une analyse de ce marché s’avère déterminante. C’est donc dans cette logique que cette étude a été effectuée. Loin du cliché de continent frappé par de nombreuses crises militaro-politiques et sociales, 81% des jeunes africains sont optimistes pour leur avenir personnel. Loin de laisser transparaître une certaine insouciance, 69% de cette jeunesse est préoccupée par le chômage, quand 63%et 59% sont préoccupés respectivement par la hausse du coût de la vie et par la corruption.
Selon, Florence de Bigault, directrice d’Ipsos Africap, qui s’est confiée à Paris Match, cette jeunesse veut prendre les choses en main :
« La jeunesse africaine veut sortir du misérabilisme. Elle est impatiente, elle n’attend plus des changements qui viendraient d’en haut. Cette jeunesse bouillonne de l’intérieur. De temps en temps ça sort, comme on l’a vu avec le printemps arabe, au Burkina Faso et comme on risque de le voir à Kinshasa en RDC. »
L’influence croissante des réseaux sociaux
Les jeunes africains ont intégrés dans leur quotidien l’usage des réseaux sociaux. De plus en plus, l’accès à internet se démocratise avec l’expansion des terminaux low-cost, et de forfaits internet plus accessibles proposés par les opérateurs de téléphonie. Cette expansion a fait passer le temps qu’ils passent sur internet et les réseaux sociaux à 2 Heures 30 minutes en moyenne par jour. Les décisions d’achats sont par ailleurs influencées par les réseaux sociaux pour 44%des jeunes. Aussi surprenant que cela puisse paraître, la télévision a été détrônée par les réseaux-sociaux en termes de « consommation-médias ». Selon cette étude, les jeunes ne passeraient plus que 1 Heure 40 minutes par jour devant un poste de télévision.
Pour qui est des secteurs ou les jeunes dépensent le plus d’argent, ils se présentent comme suit :
- Aliments et boissons : 43%
- Vêtements : 38%
- Communication : 33%
L’étude d’Ipsos Africap met aussi en lumière les préférences de consommation des jeunes en termes de marques. Ainsi, les marques américaines sont les plus prisées avec 30% de part et 21% pour les marques locales. En troisième position l’on retrouve les marques européennes avec 18%. En Afrique Francophone par exemple, la Côte d’ivoire demeure le plus qui consomme le plus les marques françaises avec 48% de jeunes, contre 30 % pour le Sénégal et 10% pour le Maroc.
Pour réaliser cette étude, il a fallu interroger, du 29 avril au 2 mai 2016, plus de 1800 personnes. Au regard de toutes ces particularités de la, jeunesse africaine, les entreprises qui souhaitent s’implanter sur le continent devraient être en mesure de mieux orienter leurs stratégies afin d’engager le plus de clients, comme le souligne Florence de Bigault :
« Avec la conscience qu’il est complexe. La jeunesse très portée sur les réseaux sociaux a créé sa propre culture avec son langage, ses référents, ses modèles… C’est une catégorie à part et il faut savoir décoder. Une marque est importante quand elle est pourvoyeuse d’emplois.
avec regionale
CIV-lepointsur.com (Abidjan, le 24-5-2016) Dans la nuit du mercredi 13 au jeudi 14 avril 2016, le campus de l’Université Félix Houphouët-Boigny a été le théâtre d’une brutalité policière relevant du moyen âge. Rappelant du coup, la tristement célèbre expédition punitive sur la cité universitaire de Yopougon en 1991. La descente musclée des policiers sur cet endroit culte de l’Education ivoirienne faisait suite au mot d’ordre de grève lancé par la Fesci le lundi 11 avril 2016 et qui a été largement suivi.
Conséquence de la descente des hommes en armes sur le campus universitaires de Cocody, de nombreux blessés et plusieurs filles violées que les autorités ont vite fait de réfuter. Pour preuve, lors d’une rencontre avec les populations de Bouaké le 23 avril 2016, en vue d’annoncer la volonté de la Première-dame Dominique Ouattara de célébrer la fête des mères avec les populations de cette localité, Mme le ministre de Promotion de la famille, de la femme et de la protection de l’enfant ramenait cette accusation à une simple action qui visait à jeter le discrédit sur ses efforts en faveur de la femme en Côte d’Ivoire.

Euphrasie Yao, Mme le ministre Promotion de la famille, de la femme et de la protection de l’enfant s’est désolidarisée des filles agressées.
Son intervention faisait suite à l’ensemble du gouvernement dont le Porte-parole, le ministre Koné Bruno Nabagné s’est élevé contre les accusations de viol portées contre les éléments des forces de l’ordre lors de la descente nocturne des policiers sur le campus de l’Université Félix Houphouët-Boigny. Mais, contre toute attente, un mois après cette nuit sanglante, des filles violées ont décidé de briser la glace de la honte pour lever toute équivoque.
Mieux, Nathalie Kouakou, présidente d’Amnesty Côte d’Ivoire ne s’est pas embarrassée de fioritures pour rappeler qu’il y a bien viol. « Oui, il y a bien eu agression sexuelle et viol au cours de la descente des policiers à l’Université », soulignait-elle, il y a peu, dans les colonnes d’un confrère auquel elle avait accordé une interview.
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Et pourtant Nathalie Kouakou, la présidente d’Amnesty Côte d’Ivoire est formelle sur les d’agressions sexuelles et de viols.
« Je suis indignée parce qu’en tant que femme, en tant que mère, en tant que défenseur des droits de l’homme et défenseur des droits des femmes j’ai rencontré certaines victimes et ces victimes sont en souffrance. Elles sont traumatisées », soutient-elle. Regrettant que « rien n’a été fait et rien n’est fait pour que ces personnes soient prises en charge, pour que la vérité puisse être établie sur ce qui s’est passée ce 13 avril de 22 heures à 3 heures du matin sur la cité ».
En pareille situation, plutôt que de se lancer dans une campagne de contradiction à tout bout de champ, il aurait tout simplement fallu que l’Etat, qui dispose de moyens tant logistiques qu’humains, diligente une enquête pour situer les responsabilités. Toute chose qui se présente comme un devoir de sa part. Il est alors surprenant d’entendre certaines autorités et non des moindres exigées des preuves à des organisations de défense des Droits de l’Homme que l’Etat à lui seul peut fournir.
Idrissa Konaté
Douloureux témoignage d’une jeune fille violée
« …Il y avait la BAE qui était au niveau de la place Akpelé Akpelé. Tu sais quand il y a les affrontements, c’est ceux du milieu qui prennent toujours les pots cassés. Donc ils étaient à ce niveau, et d’autres ont commencé à lancer des lacrymogènes, entre temps, mardi, ils avaient arrêté le secrétaire général de la Fesci. Ils ont pensé qu’en l’enlevant cela allait apaiser les tensions, au contraire cela a empiré les choses. A force de lancer les lacrymogènes, les étudiants ont été irrités. Moi je voyais tout ça depuis la fenêtre. Les étudiants ont voulu se défendre. Et entre 23 heures et minuit, les policiers ont commencé à entrer dans les bâtiments, ils cassaient les portes des chambres. Tu es handicapés ou pas handicapés soit on te frappe, soit on te viole. Sur le palier, nous étions deux. De l’autre côté on m’a dit qu’il y avait trois filles. Sur mon palier, il y a une qui est au CHU de Treichville. Jusqu’à présent son état de santé est critique. Nous n’avons pas les résultats des tests. Moi j’ai eu deux, notre collègue de palier, elle a eu cinq. Ce n’était pas des agents de la CRS. C’était des agents de la BAE. Le premier quand il est venu, il s’est jeté sur moi. J’ai crié mais il n’y avait personne pour venir à mon secours. Le second aussi s’est jeté sur moi, je me suis mise à crier, et au moment ou je criais, il y a un étudiant qui est entré, ils étaient déjà partis. C’est cet étudiant qui, le jeudi matin, m’a demandé de donner un numéro de mes parents. J’ai alors donné le numéro de mon frère. Il a appelé celui-ci qui est arrivé aussitôt et m’a conduite au CHU de Treichville. D’autres ont été envoyées au CHU de Cocody. Il y avait des blessés parmi nous, et certains n’arrivaient même plus à marcher.
Le mercredi, est-ce au moment où votre amie allait chercher à manger alors que vous étiez encore en chambre que les affrontements ont commencé ? Etiez-vous dans la chambre lorsque les policiers sont venus casser la porte ?
Comme je l’ai dit, à un moment, ils entraient dans les paliers et cassaient les portes des chambres.
Combien étaient-ils à entrer dans votre chambre?
Moi à mon niveau, ils étaient deux.
Et quand ils sont entrés qu’est-ce qui s’est passé ?
Bon le premier a foncé mais n’a pas pu faire quelque chose.
Donc il a foncé sur vous ?
C’est le deuxième qui a pu faire quelque chose.
Il vous a déshabillé, comment s’y est-il pris ?
Moi, j’avais porté un haut et j’avais attaché un pagne. Quand ils sont entrés, le deuxième a enlevé mon pagne, et puis il s’est couché sur moi, il s’est déshabillé et puis il a commencé. Moi je criais espérant que quelqu’un vienne à mon secours. Celui qui est venu finalement m’a trouvé en train de pleurer».
Avec Le point sur.
Q u’est-ce que tu veux faire quand tu seras grand ? » « Pompier ! », répondent beaucoup d’enfants. Le métier de sapeur-pompier attire toujours les enfants, mais ensuite les jeunes se tournent vers d’autres métiers.
Les pompiers de Hettange-Grande, sous l’impulsion d’Emmanuel Ferrer, ne baissent pas les bras. C’est ainsi qu’une école de jeunes sapeurs-pompiers va voir le jour d’ici fin septembre.
« Les JSP seront accessibles aux garçons et aux filles entre 12 et 14 ans. La formation s’étalera sur quatre années à raison d’une séance tous les quinze jours le samedi de 8 h 30 à 12 h pendant la période scolaire, au centre de secours, et débouchera sur un diplôme permettant de devenir sapeur-pompier volontaire, opérationnel à partir de 16 ans en incendie, secours à personnes et opérations diverses ».
Vraie motivation exigée
Il ne suffira pas d’être vaguement intéressé pour entrer dans cette école. « On cherche des jeunes motivés », souligne Emmanuel Ferrer. Chaque candidat passera un entretien pour affirmer ses motivations, et devra présenter un certificat médical d’aptitude. « On s’engage sur du long terme », insiste le pompier. « Cela peut conduire à un vrai métier de pompier professionnel, ça peut ouvrir des portes », est convaincu le caporal Ferrer.
Une réunion d’information avec les parents et les jeunes intéressés est prévue le lundi 6 juin à 19h à la caserne de Hettange-Grande, 4 rue des Ecoles.
Une première approche du métier
Pendant quatre ans, les jeunes recrues vont apprendre toutes les spécificités du métier de sapeur-pompier. « Ce sera une première initiation pour eux. Nous débuterons par de la théorie puis petit à petit nous rentrerons dans la pratique. Ce sera sympa. C’est une démarche volontaire, donc nous sommes plutôt confiants ». Pendant les quatre ans que durera la formation, ce sont les sapeurs-pompiers volontaires hettangeois qui se relaieront les samedis matin sous la responsabilité du responsable de section le caporal Ferrer.
Une fois intégré, le JSP bénéficiera d’un programme composé de différents modules à acquérir : culture administrative, lutte contre les incendies, secourisme, sauvetage, interventions diverses, sport. Au terme de la formation, après avoir obtenu les modules et le brevet de cadet (qui sanctionne la formation), les jeunes seront recrutés en qualité de sapeur-pompier volontaire auprès du centre.
Avec Le republicain lorrain
Les ministres africains de l’éducation, du développement des compétences, de la finance et des TIC passent à l’offensive. Le 24 mai 2016, à la 9e table ronde ministérielle de la conférence eLearning Africa, ils débattront des mécanismes permettant de transformer le rêve en réalité. L’éducation et la formation sont au cœur de la Vision 2063 de l’Union africaine en faveur d’un « continent transformé ».
« Les ministres sont maintenant déterminés à passer de la parole aux actes, explique Charles Senkondo, directeur exécutif de l’agence tanzanienne TaGLA (Global Learning Agency), qui présidera une des sessions de la table ronde. Ils veulent traduire leurs idées en mesures concrètes. La majorité des Africains pensent que la Vision 2063 de l’Union africaine donne une image passionnante de ce à quoi l’Afrique de nos enfants pourrait ressembler. Ils nous poussent donc à redoubler d’efforts pour la concrétiser.
« L’éducation et la technologie sont au cœur de cette vision. Les décennies à venir seront autant d’opportunités à saisir pour l’Afrique, ce qui signifie que les décisions prises lors de cette conférence, ajoutées aux idées, aux plans et aux partenariats qui seront élaborés à cette occasion, auront un impact significatif sur l’avenir. »
Parmi les grandes questions qui seront abordées lors de la table ronde, les ministres devront notamment trouver des solutions pour aider les pays à partager leur expertise et leurs infrastructures de communication de manière à créer un « effet multiplicateur » dans des secteurs, comme l’éducation, qui sont cruciaux pour le développement économique.
« De nombreux pays ont commis des erreurs par le passé, explique Charles Senkondo. Nous n’avons pas toujours su partager notre expertise les uns avec les autres. Et trop de pays ont mis l’accent sur des gadgets technologiques onéreux au lieu de travailler main dans la main pour améliorer les infrastructures du continent. Mais des enseignements ont été tirés de ces défaillances. À partir de maintenant, nous allons voir l’Afrique progresser très rapidement et l’éducation africaine va devenir un véritable secteur de croissance. »
La table ronde ministérielle sur les TIC pour l’éducation, la formation et le développement a lieu chaque année dans le cadre de la conférence eLearning Africa. Organisée pour la première fois en Afrique du Nord, l’édition 2016 de la conférence aura pour thème : « Faire de la vision une réalité : imagination, innovation et mise en œuvre ».
Les ministres africains qui participeront à la table ronde seront rejoints par d’autres participants, dont Günter Nooke, représentant personnel de la chancelière allemande Angela Merkel, et différents chefs d’entreprise, universitaires et commentateurs.
Pour plus d’informations sur la table ronde ministérielle de la conférence eLearning Africa, vous pouvez contacter l’équipe média, à l’adresse press-service@icwe.net
À propos d’eLearning Africa :
Chaque année, eLearning Africa réunit plus de 1 200 experts de l’enseignement en ligne, preneurs de décisions haut placés, professionnels, chercheurs, entrepreneurs et acteurs concernés venus de plus de 90 pays et issus des secteurs de l’éducation, des affaires et du secteur publique. Ils discutent, débattent, informent, partagent leurs expériences et planifient leurs actions. En 2016, c’est l’agence égyptienne pour le développement de l’industrie des technologies de l’information (Information Technology Industry Development Agency, ITIDA) qui accueillera eLearning Africa sous le patronage du Ministère égyptien des TIC.
En tant que conférence la plus importante de ce type, cet évènement de trois jours est désormais largement reconnu comme une occasion à ne manquer sous aucun prétexte pour quiconque s’intéresse à la question de l’éducation en Afrique. On y trouve des opportunités fantastiques d’apprendre, de comprendre, de présenter, de promouvoir, d’exposer, de connecter et de développer de nouveaux partenariats.
Données clés
- Plus de 1 200 experts de l’enseignement en ligne, preneurs de décisions haut placés, professionnels, chercheurs et acteurs concernés ;
- Plus de 300 orateurs au cours de 60 sessions et ateliers parallèles couvrant l’ensemble des questions, des évolutions et des tendances les plus importantes ;
- 4 sessions plénières présentées par des orateurs experts de renommée mondiale qui ne manqueront pas d’inspirer leurs auditoires ;
- Plus de 60 exposants, des entreprises à la tête de leur marché aux startups émergentes, présentant leurs produits et services phares ;
Notes aux rédacteurs
eLearning Africa, 11e conférence internationale sur les TIC, le développement, l’éducation et la formation du 24 au 26 mai 2016
Venue : Royal Maxim Palace Kempinski du Caire en Égypte
Organisateurs : ICWE GmbH (www.icwe.net), accueilli par ITIDA (www.itida.gov.eg), sous les auspices du Ministère des TIC
Contact
ICWE GmbH
info@elearning-africa.com, www.eLearning-africa.com, Tél. : +49 (0)30 310 18 18-0
Contact presse
ICWE GmbH, Juliane Walter & Gregory Vespasien
press-service@icwe.net, Tél. : +49 (0)30 310 18 18-0, Fax : +49 (0)30 324 98 33
Source :
vacances scolaires 2016 (Noël, Hiver, Pâques, vacances d’été, Toussaint…) Le calendrier scolaire officiel du Ministère de l’Education nationale.
Mis à jour le 23 mai 2016 à 8h30 – Les vacances d’été 2016 approchent ! Les élèves français sont en classe 36 semaines par an. L’année scolaire est divisée en cinq périodes de vacances définies par le Ministère de l’Education. La grande nouveauté du calendrier scolaire 2016 est le redécoupage des zones géographiques des vacances scolaires.
Ces modifications du zonage sont accompagnées de quelques changements dans les dates des vacances scolaires. Les congés de printemps seront avancés d’une semaine. Par ailleurs, tous les élèves de France profiteront du Pont de l’Ascension.
Prochaines vacances scolaires : les vacances d’été débuteront pour l’ensemble des zones le 5 juillet 2016. Rendez-vous le 1er septembre 2016 pour la rentrée des classes !
Vacances scolaires 2015 – 2016 : le calendrier scolaire
Vacances scolaires | Zone A | Zone B | Zone C |
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Source : Ministère de l’Education | |||
Pré-rentrée des enseignants | 31 août 2015 | 31 août 2015 | 31 août 2015 |
Rentrée scolaire | 1er septembre 2015 | 1er septembre 2015 | 1er septembre 2015 |
Vacances de laToussaint | Du 17 octobre 2015 au 2 novembre 2015 | Du 17 octobre 2015 au 2 novembre 2015 | Du 17 octobre 2015 au 2 novembre 2015 |
Vacances de Noël | Du 19 décembre 2015 au 4 janvier 2016 | Du 19 décembre 2015 au 4 janvier 2016 | Du 19 décembre 2015 au 4 janvier 2016 |
Vacances d’hiver | Du 13 février 2016 au 29 février 2016 | Du 6 février 2016 au 22 février 2016 | Du 20 février 2016 au 7 mars 2016 |
Vacances de printemps | Du 9 avril 2016 au 25 avril 2016 | Du 2 avril 2016 au 18 avril 2016 | Du 16 avril 2016 au 2 mai 2016 |
Fin des cours | 5 juillet 2016 | 5 juillet 2016 | 5 juillet 2016 |
Vacances scolaires 2016 – 2017 – le nouveau calendrier
Vacances scolaires | Zone A | Zone B | Zone C |
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Source : Ministère de l’éducation | |||
Rentrée des classes | 1er septembre 2016 | 1er septembre 2016 | 1er septembre 2016 |
Vacances de la Toussaint | 19 octobre 2016 au 3 novembre 2016 | 19 octobre 2016 au 3 novembre 2016 | 19 octobre 2016 au 3 novembre 2016 |
Vacances de Noël | 17 décembre 2016 au 3 janvier 2017 | 17 décembre 2016 au 3 janvier 2017 | 17 décembre 2016 au 3 janvier 2017 |
Vacances d’hiver | 18 février 2017 au 6 mars 2017 | 11 février 2017 au 27 février 2017 | 4 février 2017 au 20 février 2017 |
Vacances de printemps | 15 avril 2017 au 2 mai 2017 | 8 avril 2017 au 24 avril 2017 | 1er avril 2017 au 18 avril 2017 |
Vacances d’été | 8 juillet 2017 | 8 juillet 2017 | 8 juillet 2017 |
Vacances scolaires 2017 – 2018 – le nouveau calendrier
Vacances scolaires | Zone A | Zone B | Zone C |
---|---|---|---|
Source : Ministère de l’Education | |||
Rentrée scolaire | 4 septembre 2017 | 4 septembre 2017 | 4 septembre 2017 |
Vacances de la Toussaint | 21 octobre 2017 au 6 novembre 2017 | 21 octobre 2017 au 6 novembre 2017 | 21 octobre 2017 au 6 novembre 2017 |
Vacances de Noël | 23 décembre 2017 au 8 janvier 2018 | 23 décembre 2017 au 8 janvier 2018 | 23 décembre 2017 au 8 janvier 2018 |
Vacances d’hiver | 10 février 2018 au 26 février 2018 | 24 février 2018 au 12 mars 2018 | 17 février 2018 au 5 mars 2018 |
Vacances de printemps | 7 avril 2018 au 23 avril 2018 | 21 avril 2018 au 7 mai 2018 | 14 avril 2018 au 30 avril 2018 |
Vacances d’été | Samedi 7 juillet 2018 | Samedi 7 juillet 2018 |
Calendrier scolaire 2016 à imprimer
Pour garder un oeil sur les vacances scolaires, et s’y retrouver plus facilement avec les nouvelles zones des vacances scolaires, voici un calendrier scolaires 2016 à imprimer.

Les nouvelles zones A, B et C :

Zone A : Besançon, Bordeaux, Clermont-Ferrand, Dijon, Grenoble, Limoges, Lyon et Poitiers.
Zone B : Aix-Marseille, Amiens, Caen, Lille, Nancy-Metz, Nantes, Nice, Orléans-Tours, Reims, Rennes, Rouen et Strasbourg.
Zone C : Créteil, Montpellier, Paris, Toulouse et Versailles.
Vacances de Pâques 2016 : les dates
En 2016, les vacances de Pâques (ou de printemps) se dérouleront du 2 avril au 2 mai. C’est la zone B qui donnera le “go” le 2 avril 2016, la zone A partira en vacances le 9 avril, et la zone C le 16 avril. Les vacances de Pâques ont été l’enjeu de nombreuses discussions en 2014 et en 2015. Les professionnels du tourisme de la montagne avaient demandé à la ministre de l’Education Nationale de tenir compte de leur activité dans les dates des futures vacances de Pâques (ou “vacances de printemps”). En effet, si en avril les beaux jours arrivent, la période reste encore propice aux sports d’hiver dans les stations en altitude. Le gouvernement a pris en compte ces remarques et ajusté les dates offrant un compromis aux associations de parents d’élèves et aux professionnels du tourisme.
Vacances d’été 2016 : les dates
Les vacances d’été 2016 débuteront le 5 juillet dans toute la France. La rentrée des classes est prévue le 4 septembre 2016. Les “Grandes Vacances” sont une période héritée du XIXème où les mois de juillet et août correspondaient aux moissons et où l’on avait besoin de mains supplémentaires. Les écoliers étaient donc libérés de leurs obligations à l’école pour donner un coup de main aux champs. Cette période existe dans d’autres pays mais à différentes périodes. Ainsi en Australie l’année scolaire débute en janvier, et les écoliers bénéficient de 6 semaines de congés à partir de la mi-décembre jusqu’à la fin du mois de janvier.
avec linternaute
L’institut de sondage français Ipsos a dévoilé ce mardi 24 mai les premiers résultats de son étude inédite «Jeunesses africaines» qui décrypte les aspirations et les comportements de consommation des 15-24 ans dans 14 pays d’Afrique (Maroc, Algérie, Tunisie, Égypte, Afrique du Sud, Nigéria, Ghana, Kenya, Tanzanie, Ouganda, Zambie, Mozambique, Angola, Côte d’Ivoire).
Ce nouveau baromètre réalisé par les équipes d’Ipsos Africap, un bureau d’études basé à Paris et chargé d’analyser le marché africain au profit des entreprises désireuses de s’installer ou de se développer sur le continent, révèle que 81% des jeunes Africains sont optimistes pour leur avenir personnel, et 63% pour l’avenir de leur pays.
Les principales préoccupations des ces jeunes sont le chômage (69%), l’augmentation du coût de la vie (63%) et la corruption (59%).
L’étude menée du 29 avril au 2 mai auprès de 1816 répondants fait aussi ressortir que les trois premiers postes de dépense des jeunes Africains appartenant à la tranche d’âge 15-24 ans sont les aliments et boissons (43%), les vêtements (38%), et la communication (Internet et téléphonie/33%).
34% des jeunes urbains fréquentent régulièrement les centres commerciaux et les supermarchés.
D’autre part, les jeunes Africains passent en moyenne par jour 2h20 sur internet et les réseaux sociaux, et 44% d’entre eux déclarent être influencés par les réseaux sociaux dans leurs décisions d’achat.
L’étude montre, par ailleurs, que les marques françaises sont préférées par 49% des jeunes Ivoiriens et 30% des jeunes Sénégalais, contre moins de 2% des jeunes Nigérians et Sud-Africains.
L’étude «Jeunesses africaines», qui sera menée tous les trois mois sur un scope évolutif, vise à accompagner les marques sur un marché d’avenir. «Les 15-24 ans jouent déjà un rôle majeur dans le développement du continent africain, ils stimulent la consommation, la fréquentation des centres commerciaux, ils aspirent à s’instruire, travailler, consommer, se divertir, bénéficier de l’électricité et d’internet à volonté», explique Florence de Bigault, directrice d’Ipsos Africap.
Avec 220 millions de 15 et 24 ans, l’Afrique enregistre la plus forte concentration de jeunes sur la planète.
avec agenceecofin
C’est au sein de l’Amphithéâtre de l’Abbé Grégoire du Conservatoire national des arts et métiers (Cnam) de Paris que 03 récipiendaires ont reçu les insignes et le titre honorifique de Docteur Honoris Causa. Il s’agit de Messieurs Koffi N’Guessan, Directeur Général de l’Institut National Polytechnique Felix Houphouët-Boigny (INP-HB), de Hassa Akl Awada, vice-président de l’association libanaise pour l’enseignement scientifique, technique et économique (Aleste) et de M. Andreas Bruno, architecte de la rénovation du musée des arts et des métiers.
Le Directeur Général de l’INP-HB a reçu cette distinction de l’Administrateur Général du Cnam Professeur Olivier Faron, pour ses activités de recherche et ses travaux sur l’étude de la population menées à l’Ecole nationale supérieure de statistique et d’économie appliquée (Ensea) mais également pour son implication au repositionnement de l’Institut national polytechnique Felix HOUPHOUËT-BOIGNY sur l’échiquier national et international à travers l’extension de son offre de formation et ses partenariats multiformes.
A cet égard, les éloges du Dr. Koffi N’Guessan ont été prononcées par Gilbert Saporta, professeur émérite de statistique appliquée au Conservatoire national des arts et métiers qui évoque un « démographe reconnu et un administrateur hors pair » qui a contribué de façon significative à hisser haut le flambeau de l’Ensea en 20 années de direction et à porter l’INP-HB par son engagement sans lequel « rien n’aurait été possible ».
« Je reçois ce Doctorat Honoris Causa, comme le couronnement des efforts fournis, mais aussi comme une invitation à poursuivre encore le travail c’est-à-dire la formation de quelques générations futures avant ma retraite. » a indiqué le Directeur général dans son discours adressé aux personnalités du monde des arts, de la culture, de la science et de la formation de Paris.
Le titre universitaire honorifique de « Docteur Honoris Causa » a été créé en France par le décret du 18 juin 1918 pour honorer les éminents services des personnalités étrangères rendus aux arts, aux lettres, aux sciences et techniques.
avec Sercom
Les écoles publiques américaines sont sur la voie d’une « reségrégation ». C’est la conclusion d’un rapport de l’administration qui s’émeut des données accumulées au cours d’une étude de deux ans sur le terrain : en quinze ans, le nombre d’écoles publiques dans lesquelles on constate une ségrégation raciale a doublé.
L’Amérique a fait d’énormes progrès en cinquante ans dans la lutte contre la ségrégation raciale, Barack Obama ne cesse de le répéter, mais ce rapport sur le système scolaire est sans doute le contre-exemple.
Ce sont des reportages et des plaintes de parents qui ont poussé les services gouvernementaux à diligenter cet audit approfondi, et les conclusions sont édifiantes.
Dans 15 000 établissements aux Etats-Unis, 75% des enfants, ou plus, sont Afro-Américains ou Hispaniques. Ces écoles sont dans les zones déshéritées et, pour les enfants, c’est un handicap multiple. A la ségrégation s’ajoutent la pauvreté et une éducation de moindre qualité dans le cursus et la gestion des écoles.
Même si cette « reségrégation » est parfois le fait des autorités locales, qui violent des lois votées depuis cinquante ans, il s’agit le plus souvent d’un phénomène social. Les familles blanches qui en ont les moyens envoient leurs enfants dans des écoles privées ou déménagent dans les meilleurs quartiers. L’étude de l’administration préconise un suivi constant des écoles publiques et une attention accrue apportées aux alertes des parents.
Avec imagpress
La Task Force des Ministère de l’Education Nationale (MEN) a réuni, le vendredi 13 mai 2016 à Abidjan-Cocody, les responsables des services centraux dudit ministère afin de réfléchir sur le Plan Stratégique décennal 2016-2025.
Ce plan décennal, base de travail des séminaristes, vise à offrir au secteur, des actions concrètes à mener, pour rendre le système éducatif ivoirien performant. Dans les échanges qui ont eu lieu, Aboubacar Coulibaly, Directeur des technologies et systèmes d’information (DTSI) a signifié « l’absence des NTIC dans plan décennal ». M. Binaté, coordonnateur de la Task force au niveau du MEN a apprécié cette remarque et l’a consignée en recommandation importante. Un autre point important du plan est le recrutement exclusif des instituteurs adjoints sur les dix ans. « Il faut affecter au moins 6000 enseignants du primaire par an pour combler le déficit » soutient M. Binaté. La Task force et les spécialistes du MEN ont ensemble approuvé une intense campagne de communication autour du plan. Ce qu’a bien dit Assoumou Kabran, Directeur de cabinet au MEN, lors de la cérémonie d’ouverture de la rencontre, en ces termes : « il faut présenter le projet de la Task force à l’Assemblée nationale, au Conseil économique et social, à tous nos partenaires financiers, en vue de le vulgariser et d’aider à sa mise en œuvre effective ». Le plan décennal éducation formation2016-2025 de la Task Force est confiné dans un document de 86 pages, la Task Force étant une cellule tampon de réflexion des trois ministères du secteur éducation formation.Mamadou Binaté, coordonnateur de la Task Force auprès du MEN a expliqué les objectifs de cette cellule de réflexion stratégique mise en place par les trois ministères du secteur Education /Formation à savoir le Ministère de l’Education Nationale (MEN), le ministère de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle (METFP), le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique (MESRS). Selon lui, la Task Force qui est en place depuis 2010, est un cadre de réflexion stratégique qui coordonne l’élaboration des projets pluriannuels du secteur, appuie les ministères dans la recherche de financement et participe au suivi de la mise en œuvre des projets. La Task Force est une sorte de tampon entre les trois ministères et fait la synthèse des réflexions stratégiques qu’il y a dans chaque ministère et les met en cohérence.
Avec planeteschool
Quelque 2 852 demandes de permutation dont 2 368 pour convenance personnelle et 484 pour rapprochement de conjoint ont été régulièrement formulées pour la session 2015-2016 au niveau du ministère de l’Éducation nationale (MEN) a informé mercredi à Yamoussoukro le directeur des ressources humaines (DRH) du MEN Mamadou Barro.
M. Barro s’exprimait lors des travaux de la commission nationale de mutation des personnels enseignants et d’encadrement dénommée EXEAT. Il a indiqué qu’au titre de l’enseignement secondaire il y a 758 demandes dont 641 pour convenance personnelle et 117 pour rapprochement de conjoints. Au niveau de l’enseignement primaire, 1 983 demandes ont été enregistrées dont 1 635 pour convenance personnelle et 348 pour rapprochement de conjoint.
« Au titre des personnels d’encadrement 111 demandes dont 92 pour convenance personnelle et 19 pour rapprochement de conjoint ont été reçues », a précisé le DRH du MEN. Pour les motifs de convenance personnelle, le requérant doit avoir une ancienneté minimum de cinq ans dans la direction régionale de l’éducation nationale. Concernant le rapprochement de conjoint le demandeur doit présenter son acte de mariage et le certificat de résidence du conjoint.
« Si deux demandes remplissent les mêmes conditions pour le même poste, on doit tenir compte de l’ancienneté à la fonction publique », a souligné le secrétaire permanent du conseil consultatif de l’éducation nationale Jules N’Da.
Les EXEAT 2016, vont durer trois jours et seront l’occasion pour les DREN et représentants des syndicats du MEN de faire le recueil des données statistiques et des listes nominatives, d’organiser les mouvements internes aux DREN, d’identifier les postes vacants, de traiter les demandes de permutation en vue de réduire les disparités constatées dans la répartition du personnel du MEN estimé à plus de 106 136 agents sur toute l’étendue du territoire national.
Avec planeteschool
Vingt-cinq acteurs de la Direction régionale de l’éducation nationale(DREN) de Séguéla ont été instruits lundi sur le projet Mobile Learning initié par le Ministère de l’Education Nationale (MEN) dans le cadre d’une vaste campagne régionale d’information et de sensibilisation sur la formation continue des enseignants.
Le projet Mobile Learning vise à renforcer les capacités de mille enseignants dont 400 au primaire et 600 au secondaire dans cinq directions régionales de notre pays, note-t-on.
Il s’agit de former les enseignants à l’utilisation des tablettes numériques, a expliqué la coordonnatrice du projet et chef de la délégation du MEN, Doukouré Naminata Nurudine, insistant sur les généralités de cette formation ouverte à distance (FOAD), les avantages personnels et ceux du système éducatif, le rôle et les responsabilités respectifs des acteurs pour ce projet innovateur qui permettra aux enseignants d’être performants, afin de réaliser de bons résultats scolaires.
Avec planeteschool
La date limite de dépôt des dossiers de renouvellement de bourses d’études en Côte d’Ivoire au titre de l’année universitaire 2015-2016, initialement fixée au 06 mai 2016 est prorogée au vendredi 27 mai 2016, délai de rigueur. A cet effet, les étudiants concernés sont invités à prendre toutes les dispositions utiles en vue du respect scrupuleux de cette date.
Avec Planeteschool
Abidjan (Côte d’Ivoire) – Le gouvernement ivoirien a annoncé, mercredi, la construction de onze nouveaux établissements pour l’enseignement technique et la formation professionnelle d’un coût total de 53 milliards de FCFA en vue de ‘’combler’’ le déficit et ‘’améliorer’’ l’offre de la formation dans le pays.
‘’Le conseil a autorisé la construction et l’équipement de 11 nouveaux établissements de l’enseignement technique et de la formation professionnelle notamment à Abidjan (Sud), à Botro (Centre-Nord), Bouaflé (Centre-Ouest), Bouna (Nord-Est), Issia (Centre-Ouest), Bouaké (Centre-Nord), Man (Ouest), Yamoussoukro (Centre) et Zouan-Hounien (Ouest)’’, a déclaré la porte-parole adjointe du gouvernement Me Affoussiata Bamba-Lamine, rendant compte du Conseil des ministres présidé par le Chef de l’Etat Alassane Ouattara.
Ces onze établissements seront dotés d’une capacité d’accueil de 6152 personnes, a-t-elle précisé, ajoutant que ce programme de nouvelles constructions d’un coût total de 53,152 milliards de FCFA, ‘’vise à combler le déficit et améliorer l’offre de formation en Côte d’Ivoire’’.
Avec abidjan.net
La décision a été prise à l’issue de la rencontre que Mme le ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, le Prof. BAKAYOKO-LY Ramata a eu, le lundi 09 mai 2016 avec l’union des syndicats des parents d’élèves CNAPEL, union nationale des parents d’élèves et d’étudiants de Côte d’Ivoire (UNAPEECI), fédération nationale des parents d’élève de Côte d’Ivoire (FENAPECI), les associations des fondateurs (l’Union Patronale de l’Enseignement Supérieur Privé (UPESUP), le Réseau des Ecoles supérieures et Universités Professionnelles de Côte d’Ivoires (RESUP-CI), collectif des fondateurs de l’enseignement supérieur privé (CFESUP) et le syndicat des enseignants du supérieur privé (SYNESUP). Une date consensuelle fixée avec les partenaires de l’enseignement supérieur privé. Chaque groupe a approuvé la réforme du BTS annoncée par Mme le ministre. Ils ont tous déclaré soutenir cette réforme pour apporter de la crédibilité au diplôme du BTS. « Nous ne sommes pas réfractaires aux changements. Le changement pour la crédibilité du BTS nous sied. » a déclaré la Mme Kouamé Grace, la chargée de la trésorerie du CFESUP. Mais, c’est au niveau des dates de l’examen qu’ils ont exprimé des réticences. Ils ont trouvé que la date de l’examen fixée au 22 août 2016, pourrait jouer sur le rendement des candidats. En effet, les cours s’achevant dans le courant du mois de juin pour la plupart des grandes écoles, la période d’attente des candidats serait trop longue. Pour ce motif, ils ont demandé une date qui ne rallonge pas le délai d’attente des candidats. La date du 16 août a été proposée. Elle a été acceptée à l’unanimité des associations présentes.
Pour les autres innovations que représentent l’anonymat des copies, l’identification biométrique des candidats dont l’objectif est d’éviter la tricherie les acteurs du BTS n’ont pas fait d’objection. Ils ont tous approuvé cette réforme qui, du reste, sera gratuite pour le fondateur et l’étudiant. Mais pour sa faisabilité, M. MEMEL Kacou Charles, président du RESUP-CI exige l’enrôlement des étudiants avec des pièces d’identité originales et non des photocopies. Il a aussi souhaité que la réforme tienne compte du volet professionnel dans la formation au BTS. A cet effet, il a souhaité la révision de la maquette pédagogique du BTS.
Signalons que cette rencontre fait suite aux différentes levées de boucliers des partenaires suite à la présentation de la plateforme de gestion du BTS. Une présentation, initiée pour recueillir les observations de ces acteurs sur les innovations apportées par madame le ministre à l’effet de rendre crédible le diplôme du BTS. Mais à la séance du 25 avril, des voies ne sont pas levées pour dénoncer les anomalies de la plateforme. Et ce n’est que dans la presse que les mécontents ont voulu s’exprimer. Alors pour calmer les voix discordantes, madame le ministre a préféré recevoir les partenaires pour laver ensemble le linge sale.
L’Agence Emploi Jeunes et le Groupe Orange Côte d’Ivoire- Telecom ont signé ce lundi 9 mai 2016 deux conventions qui marque le début d’une collaboration entre les deux partenaires.
Il s’agit du Paiement des indemnités de 1000 bénéficiaires des Travaux à Haute Intensité de Main d’Œuvre (THIMO) pour la première signature et le recrutement de 300 jeunes diplômés dans le domaine des TIC pour la seconde.
« Votre présence avec nous ce jour, démontre une fois de plus le caractère citoyen de votre prestigieux Groupe et l’intérêt que vous accordez personnellement à la problématique de l’amélioration de l’emploi des jeunes », a indiqué le ministre Sidi Tiémoko Touré à ses visiteurs.
Les clauses de la convention
La première signature consiste à l’ouverture de compte Orange Money en vue du paiement des indemnités mensuelles pour 1000 jeunes. Il s’agira pour l’Agence Emploi Jeune de sélectionner les jeunes bénéficiaires des THIMO et mettre à leur disposition les informations nécessaires à l’ouverture des comptes Orange Money.
Des ressources nécessaires pour le paiement des indemnités mensuelles seront mises à la disposition de ces jeunes. Leur recrutement se fera selon des critères liés à l’âge et au diplôme.
Quant au Groupe Orange Côte d’ivoire, il s’agit pour lui de faciliter l’ouverture des comptes, assurer le paiement des indemnités et transmettre les pièces justificatives. Les jeunes bénéficiaires se verront offrir gracieusement 500 packs composés de portables et cartes sim.
La formation des 300 jeunes diplômés et toutes les charges afférentes sont supportées par Orange Côte d’Ivoire- Telecom. Une évaluation des aptitudes se fera au terme d’une formation sanctionnée par une attestation d’aptitude au cas où l’évaluation est positive.
Mamadou BAMBA, Directeur Général d’Orange Côte d’Ivoire-Telecom et DANHO Pierre Ange-Désiré, Administrateur de l’Agence Emploi Jeunes ont signé successivement la convention.
Pour le ministre de la Promotion de la Jeunesse, de l’Emploi des jeunes et du Services Civique, les défis à relever dans le domaine du chômage « sont encore plus importants pour nos pays en développement ».
« C’est la raison pour laquelle, les partenariats de types publics–privés sont à rechercher et à encourager, car ils permettent aux dispositifs publics d’emplois de s’appuyer sur l’expertise et le savoir-faire de ses partenaires du privé », a précisé le ministre Sidi Tiémoko Touré.
avec educarriere
Depuis samedi et jusqu’à demain, l’Université Aube Nouvelle (née en 2012 de l’ex-ISIG, Institut supérieur d’informatique et de gestion) du Burkina Faso présente ses filières de formation. Plusieurs de celles-ci portent sur les domaines agricoles, comme le Master professionnel en Economie agricole, des ressources naturelles et de l’environnement, la Licence en Industries agro-alimentaires ou encore la Licence Bio analyse contrôle qualité, mais aussi le Master en Imagerie numérique pour le développement durable et le Master en Management de l’environnement.
Etablissement d’enseignement supérieur privé avec son campus traditionnel à Ouagadougou mais aussi un nouveau à Bobo Dioulasso, l’Université Aube Nouvelle a de nombreux partenariats notamment avec des établissements français et ce, de longue date, mais aussi taïwanais (l’Université a une licence Traduction et interprétariat Anglais-Chinois), et, tout dernièrement (décembre dernier) avec Baruch College à Manhattan, à New York.
avec commodafrica
Après plusieurs semaines de troubles et affrontements, L’école retrouve ses droits à Oumé. Les parents d’élèves réunis au sein du COGES du lycée moderne et la fédération estudiantine et scolaire de Côte-d’Ivoire Fesci se sont retrouvés samedi pour une rencontre de vérité.
Le proviseur du lycée moderne Guillaume Bissié et collaborateurs, les Directeurs des études des établissements privés et le collectif des parents d’élèves ont ensemble condamné les arrêts intempestifs des cours spécifiquement à Oume et dénoncent la manipulation des élèves par des civils clairement identifiés. « Quand vous leur donnez des mots d’ordre de grève depuis Abidjan, ils ont des parrains locaux qui leur en donnent d’autres. Nous avons à notre possession des sms et des éléments sonores impliquant des civils dans la crise qui secoue l’école actuellement. Nous n’accepterons pas cette manipulation qui met en péril l’avenir de nos enfants », a-t-il mis en garde « Nous sommes désormais en phase.
Il y’a des informations que nous n’avions pas et nous allons nous parler franchement pour la bonne marche de l’école à Oume », a assuré l’emissaire de la Fesci, Yao Sylvère avant de plaider pour la levée des sanctions disciplinaires prises contre le nommé Traoré Soumaila en Tle D4 se réclamant secrétaire général de la fesci du lycée moderne Oume.
Avec Ivoire matin
Le Premier ministre, Daniel Kablan Duncan a effectué, vendredi, une visite au Centre des métiers de l’électricité (CME) de Bingerville, en vue d’évaluer la possibilité du retour de l’Ecole supérieure interafricaine d’électricité (ESIE) sur son ancien site.
« Sur un ensemble de 45 hectares, une partie donnée à la FIF et l’autre à l’Université. Notre souhait, c’est de voir s’il n’y a pas une possibilité de développer la nouvelle école de l’ESIE sur son ancien site. Nous nous demandons s’il peut y avoir une synergie entre ces deux écoles, à savoir le CME et l’ESIE », a déclaré M. Duncan, qui avait à ses côtés le ministre du Pétrole et de l’énergie, Adama Toungara, pour cette visite.
Selon le Chef du gouvernement, le secteur de l’électricité est un domaine de plus en plus « porteur » pour les pays africains. Et pour la Côte d’Ivoire qui ambitionne de doubler sa production énergétique de 2 000 Mw à 4 000 Mw, il faut une école de référence pour former des cadres supérieurs compétents tels que les ingénieurs de conception et d’application.
Il a ajouté qu’un projet présenté par le Ministre Toungara, a été déjà adopté en Conseil des ministres dans le cadre du plan national de développement (PND 2016-2020)et le gouvernement n’attend plus que les conclusions du travail technique, afin d’être situé sur la mise en œuvre de ce projet sur le futur site agréé.
Avec AIP
La cérémonie de clôture de l’atelier de finalisation des Plans d’orientation stratégique (POS) des Universités et grandes écoles publiques de Côte d’Ivoire, qui s’est tenu du mercredi 04 au vendredi 06 mai, à l’Antenne de l’AUF (Agence universitaire de la francophonie ) d’Abidjan, s’est déroulée en présence du Prof Crezoit Emmanuel, DGSE, représentant la Ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique. Il y avait également à cette table de séance le Président des experts qui ont conduit les travaux de cet atelier et des représentants du projet C2D et l’AFD.
A l’issue de l’atelier de finalisation des Plans d’orientation stratégique (POS) des Universités et grande école publiques en Côte d’Ivoire, l’honneur est revenu au Président des experts de livrer les conclusions fondamentales de ces soixante-douze heures de réflexion.
En la matière, M. Fontaine Yvon Joseph, Enseignant-Chercheur à l’Université Moncton (Canada) a invité les Universités et grandes écoles à bien finaliser le Plan Stratégique en tenant compte des observations de la dernière session, avant le 15 juin, date de dépôt. Il leur a conseillé de mettre en place une équipe de suivi-évaluation chargée de l’aide à la mise en œuvre du POS, de suivi du rapport annuel sur l’exécution du plan stratégique.
« Nous avons insisté dès le début de l’importance qu’on doit accorder au comité ou à cette équipe de suivi-évaluation. Et nous invitons l’ensemble des institutions si ce n’est déjà fait, de bien procéder à la mise en place de cette équipe » a-t-il indiqué.
Il a poursuivi en soutenant qu’il faut identifier les secteurs d’activités qui pourraient faire l’objet d’une collaboration entre les institutions. M. Fontaine Yvon Joseph a souligné la mutualisation des compétences et des équipements lourds dans les établissements, afin d’explorer davantage les grandes possibilités en recherche, à l’échange des expériences sur la professionnalisation des enseignements et sur la diversification des sources de financement. Au partage des rapports scientifiques et de publications
Au Ministre de tutelle, les experts qui ont supervisé ces travaux de rédaction et de préparation du POS par de leur porte-parole, ont suggéré d’engager une négociation avec les universités et grandes écoles publiques sur leur POS afin de signer un accord contractuel et d’étudier les conditions d’élargissement de l’autonomie des établissements supérieur.
En outre, cette occasion a été prêtée au représentant de l’AFD (Agence française de développement) de faire remarquer au représentant de la MESRES que, le secteur de l’enseignement supérieur est très important pour la France qui a investi 180 milliards F CFA à travers le C2D sur l’ensemble du secteur éducation formation.
« Le travail qui a été fait est très important, c’est pourquoi nous sommes présents. L’objectif, c’est de voir comment chaque établissement va définir ses activités en fonction des acteurs avec lesquels il travaille » a affirmé M. Cortese Laurent, représentant de l’AFD.
Au cours de sa conférence, Abdourahmane Cissé s’est attardé sur les efforts que l’État ivoirien a entrepris pour limiter la corruption et les déperditions à travers les Technologies de l’information et de la communication (Tic).
Yamoussoukro: ‘’L’INP-HB ne sera pas privatisé’’, rassure le ministre du Budget
Interrogé par les étudiants de l’École supérieure de commerce et d’administration des entreprises (Escae), alors qu’il animait une conférence sur « La gouvernance des entreprises publiques pour une meilleure compétitivité », le ministre en charge du Budget et du Portefeuille de l’État, Abdourahmane Cissé, a rassuré que l’Institut national polytechnique Félix Houphouët-Boigny (Inp-Hb) ne sera pas privatisé comme l’a fait croire une certaine rumeur. C’était le mercredi 4 mai, dans les locaux de ladite école.
« Soyez rassurés, il n’y aura pas de privatisation. Nous avons besoin des étudiants qui sont bons et non des étudiants qui sont riches. C’est la seule école dont dispose la Côte d’Ivoire pour la formation des ingénieurs dont elle a besoin pour son développement. De toutes les manières, je n’ai pas reçu ce dossier, et si jamais il se retrouvait sur ma table, je ne le signerai pas », a-t-il répondu aux étudiants.
Toutefois, il a indiqué qu’il y a une réforme qui est engagée pour l’amélioration de la qualité de la formation des étudiants.
Au cours de sa conférence, Abdourahmane Cissé s’est attardé sur les efforts que l’État ivoirien a entrepris pour limiter la corruption et les déperditions à travers les Technologies de l’information et de la communication (Tic). Il a cité, entre autres, l’informatisation des services de la Douane et des impôts, l’installation prochaine de scanner sur les postes frontaliers de Noé et de Ouangolodougou, etc.
Il a en outre exhorté les étudiants de l’Inp-Hb à créer des Juniors entreprises pour être plus compétitifs après leur formation.
Avec fratmat.info
Khadija Haddane, 50 ans, enseigne l’arabe dans une école primaire de Tinghir, petite ville berbère du sud-est du Maroc. Elle dispose d’un salaire de 10 658 dirhams par mois, soit 977 euros. Dans ce nouvel épisode de notre série sur l’argent des Africains, elle nous ouvre son portefeuille.
Aujourd’hui, les enfants de Khadija ont déserté la maison familiale. Ils sont partis faire des études à Casablanca. L’éducation de ses deux fils lui tient à cœur, tout comme la formation des jeunes élèves de sa ville, dans laquelle elle est très impliquée au niveau professionnel, bien sûr, mais aussi associatif.
Originaire de Safi, dans l’ouest du Maroc, Khadija a quitté sa ville natale pour faire des études de géologie à Marrakech. Mais très vite, elle passe des concours pour devenir institutrice. Cela fait maintenant 25 ans qu’elle enseigne l’arabe à l’école primaire de Tinghir.
Salaire mensuel : 977 euros
Dans un pays où le salaire moyen est estimé à environ 400 euros, Khadija n’est pas mécontente de ses 977 euros mensuels. Son salaire actuel est bien loin de celui de ses débuts. Ses premières années d’exercice ne lui rapportant que 210 euros tous les mois, elle a décidé de passer des concours et de changer de grade au fil des ans. Son salaire a ainsi doublé en 2005 et a continué d’évoluer chaque année, jusqu’à son revenu actuel.
Éducation des enfants : 735 euros
Alors que son mari s’occupe du loyer de la maison et des factures, Khadija prend en charge l’éducation des enfants. Ce qui pèse lourdement sur son salaire. Depuis que ses deux fils Ahmed et Amine sont partis faire des études supérieures à Casablanca, les trois quarts de son revenu leur sont dédiés. « Ce qui me coûte le plus cher, ce n’est pas tant le loyer de leur chambre ou les études de médecine d’Amine, c’est l’école privée d’Ahmed ! Il a décidé de faire une école supérieure de psychologie, ça représente beaucoup d’argent… Mais les études, c’est très important ! », s’exclame l’enseignante marocaine. 550 euros sont exclusivement destinés à payer les frais de scolarité d’Ahmed. Le reste se répartit entre le loyer de la chambre, les factures, les frais de transport et l’argent de poche des deux enfants.
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Alimentation : 182 euros
Pour s’acheter à manger, Khadija dépense environ 182 euros chaque mois. « L’école où je travaille est située juste à côté de ma maison, à 10 minutes à pied. Donc si je veux, je peux rentrer déjeuner chez moi tous les midis », explique l’enseignante.
Vie associative : 36 euros
Depuis deux ans ses enfants sont loin, et son mari ne rentre que le weekend à cause de son travail. Khadija peut donc occuper tout son temps libre avec une vie associative extrêmement dense. « J’étais obligée de travailler pour me sentir moins seule. En plus, ces activités me rendent vraiment heureuse », glisse-t-elle comme une confidence.
Quand sonne la sortie des classes, sa journée est loin d’être terminée. Présidente de Dar Taliba, la Maison de l’étudiante à Tinghir, elle doit gérer ce pensionnat qui accueille les jeunes filles rurales désirant poursuivre leurs études secondaires. Elle s’occupe également de l’Association marocaine des droits de l’homme à Tinghir, ainsi que de l’association de lutte nationale contre l’alphabétisme pour les femmes, pour ne citer que celles-ci.
« Je dédie une petite part de mon salaire aux associations pour pouvoir organiser des ateliers et couvrir certains frais, comme les transports en taxi », annonce Khadija. Elle avoue dans un éclat de rire ne pas trop faire ses comptes à ce sujet. « Ça dépend des mois, je donne un peu sans compter ! ». En faisant une moyenne à l’année, 36 euros partent environ chaque mois dans ses multiples associations.
Sorties : 9 euros
Ayant peu de temps pour elle, Khadija ne sort que rarement pour se divertir. Elle confie tout de même aller de temps à autre au restaurant avec ses amis du monde associatif. Budget estimé : 9 euros.
Dépenses diverses : 15 euros
Les fins de mois sont généralement difficiles pour cette enseignante marocaine. S’il lui reste un peu d’argent, souvent autour de 15 euros, elle le consacre à l’achat de vêtements, de médicaments, ou aux simples courses du quotidien. « Mais bon, heureusement que mon mari ou la famille est là, on s’entraide si jamais nous n’avons pas assez ! », conclut-elle le sourire aux lèvres.
Taux de conversion établi à 1 euro = 10,98 dirhams marocain.
avec jeuneafrique
La société roubaisienne spécialiste de l’hébergement de sites web en Europe a inauguré en février dernier son nouveau campus. Visite.
Créée en 1999 par Octave Klaba alors qu’il n’était encore qu’étudiant, OVH(acronyme de “On vous héberge”) est devenue en quelques années un géant dans son domaine avec quelques 1200 salariés. Dans le cadre de son plan de développement, le groupe est en train de doter son siège, situé à Roubaix, d’un nouveau campus. Un premier bâtiment est sorti de terre. Il a été inauguré par Emmanuel Macron en février 2016. Il accueille pour l’instant les équipes de support client, soit 200 personnes. Installé sur l’ancienne friche industrielle de Socochim, le site a nécessité la dépollution des sols et l’assèchement des abords d’un canal. Salariée du groupe, l’architecte Fanny Villez a pris en charge ce projet qui sera suivi d’autres phases de construction. Objectif à terme : passer d’un site d’une capacité de 700 personnes aujourd’hui… à 1500 personnes demain.
Depuis novembre 2015, la Banque africaine de développement (BAD) a lancé le Projet d’appui à l’employabilité et l’insertion des jeunes dans les secteurs porteurs (PAEIJ-SP) doté d’une enveloppe de FCFA 11,8 milliards. Un des bénéficiaires du programme, l’entreprise Soja Nyo située à Nosté dans la préfecture de Haho spécialisée dans la transformation du soja a créé 2 000 emplois, a constaté sur place la semaine dernière la ministre du Développement, Victoire Tomégah-Dogbé, accompagnée du représentant de la BAD au Togo, Serge N’guessan, indique Republic of Togo.
Le PAEIJ-SP cible les régions les plus défavorisées du Togo – Savanes, Centrale et Plateaux – et finance une dizaine de PME, 4 institutions de microfinance et centres de formation. Le du projet vise la création de 20 000 emplois directs dans le secteur agricole.
avec commodafrica
Fondée, en 2012, de la volonté de jeunes ivoiriens de mettre leur savoir faire à la disposition de leur pays à travers la politique de l’auto-emploi, EDUBICLE CORPORATION SARL s’est donnée pour mission de prendre une part active à l’intégration effective des TIC en milieu éducatif à travers la mise à disposition des acteurs de l’éducation, de systèmes de gestion personnalisés et d’outils de communication et de formation pour l’amélioration des conditions de travail et d’études des acteurs éducatifs.
C’est dans ce contexte qu’elle a convié différents acteurs du système éducatif et du tissu économique ivoirien, ce jeudi 14 Avril 2016, à la salle de conférences de l’immeuble SCIAM à la cérémonie de présentation et de lancement officiel de ses solutions e-Education 2016. Organisée en partenariat avec la DTSI (Direction des Techniques et Systèmes d’Information du Ministère de l’Education Nationale), elle a enregistré la présence de nombreuses personnalités, en l’occurrence: M. Modibo SAMAKE, Conseiller Technique du Ministre de l’Economie Numérique et de la Poste, Président d’honneur ; M. Abdoulaye COULIBALY, Directeur de la DTSI, représentant Mme le Ministre de l’Education Nationale et Mme Florence TANOH, Conseillère Technique, représentant M. le Ministre de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle ainsi que celle de Monsieur Ignace KOSSONOU, Président du Conseil régional du Gontougo, Inspecteur Général Adjoint du Trésor .
D’entrée de jeu, la parole est revenue à M. Jean Richard BONZOU, Fondateur et Directeur Général d’EDUBICLE Corporation SARL qui a tenu à remercier l’ensemble des personnes qui ont œuvré à la tenue de cette cérémonie avant de présenter les motivations, l’expertise et les différents projets mis en œuvre par son entreprise dont, entre autres, la conception gratuite de plus de 600 Sites web éducatifs pour des établissements et DREN. « C’est pourquoi, EDUBICLE CORPORATION SARL consacre l’essentiel de ses activités à la promotion du secteur de l’éducation-formation à travers les TIC (…) accélérateur de performances d’un système éducatif de qualité» a t’il martelé avant de lancer un appel au différents ministères représentés, partenaires et opérateurs économiques à soutenir les actions des jeunes entrepreneurs innovants pour une Côte d’Ivoire numériquement émergente à l’Horizon 2020.
S’en est suivie la présentation des quatre (04) plateformes de e-Education: « planeteschool.com », « educacanonce.ci », « schoolchampion.ci » et « revision.ci » dont une démonstration d’utilisation a été effectuée par M. Richmond KONAN, Chef de Projet Junior.
Ce fut également l’occasion de distinguer, par des diplômes d’honneur, les membres de la jeune équipe de EDUBICLE CORPORATION pour leur travail acharné ainsi que les officiels qui à travers leurs différents propos ont manifesté leur soutien et apporté leur caution morale à cette initiative.
Panorama des solutions e-Education proposées par EDUBICLE CORPORATION
- « Planète School » (www.planeteschool.com), premier journal ivoirien d’informations et d’actualités 100% éducatives de Côte d’Ivoire (100.000 visiteurs/jour) ;
- « School Champion » (www.schoolchampion.ci), première plateforme ivoirienne de conception de sites web éducatifs et académiques ;
- « EducAnnonce » (www.educannonce.ci), première plateforme ivoirienne web de petites annonces éducatives et de géo localisation des établissements scolaires et académiques de Côte d’Ivoire ;
- « Révision.ci » (www.revision.ci), première plateforme ivoirienne de soutien scolaire et académique en ligne et de formation à distance de Côte d’Ivoire en partenariat avec les plateformes de paiement Mobile.
C’est sur la promesse de participer à la rééducation de l’usage des TIC à des fins éducatives depuis la petite enfance que la cérémonie s’est achevée par un sympathique cocktail.
Avec planeteschool.com
La ministre de l’Education nationale, Kandia Camara, a exprimé la reconnaissance de la communauté éducative ivoirienne à tous ses partenaires sociaux, notamment l’Union Africaine (UA), qui œuvrent à son épanouissement lors d’une double cérémonie de remise de clés de bâtiments construits et réhabilités à Heremankono-garo et Lagaze-ledou.
« La double cérémonie de ce jour est un signal éloquent. Elle montre et cela est à saluer, que l’UA n’est pas une congrégation de politiques isolés dans leur tour d’ivoire. L’UA est bel et bien au cœur des préoccupations de nos peuples et est attentive à leurs aspirations intimes. (…), déclaré M. Kandia à la représentante de la présidente de la commission de l’UA, Mme Joséphine Charlotte Mayuma Kala, affirmant en outre, « je vous prierai de bien vouloir saluer votre mandante, Mme la présidente de la commission de l’Ua et lui dire que mon pays sait reconnaître ses bienfaits ».
Selon la ministre de l’Education nationale, « notre pays qui émerge sûrement après une décennie difficile, doit honorer des engagements pluriels et est en proie à des urgences impérieuses. Tout seul il est submergé par les attentes. Nous avons donc besoin de partenaires techniques et financiers qui nous accordent un appui substantiel dans la mise en route de nos projets d’extension des services sociaux de base. L’école ivoirienne leur doit une reconnaissance infinie ». Elle a souligné que « notre partenariat avec la communauté des organisations internationales est notre plus précieux atout pour réussir la politique de la scolarisation obligatoire ».
L’UA a construit deux bâtiments de six classes, un bureau de directeur, un magasin, une cantine et des latrines à Heremankono-garo. Elle a par ailleurs offert des équipements divers à l’établissement scolaire. Jadis construit en matériaux précaires cet établissement avait été totalement ravagé par un incendie qui a jeté un peu plus de 400 écoliers à la rue, rappelle-t-on.
A Lagaze-ledou (Gbokoko) l’organisation panafricaine a réhabilité quatre bâtiments de douze classes et le bureau du directeur. Elle a achevé la construction de la cantine scolaire, de latrines et d’une aire de jeux. Des table-bancs, du mobilier et des équipements sportifs ont été mis à la disposition de cet établissement.
Avec planeteschool.com
34 apprentis de 2ème année en couture, coiffure, en froid et en mécanique auto de la commune d’Attécoubé ont reçu du matériel d’une valeur d’environ 40 millions Fcfa de la Caritas afin de parfaire leur formation. C’était le dimanche dernier à la paroisse St Joseph Artisan de ladite commune en présence du père Bienguy Patrick et du prédicateur Ablé Bertin de l’église Harriste. Pour le père Richard Kissi, directeur de la pastorale sociale de l’Archidiocèse d’Abidjan «ce matériel va permettre aux apprenants de parfaire leur formation durant leur dernière année et de s’installer à leur propre compte ». Poursuivant, il a remercié le maire Danho Paulin pour l’appui qu’il apporte à la pérennisation de cette initiative à travers les facilités fiscales que la mairie accorde aux maîtres-formateurs afin d’encourager ceux-ci à accepter des apprentis. Quant au représentant du maire Danho, Djama Narcisse, il a rassuré les responsables de la Caritas du soutien de la municipalité à toutes les activités visant à l’insertion socio-professionnelle des jeunes d’Attécoubé.
Avec planeteschool.com
Gagnoa abrite ce samedi les finales régionales de l’Office ivoirien des sports scolaires et universitaires (OISSU) de la région du Goh. Ce sont au total 23 finales en football, handball, basketball, volleyball et athlétisme que vont disputer les élèves des établissements primaires et secondaires de Gagnoa, Oumé, Guibéroua et Diégonéfla au stade Victor Biaka Boda de Gagnoa et sur les terrains de jeux du collège Saint-Jean de Gagnoa.
« Cette année, les finales régionales dans chaque discipline seront parrainées par des fondateurs, des proviseurs, des directeurs d’études et le président du Sporting club de Gagnoa, Yssouf Diabaté». C’est en ces termes que le directeur régional des sports et loisirs, Marcelin Anassé N’cho, a situé l’innovation des dites finales, placées sous le parrainage du préfet de région, N’zi Kanga Remi.
Des chocs sont à l’affiche avec par exemple l’opposition Collège Pythagore- Lycée moderne de Diégonéfla en football les juniors garçons au stade Victor Biaka Boda de Gagnoa.
Chez les dames, dans la catégorie minime, le Lycée de la paix A croisera le fer avec le Lycée de la paix B au stade 2 du Collège Saint-Jean. Au handball séniors dames, le Lycée professionnel de Gagnoa défiera le CAFOP de Gagnoa au stade Victor Biaka Boda. Pendant que les juniors garçons du Collège Saint-Jean de Gagnoa affronteront au sein de leur établissement les représentants du Lycée moderne de Diégonéfla.
Les amoureux du basketball suivront l’affiche Collège Saint-Jean- Lycée moderne de Gagnoa1 au stade 3 de l’établissement qui porte le nom du disciple du Christ. Ceux du volleyball se mettront sous la dent le duel CAFOP de Gagnoa- Collège Diderot d’Oumé, toujours au stade3.
Marcellin Anassé N’cho invite le public à effectuer massivement le déplacement pour vivre la fête qui s’annonce belle.
Avec planeteschool.com
Entièrement réhabilitées par l’amicale des anciennes élèves de la 56ème promotion du Lycée Mamie Fêtai de Bingerville, les clés de 4 salles de laboratoire de sciences de l’établissement ont été remise jeudi au proviseur dudit Lycée, Mme Dao, au cours d’une cérémonie.
La présidente de l’amicale des anciennes élèves de la 56ème promotion du lycée Mamie Fêtai de Bingerville, Sylla Amy Touré a expliqué qu’en posant cet acte, l’amicale a voulu honorer ses anciens professeurs et enseignants. « Réhabiliter ce laboratoire c’est notre manière à nous de contribuer à l’éducation de nos cadettes », a-t-elle dit.
Le proviseur Mme Dao a remercié l’amicale pour cette action. Et appelé les enseignants et les élèves à faire très bon usage de ce laboratoire réhabilité et de veiller à son entretien. Le parrain de la cérémonie, le Dr Ahouo Léon, qui fut enseignant de philosophie dans cet établissement, a salué l’action posée par l’amicale. « Il est rarissime de voir des élèves ayant séjourné dans un établissement prendre en charge la destinée dudit établissement », a-t-il dit. Avant d’encourager l’Amicale à poursuivre ses actions en faveur de l’établissement.
Les anciennes de la 56eme promotion du LMHF ont pris sur elles même de motiver des actions en faveur de la réhabilitation de certains bâtiments dudit Lycée afin de donner les mêmes chances aux jeunes filles fréquentant l’établissement aujourd’hui. Pour ce faire, une caisse alimentée par les cotisations des membres a été mise en place.
Crée en 1939, le Lycée des jeunes filles Mamie Houphouët Fêtai de Bingerville est un établissement secondaire situé dans la ville de Bingerville. A l’origine de sa création, il formait des filles de la classe de 6ème à la classe de 3ème ; il accueille depuis plusieurs années des élèves du second cycle.
Parmi les élèves issues de cet illustre établissement, l’on compte plusieurs cadres de notre pays dont des médecins, juristes, enseignantes, travailleuses dans le domaine social, des cadres commerciales, des gestionnaires de banques, agronomes, des artistes et bien d’autres.
Les ministres de l’Education nationale et de la Promotion de la femme de la Famille et de la protection de l’Enfant étaient représentés à cette cérémonie.
Avec planeteschool.com
Le Président de l’Université Alassane Ouattara (UAO), le Professeur Lazare POAMÉ, a procédé au lancement officiel du Master Droit rural et activités agricoles, le 20 avril 2016, au Campus1 de ladite Université, à Bouaké. À cette occasion, le Professeur Lazare POAME a rappelé les conditions d’émergence des Masters à l’UAO :
« – tous les projets de Master sont soumis au Conseil d’Université pour examen ; c’est ce qui a été fait pour ce Master de Droit rural.
– les offres de formation de tous les Masters à vocation professionnelle obéissent au principe de la coconstruction avec des professionnels non universitaires ».
Dans cet esprit, a été créé tout récemment le Master d’Intégration africaine dont la leçon inaugurale a été donnée le 14 avril 2016 par le Professeur Francis Akindès.
Le Président de l’UAO a, dans la même veine, mis en lumière l’identité disciplinaire du Master de Droit rural en affirmant : « Les spécialistes de cette régionalité disciplinaire doivent être appelés des juristes ruralistes et non des juristes ruraux. Les champs que les juristes ruralistes sont appelés à labourer sont aussi vastes que les champs sémantiques de l’être visé dans son étantité heideggérienne et son identité aristotélo-thomiste ».
Ainsi, a-t-il ajouté, « le champ épistémique du juriste ruraliste devra aller :
– du monde rural au monde des affaires (business),
– de la protection juridique de la nature à l’éthos de la recherche agronomique en passant par les questions liées au métayage, à la fiscalité verte, à la loi d’orientation agricole, au statut de l’entreprise agricole et des chambres d’agriculture, au problème du foncier rural et du développement durable. Comme vous pouvez le constater, ce Master a la particularité d’esquisser un pas nouveau dans notre quête du savoir pratique ou de la connaissance-action. Ce Master, en n’en point douter, va offrir à nos étudiants une formation destinée à les rendre plus compétitifs sur le marché de l’emploi ».
Il a déclaré par ailleurs que : « Avec ce Master créé par Madame Aline Aka-Lamarche, je puis affirmer que l’esprit du LMD est en marche à l’UAO. Mais cette marche est spécifique, en ce sens qu’elle est nécessairement une marche solidaire, pédagogique, scientifique et dialectique ».
Bien avant, le Président de l’Université Alassane Ouattara a remercié le Parrain de la cérémonie, le Préfet de la région de Gbêkê, Monsieur Konin Aka ; les membres du corps préfectoral, en l’occurrence le Sous-préfet central de Bouaké, M. Djandet Lorgn ; le Maire de Bouaké, Monsieur Djibo Nicolas ; les Représentants de l’ANADER et d’AFRICA RICE, ex-ADRAO ; les Directeurs régionaux de l’Agriculture à Bouaké et à Yamoussoukro ; les Présidents de Coopératives agricoles ; les Professeurs missionnaires et les Enseignants-chercheurs permanents en l’occurrence le Dr Jonathan Gbédé, juriste, expert ruraliste, Dr Pélagie Téhoua, Vice-Doyen, Agrégée de Droit public.
Il n’a pas manqué de féliciter les Doyens qui se sont succédés à la tête de l’UFR des Sciences juridiques, de Koné Ismaïla à Silué Nanga en passant par Tano Félix, Yao Éloi et Dosso Karim ; les initiateurs du Master, Dr Séraphin Nené Bi et Dr Aline Aka-Lamarche ; le responsable scientifique du Master, Dr Aline Aka-Lamarche, l’une des plus jeunes Agrégées de l’Université Alassane Ouattara.
La Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, Mme Bakayoko-Ly Ramata a présidé le jeudi 21 avril, à l’hôtel Novotel d’Abidjan, la cérémonie de lancement officiel du Prix PASRES du Jeune Chercheur en Parasitologie initié par le PASRES (Programme d’appui à la recherche scientifique) en partenariat avec la Société ivoirienne en Parasitologie et de Mycologie (SIPAM).
C’est dans la perspective de susciter une saine émulation entre les jeunes chercheurs et contribuer à améliorer la qualité de la production scientifique en Côte d’Ivoire que, ce prix a été initié par le PASRES.
En effet, le constat fait par la Ministre Bakayoko-Ly Ramata, est relatif aux populations vivant dans les régions tropicales très affectées par les infections parasitaires qui souffrent d’invalidité et de mortalité. Cela impacte négativement les performances économiques des pays les plus exposés à l’action de parasite et limite l’épanouissement humain des populations.
La solution qu’elle préconise n’est autre qu’un soutien plus actif à la recherche qui est la voie par excellence pour trouver des réponses durables aux problèmes de santé publique posés par les infections parasitaires.
« C’est pourquoi, je me réjouis de l’institution du Prix PASRES du Jeune Chercheur en Parasitologie et disciplines associées. A travers ce prix d’appui à la recherche, le PASRES et la SIPAM stimulent les progrès futurs de la recherche en Parasitologie et encouragent les jeunes chercheurs au leadership, à la culture du mérite et de l’excellence dans leurs spécialités respectives » a déclaré Mme Bakayoko-Ly Ramata, Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique.
Elle a par ailleurs réitéré ses félicitations aux promoteurs et a marqué de façon solennelle son attachement à la pérennité de ce prix.
Ce prix, selon le Secrétaire Exécutif du PASRES, Dr Sangaré Yaya, vise à contribuer à une meilleure visibilité des résultats de la recherche en Parasitologie, Mycologie et Entomologie et à mettre en place un cadre promotionnel des produits de la recherche dans ces disciplines scientifiques.
« Nous exhortons donc les étudiants de les Universités ivoiriennes, publiques et privées, inscrits dans les filières liées à la Parasitologie, à s’approprier ce prix et à faire acte de candidature en présentant des travaux scientifiques de qualité » a-t-il soutenu.
Il a par la suite invité l’assistance à faire un ‘’standing ovation’’ (ovations débout) à Mme le ministre Bakayoko-Ly Ramata, pour lui dire encore une fois un grand merci pour toute l’attention et le soutien qu’elle ne cesse d’apporter à la Recherche Scientifique en Côte d’Ivoire.
Plusieurs éminentes personnalités ont pris part à cette cérémonie de lancement du prix PASRES du jeune chercheur en parasitologie, notamment, les Professeurs Biaka Zasseli, Président du Conseil Scientifique du PASRES, Sangaré Séga Ibrahim, 2ème Vice-Président du Conseil Scientifique, Responsable du domaine des Sciences Médicales au PASRES.
Ce prix, d’un montant de deux millions de F CFA dont les candidats doivent être des doctorants et post-doc (au moins 3 ans d’expérience) de moins de 40 ans qui auront déposé leurs dossiers avant le 31 juillet 2016, a été solennellement présenté par le Président de la SIPAM, M. Adoubryn Koffi Daho.
Le site spécialisé dans le classement web des collèges et universités dans le monde «4 International colleges and universities » http://www.4icu.org/ vient de publier le classement des 100 meilleures universités africaines. La Tunisie décroche malheureusement une place pas très honorable ; elle se classe à la 70 ème position avec l’Université de La Manouba.
Le classement est basé sur des indicateurs de qualité des sites web des universités, qui tiennent compte de leur dimension, de leur visibilité dans les moteurs de recherche et de la richesse de contenus. La thèse de départ des auteurs est qu’internet soit maintenant un des moyens fondamentaux pour la diffusion de la connaissance, surtout au niveau académique, et que, donc, l’évaluation des activités universitaires doit tenir compte de la capacité des universités d’employer le réseau pour améliorer sa visibilité.
Le lien pour le classement des 100 premières universités africaines :
http://www.4icu.org/topAfrica/
Edubicle corporation international Network a procédé jeudi à la présentation et au lancement de solutions « e-éducation ». Il s’agit notamment de Planeteschool.com, première plateforme web d’informations et d’actualités éducatives de Côte d’Ivoire. Revision.ci, première plateforme web de soutien scolaire et de formation à distance de Côte d’Ivoire. Schoolchampion.ci, Plateforme qui permet la création de sites web éducatifs gratuits pour les établissements scolaires et les institutions. Puis enfin Educannonce qui est une plateforme en ligne de géolocalisation des écoles de Côte d’Ivoire et des petites annonces éducatives gratuites.
Ces projets qui s’inscrivent dans la dynamique de promouvoir l’usage des TIC dans le systeme educatif, permettront d’assurer une part imminente dans l’intégration effectives des TIC dans l’Education à travers une rééducation de l’usage des TIC à des fins éducatives depuis la petite enfance, a explique le proprietaire de Edubicle corporation, Jean Richard BONZOU, PHD en Management International et Business, Spécialiste en applications et logiciels.
Il a en outre expliqué qu’avec ces solutions « e-éducation », edubicle Corporation se donne pour mission de prendre une part active à l’intégration effective des TIC en milieu éducatif à travers la mise à disposition des acteurs de l’éducation, de systèmes de gestion personnalisés et d’outils de communication et de formation pour l’amélioration des conditions de travail et d’études des acteurs éducatifs. La Refonte Intégrale du Portail Central d’Informations du Ministère de l’Education Nationale de Côte d’Ivoire (www.menetci.org) en collaboration avec le SCDA et la DTSI début 2015, la Conception gratuite de plus de 600 Sites web éducatifs pour les écoles ivoiriennes et certaines DREN dont toutes les écoles de la Formation Professionnelle de Côte d’Ivoire sous le projet SCHOOL CHAMPION, en collaboration avec les Centre des Promotions des Nouvelles Technologie de l’Information et de la Communication CPNTIC et MEMEASFP font partie des réalisations de l’entreprise depuis sa création en 2012.
Créée en 2008 en Ukraine, edubicle corporation s’est implantée en Côte d’Ivoire depuis janvier 2012. Elle est spécialisée dans le domaine des TIC, de l’Education, de la Communication et de l’Edition. Ont pris part à cette cérémonie les ministères de l’Education nationale, l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle, la Poste et l’Economie numérique.
avec abidjan
Votre école ou votre université est-elle championne du monde dans sa catégorie ? Au regard de l’édition 2015 du QS World University Rankings by Subject, qui établit un classement des meilleurs établissements par discipline, c’est peu probable si votre campus n’est pas situé outre-Atlantique, ou à défaut outre-Manche. Comme d’autres classements internationaux scrutés par les professionnels, cette sorte de « top 50 » se base sur la réputation de chaque établissement et sur les citations dont ses travaux universitaires font l’objet, ce qui donne la part belle aux établissements anglo-saxons. Mais il se distingue en se focalisant sur les 36 disciplines les plus prisées des étudiants, et permet ainsi aux établissements français d’être (un peu) mieux classés que dans le palmarès global QS : aucune « médaille d’or », mais une honorable 3e place pour l’Insead parmi les écoles de commerces, et des places d’honneur.
Les établissements états-uniens arrivent en tête dans 27 des 36 classements. La domination américaine semble écrasante sur l’ensemble des domaines d’études. Trois universités américaines occupent les trois premières places en finance, mais également en communication et média, en économie, en chimie, en électronique, en science des matériaux, en philosophie… Ils sont suivis par les anglais (7 fois premiers). Seules deux écoles non anglo-saxonnes parviennent en tête d’une spécialité : l’Institut Karolinska, en Suède, numéro un mondial en odontologie (médecine dentaire), et l’Ecole polytechnique de Zurich, en Suisse, dans lessciences de la Terre.
L’Insead sur le podium
Quelques établissements français parviennent toutefois à se distinguer. L’Institut européen d’administration des affaires (Insead) décroche une médaille de bronze en business et management. Seule la London Business School et Harvard, aux Etats-Unis, devancent cette école privée française. Dans la même catégorie, HEC est classée 13e. Les deux écoles françaises sont également 21e et 31e en comptabilité.
Science po Paris est aussi une référence mondiale en… sciences politiques. Dans sa spécialité, la parisienne dame le pion aux américaines Stanford, Yale et Columbia et se situe à la 5e place, très proche de Harvard, Princeton ou Oxford, en Angleterre.
L’enseignement français se distingue encore en philosophie. Si les 20 premières places de ce classement sont exclusivement accordées à des universités de langue anglaise, l’université de Paris I (Panthéon-Sorbonne) est 21e, mais 1re hors de l’univers anglophone. Deux autres établissements français sont classés parmi les 50 meilleurs établissements : l’Ecole normale supérieure (22e) et l’université de Paris IV (Sorbonne).
Paris I et Paris IV se distinguent sur plusieurs fronts
L’excellence des universités de Paris I et Paris IV en sciences humaines est soulignée par leur place dans le « top 50 » de plusieurs disciplines. Outre la philosophie, Paris I est classée également en histoire, en géographie et en droit ; Paris IV se distingue encore en sociologie et en langues vivantes où la fac parisienne, à la 9e place, talonne Stanford.
En mathématiques également, deux françaises sont classées : l’Ecole normale supérieure (44e) et Polytechnique (17e). L’Institut des sciences et industries du vivant et de l’environnement, dit AgroParisTech, pointe à la 13e place dans le domaine de l’agriculture et forêts. L’Ecole nationale supérieure de création industrielle (Ensci) est classée 32e en art et design, l’université Pierre et Marie Curie 41e en statistique et recherche opérationnelle
avec lemonde
Difficile de briller dans ce classement lorsqu’on n’est pas une université américaine ou anglaise. En valorisant avant tout la réputation auprès des professionnels et le volume de publications et de citations dans les revues de recherche, le QS World University Rankings by Subject (classement mondial des universités et écoles par discipline) n’est pas tout à fait taillé pour faire émerger dans ses top 50 les établissements français, victimes de cette singularité hexagonale qu’est la séparation entre universités et grandes écoles. La quasi-totalité des 42 podiums (pour 42 disciplines) est ainsi accaparée par les britanniques et les américaines.
Mais les écoles et universités françaises sont tout de même citées une trentaine de fois dans l’édition 2016 de ce classement, et sont présentes dans près de vingt disciplines lorsqu’on ne prend en compte que les cinquante premiers de chaque discipline. Les universités Paris-I Panthéon-Sorbonne et Paris-Sorbonne (ex-Paris-IV) sont les formations qui apparaissent le plus souvent dans ces top 50 (cinq fois chacune). A noterégalement : la performance de l’Institut européen d’administration des affaires (Insead) qui décroche une nouvelle fois la médaille de bronze mondiale en business et management.
Sciences humaines et sociales : Science Po, Paris-I et Paris-Sorbonne
En philosophie, trois écoles et universités françaises apparaissent dans le top 50 : l’université Paris-I Panthéon-Sorbonne (23e place) dame le pion à l’Ecole normale supérieure (24e) et à Paris-Sorbonne (47e).
En sociologie, Paris-Sorbonne est aussi représentée (à la 47e place aussi), devant Sciences Po (50e). La grande école parisienne est également au pied du podium (4e) consacré aux sciences politiques, derrière la London School of Economics and Political Science (LSE) et les universités d’Oxford et de Harvard. Science Po pointe en outre à la 40e place en « politique sociale et administration ».
En histoire comme en géographie, Paris-I Panthéon-Sorbonne accède au top 50 en trustant respectivement la 18e et la 35e place de ces classements. De même Paris-I est à la 20e place en droit (law).
En littérature et en « langue moderne », Paris-Sorbonne pointe respectivement à la 44e et à la 11e place mondiale. On notera enfin la 12e place du Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris (CNSMDP) en « arts du spectacle ».
Sciences dures et ingénierie : la performance honorable des grandes écoles
Les mathématiques réussissent bien aux établissements français puisque trois sont représentés dans ce top 50 : Polytechnique (18e place), l’Ecole normale supérieure (ENS) Ulm (27e) et l’Université Pierre-et-Marie-Curie (UPMC) à la 47e place.
En archéologie, trois établissements français sont aussi reconnus à l’international. On compte parmi eux Paris-I Panthéon-Sorbonne (12e place), Paris-Sorbonne (39e) ainsi que l’université de Bordeaux (43e).
En physique et astronomie, deux écoles françaises sont représentées : Polytechnique (26e place) et l’Ecole normale supérieure (ENS) à la 43e place. Alors qu’en « planète et sciences marines » l’université Joseph-Fourier Grenoble-I atteint la 46e place du classement.
Enfin, concernant les écoles d’ingénieur, les Mines-ParisTech arrivent à la 23e place de la catégorie ingénierie minière, alors que l’université Claude-Bernard Lyon-I pointe à la 40e place en « mécanique et industrieaéronautique ». Agro-ParisTech arrive enfin à la 5e place en agriculture et sylviculture.
Business, comptabilité, finance : l’Insead et HEC au top
L’Insead est donc une fois encore l’établissement français le mieux classé de cette édition 2016 du classement QS, toutes disciplines confondues. Il décroche la troisième place dans la catégorie « business et management » juste derrière la London Business School et l’université de Harvard. On retrouve aussi dans cette discipline HEC, tout de même à la 14e place.
Les deux formations brillent aussi en « comptabilité et finance » : l’Insead est à la 22e place et HEC à la 37e place.
avec lemonde
Cette manifestation a entraîné l’arrestation d’une dizaine d’étudiants dans ces deux universités. « Les policiers ont lancé du gaz lacrymogène pour disperser des étudiants et certains d’entre eux ont été interpellés », a indiqué une jeune étudiante rencontrée devant l’Université Nangui Abrogoua.
Grève à l’Université: Des étudiants gazés, un policier passé à tabac
Des étudiants se réclamant de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (Fesci) ont bruyamment manifesté, ce lundi 11 avril 2016, à l’Université Félix Houphouët-Boigny de Cocody et à l’Université Nangui Abrogoua, à Abidjan, la capitale économique.
Ils exprimaient ainsi leur mécontentement contre une décision ministérielle qui vise à les faire sortir des cités universitaires afin d’y héberger les athlètes des Jeux de la Francophonie.
Cette manifestation a entraîné l’arrestation d’une dizaine d’étudiants dans ces deux universités. « Les policiers ont lancé du gaz lacrymogène pour disperser des étudiants et certains d’entre eux ont été interpellés », a indiqué une jeune étudiante rencontrée devant l’Université Nangui Abrogoua.
A l’Université Félix Houphouët-Boigny, un véhicule de la Crs 4 a vu sa pare-brise avant volée en éclat, preuve d’échanges violents entre policiers et étudiants. Toutefois, le supérieur de la police présent en ces lieux, a refusé une prise de vue du véhicule et demandé de que l’on se réfère au général Brindou Mbia.
Des étudiants rencontrés, ont souligné qu’un policier isolé au début des manifestations, a été pris à partie par une foule d’étudiants. Ces derniers ont également indiqué avoir vu des étudiants interpellés par la police.
A notre passage sur le campus universitaire, le calme était revenu et des étudiants encore présents attendant dans l’espoir de voir les cours reprendre.
avec fratmat
Un affrontement a éclaté, lundi matin, entre les forces de l’ordre et les étudiants, à l’université de Cocody, a appris Lebabi.net de sources concordantes.
Selon notre correspondant sur place, caché dans une salle de classe, des coups de feu ont été entendus alors que les étudiants vident le campus.
Ces affrontements qui font suite à une grève des étudiants mécontents parce que l’administration de l’université a émise une communication selon laquelle il seront amenés à quitter leur campus universitaire de Cocody pour celui d’autres campus dont celui de la cité Mermoz à l’approche des 8èmes Jeux de la francophonie qui se tiendront en Côte d’Ivoire du 21 au 30 juillet 2017.
Décision inacceptable pour la Fédération Estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI) et les autres syndicats estudiantins qui ont décidé de tenir un meeting d’explication pour exprimer leur mécontentement. Ils ont donc voulu faire sortir les étudiants qui étaient en cours dans les amphis afin que ceux-ci prennent part à ce meeting, ce qui n’était pas du gout des forces de l’ordre.
C’est de là que le conflit a éclaté. Les policiers qui etaient au nombre de 7 au depart ont fait appel a la Brigade Anti-émeute (BAE) et la CRS. Actuellement, chaque entrée et sortie de l’université est sous controle policier.
Au cœur des échanges la formalisation de la coopération entre les deux pays dans le domaines de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique . M Zaher Ayman a informé madame le ministre de la disponibilité de 10 bourses d’études aux étudiants Ivoiriens .
Source :enseignement.superieur.ci
Pendant deux années, le gouvernement ivoirien va mettre en œuvre un projet de formation continue de 1000 enseignants du primaire et du secondaire par l’apprentissage mobile, via la tablette Qelasy.
Financé par l’Agence Française de Développement (AFD), ce projet vise à améliorer le système éducatif ivoirien en utilisant les TICE. Débuté en février 2016, il prendra fin en février 2018 et a pour objectif d’améliorer la formation continue des instituteurs et des enseignants du secondaire par l’apprentissage mobile.
Dans le cadre de ce projet, 13 modules de formation continue des enseignants, dont 7 pour les instituteurs et 6 pour les professeurs du secondaire, vont être conçus. Ces modules permettront la formation continue de 400 instituteurs et 600 professeurs du secondaire dans trois disciplines : mathématiques, français et sciences expérimentales.
La formation, dispensée par 34 encadreurs pédagogiques assurant le tutorat, sera faite via la tablette éducative fabriquée par l’entreprise locale Qelasy. Cinq sites de formation ont été retenues : Agboville, Boundiali, Seguela, Divo et Bouna.
Pour la phase pratique de la mise en œuvre du projet, un atelier de formation sur l’ingénieure de l’apprentissage mobile, animé par les experts du CIEP sera organisé du 21 au 25 mars 2016. Cette mission de formation sera suivie par une autre d’appui à la mise en œuvre du séminaire de remédiation pour l’analyse réflexive sur les pratiques de formation des enseignants via les outils numériques.
Source CIEP
Trois épreuves apprêtées pour l’examen du West African Senior School Certificate Examination (WASSCE), l’équivalent à peu près du Baccalauréat ont fuité et sont parvenues à la possession de certains candidats par le biais du réseau social WhatsApp.
En rapport avec cette affaire, la direction des Examens et concours a, à l’encontre de ceux qui ont appelé à l’annulation des épreuves concernées, décidé de ne pas annuler les questionnaires proposées. La direction dit avoir détecté un certain nombre de versions d’épreuves en circulation mais qu’elles ne sont pas conformes à celles proposées.
Les épreuves concernées sont l’oral de l’anglais, les Sciences intégrées et les études sociales. Selon des vérifications, la fuite a eu lieu entre minuit et 04 heures du matin juste après la saisie des questionnaires. Par la magie de la technologie, certains lycéens à Accra et dans la région Est du Ghana ont réussi à avoir accès aux épreuves et les questionnaires ont circulé sur WhatsApp. Reste à présent à remonter l’origine de la première publication des épreuves et le groupe Lagadia dans lequel l’information a été divulguée.
Avant cette fuite, Samuel Nii Nmai Ollenu, le président de la direction des Examens et concours a déclaré le lundi dernier qu’un logiciel de sécurité a été installé pour détecter et empêcher toutes formes de fuite d’épreuves d’examens.
Tout en décidant de na pas annuler des « fausses » épreuves qui sont en possession de certains candidats, la direction des Examens a indexé certains de ces agents pour des malversations et a par conséquent annoncé l’ouverture d’une enquête pour trouver et censurer le ou les coupables.
Source :koaci.com
C’est avec faste que le ministre ivoirien de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique avait annoncé et lancé en septembre 2015 l’opération un étudiant un ordinateur.
Cette opération qui visait à assurer à 100.000 étudiants ivoiriens un ordinateur ou une tablette à 51.500fcfa après deux mois avait largement été bien accueillie par les étudiants. Le doute avait rapidement disparu chez les plus sceptiques au regard de ce gouvernement qui a la réputation de tenir ses promesses et le nombre d’étudiants d’abord faible avait progressivement augmenté.
Mais voici que plus de 06 mois après le lancement de l’opération, aucun ordinateur ni tablette n’ont été livrés. La page facebook de l’opération qui reste le seul moyen de communication ouvert pour les étudiants est assaillie de questions qui restent sans réponse claire. Ce silence inquiétant pour les étudiants dont la situation financière n’est pas reluisante mais qui ont pu débourser cette somme, révèle un sentiment d’oubli de la part du gouvernement. L’Etat aurait-il vraiment oublié les étudiants ? Cette opération aurait-elle seulement eu un but électoral ? Où bien le changement de ministre a-t-il remis en cause ce projet si noble ?
Alors que les étudiants ayant souscrit n’ont aucune information claire quant à la situation du matériel promis et en vue d’exiger le remboursement de leurs souscriptions, les étudiants concernés ont lancé un sit-in le 04 avril 2016 au siège du ministère de tutelle.
En espérant que le gouvernement réagira assez tôt et démontrera qu’il n’oublie pas ses promesses.
Source :koaci.com
Le Groupe Orange à travers sa filiale Orange Côte d’Ivoire a acquis, mercredi, à 100% l’opérateur Cellcom du Liberia, rapporte un communiqué de presse dont APA a obtenu copie.
« Cette acquisition s’inscrit dans le cadre de la stratégie de développement d’Orange Côte d’Ivoire qui vise à accélérer sa croissance en pénétrant de nouveaux marchés émergents à forts potentiels », explique le communiqué.
Le leader de la téléphonie mobile en Côte d’Ivoire «apportera son expertise marketing, commerciale et technique afin de valoriser l’important réseau de l’opérateur libérien » et « contribuer à la croissance économique du Liberia ».
Le réseau de Cellcom qui compte 1,4 million d’abonnés est un excellent potentiel de croissance au cours des prochaines années, projette la Direction générale d’Orange Côte d’Ivoire.
Orange Côte d’Ivoire est le premier opérateur de la téléphonie mobile en Côte d’Ivoire avec 10 798 183 abonnés, suivi respectivement des réseaux MTN (8 130 003) et Moov (5 408 048), selon un rapport de l’Autorité de régulation des télécommunications de Côte d’Ivoire (ARTCI) au 31 décembre 2015.
Source :news.abidjan.net
Deux mois à peine après sa nomination à la tête du ministère de la Fonction publique et de la modernisation de l’Administration, Pascal Abinan Kouakou a été invité le jeudi 7 avril 2016 à la plate-forme d’échanges “Les rendez-vous du gouvernement’’ à l’immeuble Sciam au Plateau, pour se prononcer sur « les grands chantiers de la modernisation de l’Administration ivoirienne », thème retenu pour la rencontre. Il a affiché sa volonté de combattre la fraude au sein de l’Administration ivoirienne.
Malgré sa fraîche installation dans son fauteuil de ministre de la Fonction publique et de la modernisation de l’Administration, Pascal Abinan Kouakou a abordé sans faux-fuyant, les sujets en rapport avec son ministère. L’un de ces sujets concerne la fraude lors des concours de la Fonction publique. « Je suis moi-même un enquêteur. Je vais démanteler tous les réseaux qui consistent à faire en sorte que la réputation de la Fonction publique soit souillée. Et j’aurai les moyens de les démanteler. Nous entendons souvent dire qu’il y a des gens qui ont des places à vendre pour le concours d’entrée à l’Ecole nationale d’administration (Ena) par exemple. Ils demandent 1 million ou 2 millions FCFA à des candidats. Je combattrai ces gens qui s’enrichissent sur le dos de l’Administration et souillent ainsi sa réputation. (…) Nous allons combattre la fraude, car cela engage la modernisation de l’Administration », a assuré le ministre de la Fonction publique.
Pascal Abinan Kouakou a alors prévenu que tout fonctionnaire qui se fera prendre dans des cas de fraude liés aux concours d’entrée à la Fonction publique, sera immédiatement radié. Et, a-t-il poursuivi, ‘’si ce n’est pas un fonctionnaire, et qu’il s’agit de quelqu’un qui a créé son réseau, il sera mis à la disposition des autorités judiciaires et fera la prison.
Toutefois, Abinan s’est félicité de la baisse de la fraude pendant les concours d’entrée à la Fonction publique, depuis 2 ou 3 ans. Il a donc promis de poursuivre cet effort accompli par ses prédécesseurs et à exhorté les candidats aux concours d’entrée à la Fonction publique en ces termes : « Les gens doivent comprendre que c’est par le travail qu’ils pourront accéder aux fonctions auxquelles ils aspirent. C’est par le travail et non en utilisant des moyens détournés».
Nouvelles dispositions contre la fraude aux concours
Le ministre Abinan a également révélé quelques nouvelles dispositions prises pour lutter contre la fraude aux concours d’entrée à la Fonction publique. « Pour une matière, le choix de l’épreuve se fera par 10 personnes différentes qui ne se connaissent pas. Et parmi ces 10 épreuves qu’elles vont tirer au sort, une seule sera retenue. Donc, aucune de ces personnes ne saura si c’est l’épreuve qu’elle a tirée qui a été retenue ou pas. Quant aux correcteurs, ils seront 2 ou 3. Ils ne se connaitront pas non plus », a expliqué le nouveau locataire du ministère de la Fonction publique.
Il a ajouté que les concours de la Fonction publique ont été décentralisés dans le District de Yamoussoukro et dans 5 régions administratives de la Côte d’Ivoire. A ce titre, a-t-il souligné, les visites médicales et les dépôts de candidature se feront dans ce District et les régions concernées. Toujours selon lui, même les compositions s’y dérouleront, avec les dispositions sécuritaires requises en la matière. Dans les années à venir, a-t-il fait remarquer, ce procédé d’organisation des concours de la Fonction publique sera étendu à d’autres régions. « Cette année, 8 321 postes sont ouverts pour 278 concours. (…) Les inscriptions en ligne se font déjà. Depuis le 24 mars 2016 que ces concours ont été ouverts, il y a à peu près 6 000 inscriptions en ligne », a communiqué Abinan. Il a, ensuite, fait savoir que le dépôt des dossiers de candidature physiques s’impose également « pour vérifier l’authenticité de l’inscription en ligne ». A terme, a-t-il précisé, la mise sur pied d’un guichet unique est prévu pour l’organisation des concours d’entrée à la Fonction publique.
Contrôle accru de la présence des fonctionnaires à leur poste
Le ministre de la Fonction publique a saisi l’occasion pour relever le recours aux technologies de l’information et de la communication dans le cadre de la modernisation de l’Administration. Pour lui, la modernisation de l’Administration passe également par l’informatisation des services publics. « Cela a commencé. Je n’arrive pas dans un no mans’ land. Beaucoup de choses ont déjà été faites au niveau de l’informatisation », a-t-il reconnu.
A ce niveau, pour montrer les avancées dans son ministère, Abinan a parlé de l’extension de l’application du Système intégré de gestion des fonctionnaires et agents de l’Etat (Sigfae) et du Fichier unique de référence (Fur) à toutes les structures relevant de l’administration publique. « Le Fur permet également de donner autorisation à la solde de payer les fonctionnaires. Avant le 5 du mois suivant, je dois valider tous les paiements des fonctionnaires par rapport à leurs situations. Si un fonctionnaire n’était pas à son poste pendant la période du mois écoulé, il ne sera pas payé parce que je ne donnerai pas l’autorisation. Cela peut être lié à un abandon de poste. Mais si un fonctionnaire a été suspendu pour une raison ou une autre, et que la mesure a été levée après son passage devant le Conseil de discipline, je donne l’ordre pour que son salaire soit rétabli», a détaillé le ministre de la Fonction publique. A en croire Abinan, pour renforcer l’application du Fur, à Abidjan, des enquêteurs continuent d’être sur le terrain pour vérifier la présence des fonctionnaires à leur poste, tandis qu’à l’intérieur de la Côte d’Ivoire, la tâche a été confiée aux directeurs régionaux. Sur ce volet, il également annoncé l’élaboration d’un projet de décret portant création de l’Observatoire des services publics (Osep).
Impossible de décaisser près de 430 milliards FCFA pour les arriérés liés au déblocage des salaires
L’apurement de stocks d’arriérés demandé par certains fonctionnaires pour le déblocage de leur salaire est l’un des problèmes épineux hérité par le ministre Abinan. « Avec le déblocage des salaires, il n’y a plus d’arriérés de stocks. Tout a été réglé. (…) Les arriérés de salaire ont été payés. Il s’agit d’un stock d’à peu près 430 milliards FCA qui remonte à Mathusalem. A l’époque, à partir de la négociation qui avait été faite avec les partenaires sociaux, il avait été dit qu’après le déblocage, on devrait payer des arriérés, mais pas ceux qui remontent à toutes ces années en arrière. Il était question que ces arriérés de longues dates, fassent l’objet d’un effacement total. (…) Le blocage a eu lieu depuis 1980. Les salaires ont été réajustés depuis cette date. C’est cela que nous considérons comme des arriérés. Cela a été apuré », a clarifié le ministre de la Fonction publique, pour signifier l’impossibilité de décaisser près de 430 milliards FCFA pour les arriérés relatifs au déblocage des salaires.
Par ailleurs, Abinan a tenu à rappeler qu’en consacrant plus de 35% de ses dépenses pour les salaires des fonctionnaires, la Côte d’Ivoire est largement au-delà des 20% de la norme imposée au sein de l’Uemoa et doit mettre tout en œuvre pour s’y conformer.
avec planetesschool
Romans, poésies, pièces de théâtres ou recueils historiques, la littérature africaine est riche de nombreux ouvrages de références. Ces livres brillent aussi bien par les thèmes abordés que par leurs styles. Ecce Africa vous présente 10 de ces classiques de la littérature africaine.
L’aventure ambiguë : l’ouvrage du déchirement
Publié en 1954, « L’aventure ambiguë » de Cheikh Hamidou Kane est l’un des premiers livres africains abordant le thème, assez nouveau à cette époque, de la double culture d’un individu. Cette question y est si bien traitée, que le roman finit par être étudié dans toutes les écoles et universités africaines. Le livre raconte l’histoire de Samba Diallo, un enfant diallobé confié par son père au chef de la tribu.Il est éduqué selon les valeurs de l’école coranique, jusqu’à être en âge d’aller à l’école européenne. Justement, les chefs traditionnels sont dubitatifs à l’idée de lasser un enfant ayant fait montre de qualités exceptionnelles, perdre ses valeurs endogènes au contact de l’éducation européenne. Finalement, Samba ira à l’école française. Il est si brillant qu’il va continuer ses études à Paris. Mais la vie en France, s’il s’en accommode, plus qu’il ne l’apprécie, lui montre le fossé existant entre sa culture originelle et sa culture d’adoption. Il rentre vivre en Afrique, sur la demande de son père. Finalement, au contact des valeurs de son enfance, il se rend compte que ses racines ne sont plus aussi ancrées dans sa terre natale qu’avant. Cela causera sa perte. Ce livre est l’histoire d’une guerre, une guerre entre deux cultures, et le malheur de certains est que cette guerre se mène à l’intérieur d’eux-mêmes.
Les soleils des indépendances : le désenchantement de la décolonisation
Ce roman écrit par Ahmadou Kourouma, publié en 1968, est symptomatique du ressenti général des africains aux lendemains des indépendances. Il se dégage de ses pages un puissant sentiment de désenchantement. Désenchantement du héros de l’histoire pour commencer. Il s’appelle Fama Doumbouya et était un aristocratique malinké avant que les autorités malinké ne le dépouillent de ses prérogatives. Pour les récupérer, il participe au mouvement de libération nationale, en espérant récupérer, une fois les colons partis, son rang passé. Malheureusement, une fois l’indépendance acquise, Fama ne reçoit pour toute rétribution qu’une carte de parti politique. Pire, le Mali indépendant lui semble un pays étranger. Ironie du sort, ce traditionnaliste va périr, dévoré par le crocodile sacré, pourtant l’animal totem de sa dynastie, après qu’il a sauté dans un fleuve pour échapper à la police. Plus que le désenchantement d’un individu, ou d’un pays, c’est le désenchantement de tout un continent que décrit Ahmadou Kourouma au fil des lignes de cet incontournable de la littérature africaine. Un continent qui libre, n’arrive pas à devenir prospère, et dont les populations n’osent pas s’avouer, une fois l’euphorie indépendantiste tombée, que peu étaient prêts à payer le prix de la liberté.
Doguicimi : le classique oublié
Publié en 1938, Doguicimi de Paul Hazoumé est le premier roman historique africain. Il raconte l’histoire d’amour entre le prince Toffa et Doguicimi, une roturière, sur fond d’intrigues à la cour royale. Le livre raconte avec beaucoup de précisions les guerres menées à l’intérieur des royaumes du Danhomé mais également la traite des esclaves. Le roman est, par ailleurs, entrecoupé de paroles de chansons écrites selon les formes du conte traditionnel. Véritable étude ethnologique et historique, le livre a été récompensé, en 1939, par le « prix de langue française », de l’Académie française.
Rouge est le sang des noirs : Lumière sur les ténèbres de l’Apartheid
Ce livre écrit en 1946 par le sud-africain Peter Abrahams, raconte les discriminations subies par les noirs durant l’apartheid, à travers l’histoire de Xuma. Arrivé à Johannesbourg pour travailler dans les mines d’or, le jeune homme va découvrir le traitement inhumain réservé aux Noirs d’Afrique du Sud. Meurtri par cette discrimination, il décide de souffrir et de lutter aux côtés de ses compagnons pour améliorer la situation des Noirs.Ce livre présente l’apartheid dans sa bassesse la plus sombre, à tel point que certains lui attribuent quasiment une valeur historique.
Ethiopiques, les vers nègres
Ethiopiques est un recueil de poésies écrit, entre 1947 et 1956, par Léopold Sédar Senghor. Le titre du recueil vient du grec aethiops, dont le sens littéral est face brûlée ou face noire. Véritable ouvrage phare de la négritude, Ethiopiques célèbre les valeurs d’une culture négro-africaine, bafouée par la période coloniale mais capable de se réinventer à travers un métissage culturel et une adaptation à la langue française. Le long des lignes de ce recueil de poèmes, Senghor s’applique à faire de la langue française, un instrument de louange de la culture africaine. Il crée un profil d’Africain que le Français n’a pas acculturé, qui a conservé ses héros, ses valeurs culturelles et ses racines qu’il exprime désormais en français. Cet ouvrage est l’un des recueils de poèmes africains les plus lus dans le monde. Il a contribué en grande partie à la légende de Senghor dont la prose continue d’être louée de nos jours.
Le rocher de Tanios, entre mythe et histoire
Le Rocher de Tanios est un roman du Libanais Amin Maalouf, publié en septembre 1993. Ce livre propose, sur fond de guerre entre l’empire ottoman et l’Egypte, de reconstituer l’histoire de Tanios dont il faut éviter de toucher le rocher. Le lecteur découvre alors l’histoire d’un jeune garçon qui découvre un jour que Gérios, l’homme qui l’a élevé n’est pas son père.Il apprend que sa mère, Lamia, une très belle femme, avait succombé huit ans plus tôt au charme du cheik. Cette révélation sera à la base de nombreux remous qui conduiront à une fin tragique. En équilibre entre le conte et le récit historique, ce livre fait revivre des personnages tels que Tanios, le bâtard du Cheikh, mais aussi Mehemet Ali et son bras droit, le fameux Soliman Pacha. Le style fluide de l’auteur et la qualité de l’histoire vaudront à Amin Maalouf le prix Goncourt dès l’année de sa publication (1993).
Le lion et la perle, la sagesse africaine sous sa forme la plus caustique
Cette pièce de théâtre en trois actes du Nigérian Wolé Soyinka (jouée pour la première fois en 1959) est également l’un des livres les plus lus de l’auteur. Il raconte l’histoire de la jeune Sidi et de Lakounle, l’instituteur du village, qui sont amoureux, mais ne peuvent être ensemble car Lakounle, du haut de ses idées modernes, refuse de payer la dot. Malheureusement pour lui, sa dulcinée intéresse également le chef du village qui finit par avoir Sidi, grâce à d’habiles stratagèmes. Véritable hymne au réalisme et à une forme de sagesse très africaine, cette pièce de théâtre a traversé le temps et traverse les époques. Elle est d’ailleurs étudiée dans de nombreuses universités africaines.
Une si longue lettre, choc entre tradition et modernité
Ce roman épistolaire de Mariama Bâ est assurément l’un des plus grands classiques de la littérature africaine. Il rassemble les lettres échangées entre Ramatoulaye Fall, la narratrice et sa meilleure amie Aïssatou Bâ. Ramatoulaye vient de perdre son mari Modou. Il est mort, loin de sa femme qu’il a épousée malgré le désaccord de sa famille qui voit ce mariage, entre personnes de clans différents, comme une insulte à la tradition. Aïssatou a également épousé un homme moderne. Mais à l’instar son amie, le désespoir s’invite dans son existence. Son mari finit par céder à sa mère qui lui demande de prendre une seconde épouse imposée par la famille. Le long de leurs lettres, plus que le récit de leurs vies qui sombrent dans la morosité, c’est une lutte acharnée entre modernité et tradition que nous présentent les deux femmes. Le livre de Mariama Bâ se distingue comme l’un des tout premiers romans engagés écrits par une femme africaine, le tout dans un style dont la fraicheur défie les époques.
L’enfant Noir, un roman pré-indépendances qui occulte le colon
Véritable classique, le roman de Camara Laye traverse les époques et ne prend pas une ride. Premier roman de l’auteur, l’ouvrage publié en 1953 est considérée comme « l’un des textes fondateurs de la littérature africaine contemporaine ». Il s’agit d’une autobiographie racontant la vie de l’auteur, de ses 5 ans à son départ pour étudier en Europe. La particularité de ce livre réside dans le fait qu’il présente une Afrique qui, bien que colonisée, ne semble pas en souffrir outre mesure. Cela donnera lieu à de nombreux débats entre les auteurs de l’époque. En dehors de cette polémique, le style de Camara Laye fait l’unanimité. Le livre reçoit le prix Charles Veillon en 1954 et inspire un film éponyme en 1995.
Ville cruelle, la violence coloniale
‘’Ville Cruelle’’ de Mongo Béti est un roman très critique sur la période coloniale. Le livre raconte l’histoire de Banda, un garçon uniquement élevé par sa mère à Tanga Nord, après la mort de son père. Il désire se marier pour réaliser la dernière volonté de sa mère presque mourante. Mais il n’a pas assez d’argent pour la dot de sa fiancée. Il décide alors de se rendre à Tanga Sud, la zone commerciale de la ville, entièrement contrôlée par les colons, pour vendre du cacao en ville. Entre bastonnades, vols, brimades et exploitation, le jeune home sera très rapidement confronté aux réalités violentes de l’administration coloniale. Véritable satyre du passé colonial africain, ce livre est passé à la postérité, en majeure partie, pour sa description imagée des atrocités de la période coloniale.
avec ecceafrica
Un atelier, présidé par le ministre Paul Koffi Koffi, sur la réforme de ce système éducatif a eu lieu récemment à Grand-Bassam.
Enseignement technique: Accéder à l’apprentissage dès le primaire
L’accès aux établissements d’enseignement technique et de la formation professionnelle qui se fait, jusque-là, à partir de la classe de 5e, va très bientôt se faire dès la fin du primaire, c’est-à-dire dès la classe de Cm2. C’est l’une des recommandations du rapport final des travaux de l’atelier portant sur la «Relance de la réforme de l’enseignement technique et de la formation professionnelle», tenu du 31 mars au 2 avril à Grand-Bassam, et dont Fratmat a reçu copie.
Selon ce rapport final, l’atelier a adopté, entre autres recommandations, la création de classes préparatoires technologiques pour un accès des élèves aux grandes écoles d’ingénierie; l’accroissement des capacités d’accueil du dispositif de formation par la construction de nouveaux établissements et la réhabilitation et le rééquipement de l’existant ; la création de technopoles, notamment dans les zones industrielles; la promotion du genre par un accès favorisé des filles aux filières industrielles; le renforcement des capacités des acteurs du système (inspecteurs, encadreurs, enseignants, gestionnaires…); l’instauration de l’alternance dans la formation; l’amélioration des relations avec les autres ordres d’enseignement (éducation nationale et enseignement supérieur); l’ouverture des filières en fonction des besoins du marché; le renforcement et la dynamisation du partenariat avec le secteur privé; l’identification et la diversification des sources et modes de financement; l’élaboration des textes juridiques sous-tendant la réforme d’ici fin juin 2016.
Pour sa part, le ministre de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle, Paul Koffi Koffi, a indiqué s’inscrire dans la vision de l’école obligatoire pour les enfants de 6 à 16 ans et de l’Ivoirien nouveau prônée par le Président Alassane Ouattara.
C’est pourquoi il s’est engagé à mettre tout en œuvre pour la validation et l’application desdites recommandations, en vue de se conformer à la réforme démarrée depuis 2009, pour aboutir à un système d’enseignement de premier choix.
avec fratmat
Une collaboration tripartite a permis à la Côte d’ivoire de se doter d’une fondation pour favoriser l’innovation en matière des TIC. Dénommé « Smart-Up », la fondation aura pour mission majeure d’encadrer les jeunes porteurs de projets orientés vers les TIC.
La fondation « Smart-Up » est un incubateur né d’un partenariat entre le gouvernement ivoirien, Microsoft et l’Organisation des Nations Unies pour le Développement Industriel (ONUDI). Ce centre de l’innovation et de l’entrepreneuriat est situé au sein du Village des technologies de l’information et de la biotechnologie (VITIB), à Grand Bassam. Sur une période de deux ans, elle se chargera de détecter, incuber, encadrer, les projets innovants à fort potentiel économique, à même de créer des emplois.
« La première pépinière de projets TIC conçus par des intelligences locales », a soutenu le ministreBruno Nabagné Koné, en faisant allusion aux 50 jeunes promoteurs déjà sélectionnés. Au total, ce sont sur 200 promoteurs qui ont été retenus sur un total de 800 candidatures.
Rappelons que le 15 février dernier, l’annonce d’un fonds de 500 millions de F CFA a été présenté pour soutenir les projets TIC. A tous ces porteurs de projets, Bruno Nabagné Koné n’a pas manqué d’adresser des conseils d’usage en vue de leur permettre de concrétiser leurs rêves, qui est de voir leurs projets financés et produire de la valeur :
« Nous allons tout mettre en œuvre pour vous accompagner, mais vous devrez faire votre part. Vous êtes tenus de produire des résultats tangibles et concrets. Vous devrez vous montrer dignes de la confiance qui vous est faite, par votre sérieux, par votre régularité, par votre engagement à réussir votre projet. L’accompagnement financier dont vous bénéficierez ne doit pas être perçu comme un simple don (…), mais comme un levier pour le développement du numérique dans notre pays ».
avec laregionale
Pour l’instant, nous ne disposons d’informations officielles. Ce document suscite plusieurs intérrogations. Certainement, les conseils de ministres à venir nous éclaireront sur la question du nouveau statut de l’institut.
” AFFAIRE DISSOLUTION DE L’INPHB
Les Enseignants Chercheurs et Le Personnel Administratif et Technique ne démordent pas. Ils annoncent une marche de protestation contre la dissolution et la liquidation de l’INPHB demain mercredi.”
avec imatin
Le Directeur du Bureau régional du Fonds des Nations Unies pour la population pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre ((FNUAP-BRAOC), Mabingué Ngom a annoncé lundi, à Abidjan la poursuite de l’appui de son institution afin de faire reculer les grossesses en milieu scolaire en Côte d’Ivoire.
« Nous avons décidé de faire reculer le phénomène des grossesses en milieu scolaire, une question très douloureuse », a indiqué, Mabingué Ngom au terme d’un petit déjeuner d’échange avec les ministres ivoiriens de la Santé et de l’Hygiène Publique ; du Plan et du Développement ; de la Promotion de la femme, de la Famille et de la protection de l’Enfant et celui de la Promotion de la Jeunesse, de l’Emploi des jeunes et du service civique.
Pour le Directeur du Bureau régional de ce Fonds des Nations-unies dédié à la population, l’objectif de ce nouveau bail de confiance à la Côte d’Ivoire, est de « continuer la baisse de 40% affichée après une année et demie d’intervention ».
Mabingué Ngom qui séjourne depuis dimanche soir en Côte d’Ivoire a salué les efforts du gouvernement ivoirien pour «le taux de croissance, le retour au calme, la collégialité du gouvernement, les progrès enregistrés en ce qui concerne l’indicateur mère-enfant, jeunes ». Il visitera, mardi, au Lycée Sainte-Marie de Cocody un projet de lutte contre ce phénomène des grossesses en milieu scolaire.
Selon le ministère de l’éducation nationale, sur la période allant d’octobre 2014 à la mi-mars 2015, il a été dénombré dans les établissements d’enseignement primaire et secondaire de Côte d’Ivoire 5.992 cas de grossesses contre 6.800 cas l’année dernière.
Dans les écoles du primaire, ce sont 672 cas qui ont été recensés dont 5 fillettes de 9 et 10, 95 de 11 ans et 559 de plus de 11 ans. Au secondaire, il y a 4.250 cas de grossesses, dont une proportion de 23% de jeunes filles de plus de 18 ans, 30% dont l’âge varie entre 9 et 15 ans et 47% entre 16 et 18 ans.
SY/ls/APA
Source : apa
L’AUF (Agence universitaire de la francophonie) a organisé le troisième regroupement inter-régional du Collège Doctoral en Biotechnologies Végétale et Agroalimentaire, dont la cérémonie d’ouverture s’est déroulée dans la matinée du 15 février, au pôle scientifique et d’innovation de l’UFHB (Université Félix Houphouët Boigny).
Ce fut en présence du vice-Président de l’UFHB, professeur Affian Kouadio, du DG de la recherche scientifique et de l’innovation technologique, M. Kati Coulibaly et de membres du comité de pilotage que, cet atelier de de renforcement de capacités de (40) étudiants doctorants originaires de trois (03) régions (Maghreb, Afrique Centrale et de l’Ouest) a ouvert ses travaux.
C’est un dispositif de renforcement de capacités de formation à la recherche et par la recherche des établissements du Sud, dans l’objectif d’accompagner cette cohorte d’étudiants doctorants dans les thématiques biotechnologies végétale et agroalimentaire.
Il s’agit d’un accompagnement complémentaire dans ce qui a été dispensé dans les universités de région. C’est un comité scientifique qui a été constitué, une équipe internationale d’enseignants de France, Belgique, Maroc, Tunisie, Sénégal, Cameroun, pour donner un enseignement supplémentaire à ce qui se fait dans les régions pendant quatre ans jusqu’à ce qu’ils soutiennent leur thèse.
Cet accompagnement se traduit par un certain nombre d’activités qui sont mises en place, à savoir le regroupement de ce jour qui va s’étendre sur une semaine avec ces doctorants et le comité scientifique pour l’encadrement.
« On va commencer par un atelier de présentation sur l’état d’avancement de la thèse. Il y a des ateliers de méthodologies de rédactions scientifiques (comment rédiger la thèse et les pièges à éviter). On les accompagne dans la rédaction d’articles scientifiques parce que dans certains pays, il est exigé d’avoir publié des articles avant de soutenir la thèse. On les entraine à cela. On va visiter des laboratoires de recherche, des plantations de cacao, le laboratoire Nestlé » a expliqué Mme Rachida Maouch, la responsable du Projet de l’équipe AUF Paris.
Selon elle, il y aura également au programme des ateliers thématiques qui seront animés par des enseignants des universités d’Abidjan qui vont exposer l’état d’avancement de la recherche de façon contextualisé. Des exercices pratiques de présentation de thèse en 03 minutes de façon ludique et accessible au public seront faits en thème de simulation.
Par ailleurs, « l’aide de l’AUF nous permet de procéder à certaine mobilité, à aller dans des universités et laboratoires suffisamment équipés pour effectuer une partie de nos recherches. Ça, c’est l’aspect scientifique que l’AUF nous apporte. Au-delà des manipulations dans les laboratoires, nous avons quelques séminaires, cours et petites formations que nous suivons » a indiqué Bukamba Célestin, étudiant doctorant en Agroalimentaire.
Le vice-Président de l’UFHB, professeur Affian Kouadio, a quant à lui apprécié cet accompagnement dans la formation des doctorants, une activité qu’il a dite importante. Il en a profité pour parler de la nécessité des écoles doctorales à l’UFHB.
« C’est vrai qu’on n’a pas encore mis en place les écoles doctorales, ce n’est pas un manque d’intérêt. C’est un tournant qu’il faut négocier dans de bonnes conditions. Et je suis convaincu que cette année on va faire un grand séminaire pour la mise en place de ces écoles doctorales. C’est tout une administration qu’on doit pouvoir mettre en place » a-t-il confié.
JOB ATTEMENE
La plupart des adolescents veulent simplement jouer à des jeux vidéo, et ne pas penser à l’avenir. Mais pas pour Temper Thompson. Quand il était au collège, il a décidé de ne pas demander l’argent à ses parents. Alors il a commencé un business sur Internet. Son but était de gagner 100 $ chaque mois.
Maintenant, Temper Thompson, 17 ans, gagne 30.000 $ par mois en vendant des cours sur le webmarketing…
Ce génie du web a décidé de partager avec vous ses cinq règles de succès :
- Prendre des mesures
“Beaucoup de gens parlent de ce qu’ils veulent faire, mais en réalité ils ne le font jamais“, dit Temper. “Si vous ne prenez pas des mesures, vous ne réussirez jamais à avoir du succès.“
- Ne pas craindre de l’échec
Trop de gens essaient, échouent, et d’abandonner, dit Temper. “Pas étonnant qu’ils ont jamais atteindre le succès. L’échec est un avantage. Vous apprenez de vos erreurs et vous devenez meilleur.“
- Restez concentré
“La chose la plus puissante que vous pouvez faire est juste se concentrer sur une seule chose,“ dit-il. “Vous pouvez devenir beaucoup plus grand quand vous restez concentré.“
- Entourez-vous de gens positifs
“Si vous vous entourez de gens négatifs et non réussis, ils vous entraînent avec eux“, dit Temper. “Les gens positifs vont vous supporter et vous aident à rester concentré.“
- Sortir de votre zone de confort
“Beaucoup de gens vont atteindre leur but et dire qu’ils sont heureux“, dit-il. “Si vous sortez de votre zone de confort, vous pouvez continuer à augmenter vos buts et continuer à grandir.“
Temper Thompson peut-être encore à l’école, mais il a beaucoup de choses à nous enseigner sur le succès !
Avec lentrepreneuriat
M.Inza CAMARA, délégué général du service de promotion économique de la Côte d’Ivoire aux USA, au Mexique et au Canada, après avoir décliné les missions de son service en faveur de l’agri business, a expliqué que la présente mission américaine en Côte d’Ivoire rentre dans le cadre de la mise en œuvre du partenariat entre l’université d’Arkansas Pinebluff et l’université NORD-SUD.
« Nous avons signé un accord de partenariat avec l’université d’Arkansas depuis juin 2015, qui est l’aboutissement d’un rêve. Cette université américaine qui a 125 ans d’existence est à 98% composé de noirs et proche de nos réalités africaines», a indiqué le fondateur de l’université NORD-SUD, Mory DIABATE. Et de poursuivre : «Cette université américaine est très outillée en agro-business et l’État d’Arkansas est premier dans le domaine du riz, 2è dans la production du poisson et 3è dans le coton ». Des acquis que M. Diabaté compte capitaliser et mutualiser au bénéfice de son institution.
Pour Dr. GARNER James, doyen de la faculté d’agriculture, représentant le Recteur de l’université d’Arkansas Pinebluff, l’objectif du partenariat vise à favoriser la mobilité d’enseignants et d’étudiants entre les deux universités. « Il s’agit également d’apporter notre expertise technique à la mise en œuvre des différents projets et partager les expériences entre les deux institutions », a-t-il souligné.
Quant au ministre Bakayoko-Ly Ramata, « ce partenariat s’inscrit dans la vision que nous avons de l’université, celui d’être de véritables pôles de compétitivité économique et de développement ». Elle a fait savoir que « l’université Félix Houphouët-Boigny est entrain de développer un pôle technique d’innovation, une unité de production de phytomédicament ». Elle a conclu en souhaitant qu’à travers le projet pilote de Dimbokro, l’expertise soit développer dans toutes les universités ivoiriennes.
Source : enseignement.gouv.ci
Quarante-quatre élèves sur 50 représentant 88,3% de l’effectif total, n’ont pas une maîtrise de la lecture à la fin du Cours préparatoire première année (CP1), révèle une étude de la Direction de la veille et du suivi du programme du ministère de l’Education nationale, recommandant au gouvernement d’engager une lutte contre le fléau pour des « Ivoiriens nouveaux ».
Selon le directeur de cette structure, Désiré Kauphy, qui a souligné l’ampleur du phénomène, la maîtrise de la lecture par les élèves du CP1 passe par plusieurs actions notamment la lutte contre le redoublement au CP1, la sensibilisation des parents sur le travail domestique, l’alphabétisation des mères, la promotion des femmes à la direction et la fourniture de point d’eau dans les écoles.
Pour la ministre Kandia Camara qui a salué à l’ouverture, mercredi à l’Hôtel du district d’Abidjan, la tenue de ce séminaire, la lecture constitue la première habileté à développer chez l’enfant afin de le prédisposer à exécuter le processus d’apprentissage.
« Cet atelier nous donne l’occasion de marquer un arrêt sur les acquis de nos enfants et de réfléchir ensemble sur les pratiques et les conditions d’apprentissage. Ces résultats doivent nous permettre d’apprécier le niveau réel des apprenants et de rechercher le cas échéant des solutions de remédiation en terme de stratégie et de politique éducative », a-t-elle ajouté.
Mme Camara a exhorté les différents acteurs à relever le défi de la scolarisation obligatoire avec une école de qualité pour permettre au plus grand nombre d’enfants de poursuivre leur étude, de construire leur avenir personnel et professionnel et de se préparer à l’exercice de la citoyenneté.
AIP
Le chef de l’Etat nigérian, Muhammadu Buhari, a annoncé le 22 décembre dernier à l’occasion de son discours au parlement sur le budget 2016 que son gouvernement travaillait avec des partenaires en vue de la mise en place d’un programme devant conduire à la gratuité de la formation pour les étudiants inscrits dans les filières science, technologie et éducation de l’enseignement supérieur.
Sur le site internet du journal nigérian Vanguard, l’information a été abondamment commentée par les internautes nigérians. Chacun y allant de son analyse. Pour les uns, l’initiative est salutaire tandis que pour les autres, c’est une mesure discriminatoire qui risque d’entraîner beaucoup d’actes de corruption au moment de la sélection des étudiants admis à s’inscrire dans les filières concernées.
En revanche, cette information n’a pas fait grand bruit dans les pays francophones d’Afrique. Par exemple, sur les forums camerounais, un internaute dont les posts sont souvent abondamment commentés, partagés et “likés” a publié cet article et n’a recueilli à ce jour qu’un seul commentaire et moins de vingt (20) partages et “like” au total.
En outre, une recherche sur internet montre qu’il n’y a presque pas de journaux ou sites internet francophones qui aient repris une telle information ; bien que celle-ci mérite d’être largement diffusée pour servir d’exemple dans les autres pays du continent.
Qu’elle soit comprise ou non, et sous réserve de la manière dont seront sélectionnés les candidats à une inscription dans ces filières, la décision du gouvernement nigérian est on ne peut plus louable et doit sonner comme un appel à une prise de conscience sur tout le continent en faveur d’une révolution scientifique en vue de booster le développement de l’Afrique.
“Il importe que de plus en plus d’Africains soient formés dans les disciplines scientifiques pour constituer prochainement une masse critique à même d’inverser la tendance actuelle qui veut que les découvertes, inventions et innovations scientifiques viennent (presque) toujours d’ailleurs”
Julien Chongwang
Car, il faut le dire, les secteurs de la science, de la recherche et tes technologies continuent obstinément d’être les parents pauvres des programmes de développement et des politiques publiques des pays d’Afrique, et en particulier ceux d’Afrique francophone.
Au Cameroun par exemple, la loi de finances 2016 qui vient d’entrer en vigueur ne consacre que 12,837 milliards de FCFA au ministère de la Recherche scientifique et de l’innovation. Non seulement cette enveloppe est en baisse de 7,29% par rapport à celle de l’exercice 2015, mais surtout, elle ne représente que 0,3% du budget total du pays pour l’année 2016. Et en entrant dans le détail de l’usage de ces fonds, l’on constate aisément qu’aucune ligne n’indique un quelconque appui aux institutions de recherche pour par exemple les rendre plus efficaces et plus compétitives.
Panacée
Au Bénin, les candidats à la prochaine élection présidentielle rivalisent actuellement d’arguments pour séduire les électeurs ; mais, aucun d’entre eux n’évoque le thème de la recherche scientifique. Il y a quelques semaines, l’on avait assisté au même scénario au Burkina Faso à l’occasion de l’élection présidentielle qui a sanctionné la fin de la transition, portant Roch Marc Christian Kaboré à la tête du pays. Pas d’allusion non plus à la question de la recherche scientifique.
Dans un tel contexte général en Afrique francophone, l’Ile Maurice dont la nouvelle présidente, le chercheur Ameenah Gurib-Fakim, a promis, après son élection en 2015, de promouvoir la diplomatie scientifique, et Madagascar dont le président, Hery Rajaonarimampianina, avait promis, début 2015, d’attribuer au secteur de la recherche sa vraie place, font partie des Etats privilégiés sur un continent qui tarde à se rendre à l’évidence qu’elle a impérativement besoin de la recherche scientifique pour sortir ses populations de la pauvreté, de la faim et du sous-développement.
Seule la recherche scientifique permettra en effet de trouver de nouvelles variétés de semences ou de cultures pouvant produire abondamment de vivres pour nourrir la population croissante, nonobstant les rudes conditions qu’imposent désormais les changements climatiques.
Seule la recherche scientifique permettra de mettre au point des remèdes ou des vaccins contre les multiples maladies qui déciment les populations du continent africain, le privant ainsi d’une bonne partie de sa force de travail et de production.
Seule la recherche scientifique permettra aux Africains de construire des machines pouvant aider à l’exploitation et à la transformation des énormes potentialités de leur continent.
Bref, la recherche scientifique se pose aujourd’hui comme la panacée pour un continent où, manifestement, tout reste à faire ; tant du point de vue de l’industrialisation et des infrastructures que de celui de la formation des citoyens et de celui de la lutte contre les fléaux tels que la faim et les maladies.
Il importe dès lors que de plus en plus d’Africains soient formés dans les disciplines scientifiques pour constituer prochainement une masse critique à même d’inverser la tendance actuelle qui veut que les découvertes, inventions et innovations scientifiques viennent (presque) toujours d’ailleurs ; avec souvent une nette difficulté d’adaptation aux réalités africaines.
Il est donc vivement attendu que l’intention exprimée par le chef de l’Etat nigérian finisse par se matérialiser concrètement et qu’elle ait un effet d’entraînement sur tous les pays du continent qui marginalisent encore la science dans leurs politiques publiques.
avec scidev
Selon les prévisions du ministère de l’Emploi et de la Formation professionnelle, 400 000 nouveaux emplois seront créés sur l’ensemble du territoire camerounais au cours de l’année 2016, soit près de 70 000 postes de plus que l’année dernière, rapporte le Quotidien gouvernemental.
En effet, dans son adresse à la Nation le 31 décembre 2015, le chef de l’Etat camerounais, Paul Biya, a annoncé que 337 660 emplois ont été créés dans le pays, selon les statistiques compilées à fin novembre 2015.
L’on remarque cependant que le chiffre révélé par le Président Biya est inférieur aux 350 000 emplois annoncés en début d’année par le ministère de l’Emploi.
Selon ce département ministériel, cet objectif n’a pas été atteint à cause, en partie, de la mise en œuvre tardive du plan d’urgence triennal 2015-2017, sur lequel le ministère de l’Emploi avait fait une projection de création de 35 000 emplois au total.
Au demeurant, les responsables de ce département ministériel confessent eux-mêmes que les chiffres sur l’emploi au Cameroun sont quelque peu biaisés, apprend-on, du fait de facteurs tels que «l’insuffisance des ressources financières allouées à la collecte des informations sur l’emploi, la réticence de certaines entreprises à fournir périodiquement les informations sur la main d’œuvre employée ou recrutée et à élaborer les plans de gestion prévisionnelle des effectifs».
investiraucameroun
Une action saluée par les jeunes, les élus et cadres de la région dont la ministre auprès du premier ministre chargée de l’économie et des finances Kaba Nialé. La députée de Bouna s’est félicitée de toutes les dispositions prises par le président de la République Alassane Ouattara relativement à la question de l’emploi jeunes. A l’endroit des jeunes bénéficiaires, elle les a sensibilisés à être des modèles, en utilisant à bons escient les montants reçus : « J’ose espérer que vous serez la fierté de cette région en remboursant, en suivant la formation, en relevant le défi de gestion », a-t-elle exhorté. Nialé KABA a dit sa disponibilité à accompagner les actions du ministre Sidi Touré afin de soutenir le projet emploi jeunes dans la région du Bounkani.
Appel à candidature pour des postes à l’Agence Emploi jeunes
Abidjan – L’Agence Emploi jeunes lance un appel à candidature pour un poste d’administrateur et six postes de directeurs, selon un communiqué sur son site www.emploijeunes.ci.
Les postes à pourvoir sont celui d’un administrateur, d’un directeur de l’information et de la communication, d’un directeur du partenariat et du financement, d’un directeur des études, de la statistiques et du suivi-évaluation, d’un directeur des moyens généraux ainsi que d’un directeur de l’audit interne et du contrôle de gestion.
Créée par ordonnance n°2015-1228, l’Agence Emploi Jeunes (AEJ), est destinée à être le guichet
Unique de l’emploi en faveur de la promotion de l’insertion professionnelle et de l’emploi des jeunes
de Côte d’Ivoire.
AIP
Bouaké -L’université Alassane Ouattara (UAO) de Bouaké a célébré ses 289 enseignants chercheurs promus maîtres assistants, maîtres de conférence et professeurs titulaires par le Conseil supérieur africain et malgache pour l’enseignement supérieur (CAMES), sur la période de 2008 à 2015, pour leur mérite et l’honneur qu’ils font à l’institution.
Les promus ont reçu des insignes « deux étoiles » pour les maîtres-assistants, « quatre étoiles » pour les maîtres de conférences et « cinq étoiles » destinées aux professeurs titulaires. Ces insignes ont été spécialement conçus par le président de l’université Alassane Ouattara, Pr Poamé Lazare, et produits par le CAMES. Ils représentent, pour le Pr Poamé, « le reflet lumineux de la hiérarchie universitaire ».
Le président de l’UAO a félicité les 171 maîtres assistants, 71 maîtres de conférences et 47 professeurs titulaires pour « les prouesses réalisées à l’issue des rudes preuves du CAMES ».
Ces dernières années, a-t-il indiqué, l’université Alassane Ouattara est honorée d’un palmarès de 100% d’admis au concours d’agrégation de médecine, 100% au concours d’agrégation de science de gestion et 100% au concours d’agrégation des sciences juridiques et administratives.
Des résultats qui honorent à la fois l’institution et le nom qu’elle porte, a dit le premier responsable de l’université Alassane Ouattara, ajoutant qu’elle peut se targuer d’être aujourd’hui une université qui fait de l’excellence.
Le secrétaire général du CAMES, Pr M’Batchi Betrand, a salué les efforts accomplis des promus, leur a demandé d’être fiers des médailles qu’ils ont reçues, avant de leur recommander d’œuvrer dans l’humilité pour parvenir au dernier grade.
Démarré en 1992 avec une dizaine d’enseignants chercheurs, l’université Alassane Ouattara de Bouaké compte à ce jour plus 500 enseignants chercheurs.
AIP
Votre éducation ne doit pas arrêter quand vous quittez la salle de classe.
Acquérir de nouvelles compétences est un excellent moyen de développer votre esprit et prendre de l’avance dans votre carrière – et il est plus facile que jamais avec une pléthore de classes en ligne en un seul clic.
Un bon endroit pour commencer est avec des cours de Coursera plus populaires de cette année de grandes universités. Ils vont d’une introduction au langage Python de programmation pour la maîtrise de l’art de la négociation. Tous sont gratuits, mais certains ont payé versions qui offrent des expériences plus vastes.
Lisez la suite pour voir top 10, avec la permission de cette année de Coursera.
10. Introduction à la comptabilité financière – Université de Pennsylvanie
Shutterstock
Wharton professeur Brian J. Bushee enseigne les bases de la comptabilité dans ce cours. À la fin, vous saurez comment lire en toute confiance un compte de résultat, le bilan et l’état des flux de trésorerie.
Il est l’un des quatre cours de fondation d’entreprise le paquet Coursera de Wharton, qui vous coûte 595 $ pour les classes et un projet de fin, tous classés. Si vous ne vous souciez pas d’un certificat ou de faire partie d’une cohorte qui peut interagir avec l’autre et les professeurs, vous pouvez travailler à travers chacun des cours gratuitement.
Prochaine session: 28 Décembre – 1 Février
9. négociation réussie: stratégies et les compétences essentielles – Université du Michigan
Miguel Villagran / Getty
Ross School of professeur d’affaires George Seidel a enseigné des cours de négociation dans le monde et dit sa classe basée sur la recherche est utile si vous essayez d’obtenir un investissement d’un million de dollars dans votre entreprise ou pour abaisser le coût de votre facture de câble.
Prochaine session: Toujours disponible
8. Introduction à la programmation en Python Interactive (Partie 1) – Rice University
Coursera
Python est l’un des cinq principaux langages de programmation au monde et est utilisée à des organisations comme Google, Yahoo, et la NASA. Il est un langage de haut niveau, mais un novice peut apprendre les bases relativement facilement.
Professeurs de riz Joe Warren, Scott Rixner, John Greiner, et Stephen Wong garder le intéressant de cours en demandant aux élèves utilisent Python pour construire des jeux simples comme Pong et Asteroids.
Prochaine session: Janvier 9 – Février 2
7. La méditation bouddhiste tibétain et le monde moderne – Université de Virginie
Chung Sung-Jun / Getty
Ce cours de l’Université de Virginie professeurs David Francis Germano et Kurt R. Schaeffer jette un regard sur plusieurs bouddhistes tibétains méditation traditions de fins historiques, religieuses, scientifiques et pratiques.
Il est une introduction multicouche aux racines d’une pratique de plus en plus sécularisé.
Prochaine session: Toujours disponible
Boîte à outils 6. Les données Scientifique – Université Johns Hopkins
Coursera
Johns Hopkins professeurs Jeff Leek, Roger D. Peng, et Brian Caffo utilisent ce cours en deux parties de donner un aperçu de ce qu’est exactement scientifiques de données ne, ainsi que pour initier les élèves à certains de leurs outils: le contrôle de version, démarques, git, GitHub, R, et rstudio.
Il est l’un des neuf cours dans le paquet d’introduction de données de la science, qui coûte 470 $ pour la pleine participation et un certificat d’achèvement.
Prochaine session: La session actuelle reste ouverte, se termine le 2 Janvier
5. R Programmation – Université Johns Hopkins
Coursera
Ceci est une autre classe dans le paquet de données de la science Johns Hopkins. Il présente aux élèves le langage de programmation R, qui est la langue la plus populaire au monde pour l’analyse des données.
Prochaine session: La session actuelle reste ouverte, se termine le 2 Janvier
4. Machine Learning – l’Université de Stanford
Reuters / Yuya Shino
Si vous avez eu envie de savoir plus sur l’intelligence artificielle, ceci est un excellent endroit pour commencer. Stanford professeur associé et co-fondateur Andrew Ng Coursera utilise des études de cas et des exercices de programmation pour illustrer quelques-unes des façons les machines apprennent.
Prochaine session: 28 Décembre – 21 Mars
3. Programmation pour tout le monde (Mise en route avec Python) – Université du Michigan
Flickr / Kushal Das
Ceci est un autre cours Python, professeur de Michigan Charles Severance.
Cela fait partie d’une de cinq ans, alors pensez à celui-ci si vous êtes à la recherche d’un fondement plus approfondie.
Prochaine session: La session actuelle reste ouverte, l’inscription prend fin le 21 Décembre
2. Maîtriser l’analyse des données dans Excel – Duke University
Coursera
Duke post-doctorant Jana Schaich Borg et directeur du Centre pour la modélisation quantitative Daniel Egger enseigner aux élèves comment utiliser Excel pour comprendre les concepts derrière l’incertitude de réduction et de l’information de gain des modèles prédictifs que les scientifiques utilisent des données.
Il est l’un des quatre cours dans le paquet de la science des données de Duke, qui coûte 395 $ pour une pleine participation.
Prochaine session: 14 Décembre – 1 Février
1. Apprendre à apprendre: outils mentaux puissants pour vous aider à maîtriser des sujets difficiles – Université de Californie à San Diego
Matt Cardy / Getty
Professeur à l’Université d’Oakland Barbara Oakley et professeur Salk Institute Terrence Sejnowski utilisent des études de chimie du cerveau afin de déterminer les meilleures façons d’aborder un nouveau sujet, mémoriser des faits, et de faire face à la procrastination.
Les instructeurs font une affirmation audacieuse: “Si vous avez toujours voulu apprendre à mieux quelque chose, ce cours vous aidera à vous servir de guide.”
Prochaine session: Janvier 4 – 7 Février
Excellez dans votre métier en rejoignant Vivo Energy.
Vivo Energy, la société qui distribue et commercialise les carburants et lubrifiants de la marque Shell, est présente dans 16 pays africains. Nous sommes engagés à attirer, développer et récompenser nos employés tout en leur procurant l’environnement de travail et les ressources nécessaires pour produire d’excellents résultats.
Vivo Energy Guinée a été créée en 2011. La marque Shell est présente en Guinée depuis 1961. Vivo Energy Guinée possède 85 stations-service, dont une majorité propose les carburants et lubrifiants Shell et des boutiques. Vivo Energy Guinée compte 75 employés, mais l’entreprise fournit plus de 300 emplois indirects. La société est reconnue comme étant le leader du secteur pétrolier, particulièrement réputée pour les normes qu’elle met en place et qu’elle défend en matière de sécurité des ventes et de la distribution. Fort de plus de 2 250 collaborateurs, le Groupe Vivo Energy souhaite aujourd’hui renforcer les effectifs de sa filiale en Guinée, en recrutant, dans le cadre d’un contrat de travail local :
Un(e) Responsable Grands Comptes – Key Account Manager (réf. VEGKAM)
Principales responsabilités :
Vous avez pour rôle de gérer et développer de solides relations commerciales avec nos principaux clients du secteur minier, en coordonnant toutes les activités de gestion de comptes relatives à ces clients et en harmonisant les interactions entre toutes les parties prenantes.
Ainsi, vos responsabilités consistent, entre autres, à :
- – assurer la bonne gestion des grands comptes de notre portefeuille de clients du secteur minier en atteignant les objectifs de marge et de ventes fixés ;
- – planifier et conduire les négociations commerciales avec les principaux dirigeants des entreprises minières ;
- – prospecter des clients potentiels et identifier des nouvelles opportunités de croissance ;
- – implémenter le plan d’action marketing défini pour les grands comptes, en partenariat avec le service Marketing ;
- – contrôler et analyser ses objectifs de ventes par compte, en appliquant les actions appropriées ;
- – veiller à la bonne application de l’ensemble des éléments de notre politique en matière de crédits ;
- – diagnostiquer et résoudre les problèmes rencontrés, en adoptant les démarches les plus appropriées ;
- – garantir la sécurité de nos contrats en s’assurant à tout moment qu’ils sont actualisés et conformes aux
règlementations en vigueur.
Profil requis :
- – Diplôme d’Ingénieur, expérience technique ou commerciale pertinente d’au moins cinq années incluant la vente, la négociation et le développement des affaires.
- – Bonne compréhension des principes du marketing.
- – Bonne connaissance des opérations d’approvisionnement et des règles HSE dans les sites miniers.
- – Bonne connaissance des opérations de gestion des dépôts de carburant.
- – Excellent sens commercial, aptitudes avérées en analyse et résolution de problèmes.
- – Maîtrise de l’anglais écrit et oral exigée.
Pour postuler
Veuillez envoyer à l’adresse corporate@vivoenergy.com uniquement un CV détaillé et une lettre de motivation à l’attention de la DRH en indiquant la référence du poste. Date limite d’envoi de la candidature : 31 décembre 2015.
Vivo Energy est une société qui valorise la diversité et qui offre l’égalité des chances à tous les candidats.
Intégrer Vivo Energy Guinée, c’est rejoindre une entreprise qui offre, au-delà d’une rémunération attractive et des conditions de travail motivantes, de réelles perspectives de progression et de développement pour ses collaborateurs les plus performants. www.vivoenergy.com
La jeune Stéphanie Mbida, actuellement âgée de 16 ans est une surdouée. Elle a été révélée aux africains il y a quelques temps à travers quelques articles parus dans la presse internationale. Stéphanie, américaine d’origine camerounaise, vit à New York avec ses parents camerounais et a à son jeune age, un parcours hors du commun. Parcours qu’elle résume elle-même ci-dessous dans une récente interview publiée dans les quotidiens camerounais:
Je viens tout juste de fêter mon seizième anniversaire. Je pourrais être qualifiée de précoce. A quatre ans, je connaissais déjà toutes les tables de multiplication et à l’âge de six ans, je lisais, résumais et interprétais les œuvres et essais philosophiques d’auteurs tels que Voltaire, Victor Hugo, Charles Dickens, ou encore Emerson. J’ai passé mon premier examen d’entrée à l’université (le Sat II Us History) à l’âge de onze ans avec un score de 780 points sur un total maximum de 800, surpassant de loin 96% de tous les candidats aux Etats-Unis qui avaient en moyenne l’âge de dix-sept ans. Présidents Bush et Clinton m’ont félicité pour cette performance. J’ai entre-temps passé deux autres examens avec des résultats comparables l’année suivante, à l’âge de douze ans. Au début de cette année, j’ai été invitée dans 5 pays différents (Etats-Unis, France, Royaume Uni, Allemagne, Irlande) par les chanceliers de 10 des universités les plus prestigieuses et sélectives du monde à aller étudier dans leur établissement, en l’occurrence l’université de Cambridge au Royaume Uni, l’université de Dublin, la Sorbonne (Paris 1er), l’université technique de Munich, la Columbia University à New York, l’université de Boston, l’université de North Carolina Chapel Hill, Georgia Tech, l’université de Wisconsin-Madison, et la Nortwestern University.
Elle a aussi correspondu avec 190 leaders des pays les plus développés, parmi lesquels 25 chefs d’état et de gouvernement à l’instar des Présidents Bill Clinton, George W. Bush et Barack Obama, du Pape Benoît XVI, de la reine d’Angleterre Elizabeth II, 16 ministres de l’éducation, 103 PDG des plus grandes compagnies du monde, et bien d’autres.
J’ai en effet correspondu avec un total de 190 des plus grands dirigeants de ce monde dans les domaines de la politique, de l’éducation et de l’industrie. En fait, j’ai échangé ma première correspondance avec un président à l’âge de huit ans. Cependant, la majorité de ces échanges de correspondances datent des années 2009 et 2010 et portent sur les observations et recommandations que j’ai faites à ces dirigeants concernant la crise économique mondiale et les catastrophes industrielles de grande envergure, telles que la marée noire de BP ou encore les rappels massifs de produits défectueux qui non seulement mettent les vies d’un grand nombre de personnes en danger et déstabilisent les entreprises qui les produisent, mais affaiblissent aussi considérablement le système financier international. Tous ces dirigeants m’ont répondu qu’ils avaient énormément apprécié mes conseils et m’ont promis qu’ils feraient de leur mieux pour les mettre en pratique.
Et ensuite:
J’ai reçu des lettres de 25 présidents, chefs d’Etat et de gouvernements tels que le Président Obama, le Pape Benoît XVI, la Reine Elizabeth II d’Angleterre, la Présidente Tarja Halonen de Finlande, les Premiers ministres d’Espagne et d’Australie, la Chancelière allemande Mme Angela Merkel, et bien d’autres. J’ai également reçu des lettres de 16 ministres de l’Education de pays comme la Suisse , les Pays-Bas, le Royaume Uni, le Danemark, Singapour, Taiwan, ou encore l’Espagne. J’ai suggéré à ces ministres de réviser le curriculum de leurs universités et de leurs établissements d’enseignement secondaires. Je leur ai également proposé des méthodes pratiques afin de réadapter ces curricula aux problèmes du vingt-et-unième siècle. De plus, 103 Présidents-Directeurs-Généraux des plus grandes entreprises mondiales et 41 chanceliers des universités les plus sélectives et prestigieuses du monde m’ont eux aussi remercié pour mes conseils.
Clinton m’a dit qu’il était très impressionné par le caractère unique de mes idées et par ma détermination d’améliorer la qualité de vie des êtres humains aux Etats-Unis et dans le reste du monde. Il m’a d’ailleurs écrit deux autres lettres après celle-là.
Meme Paul Wolfowitz, Président de la banque mondiale, n’a pas résisté à l’idée de recevoir la jeune fille dans ses bureaux de Washington DC, aux Etats Unis:
C’était une expérience chaleureuse et inoubliable, un des événements les plus marquants de ma vie. M. Wolfowitz m’a fait l’honneur inestimable de m’accorder un entretien entre deux meetings extrêmement importants, alors que je n’avais que dix ans, en signe d’appréciation pour les conseils que je lui ai donnés sur la réduction de la pauvreté de masse et ses corollaires. Je lui en serai éternellement reconnaissante.
popafro.com
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GROUP WORLD DREAM recrute 02 OPERATEURS DE SAISIE Description du poste Dans le cadre du lancement de ses activités le Group World Dream recrute 2 operateurs de saisi qui aurons pour mission la saisi des courriers et de tous les documents. Profil du poste avoir l’âge compris entre 19 et 25, avoir une formation en informatique, être résident de la commune d’abobo. Rigoureux, Dynamique, maitrisé les logiciels de saisie (world, Excel, etc…. Salaire a discuté sur place. Dossiers de candidature Salaire à discuter sur place. Toute personne désirant postuler est priée d’envoyer les documents ci dessous CV + lettre de motivation à l’adresse suivant : groupworlddream@gmail.com NB : veuillez marquer votre lieu de résidence dans le mail. |
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GROUP WORLD DREAM recrute DES COMMERCIAUX Description du poste Dans le cadre du lancement de ses activités le Group World Dream entreprise de publicité, d’ annonce, de promotion et vente, d’ organisation d’évènement recrute des jeunes hommes et filles pour des postes de commerciaux qui aurons pour mission de prospecter de nouveau client , de faire la promotion de l’entreprise , . Profil du poste avoir l’âge compris entre 19 et 25 ans. avoir une bonne diction en français si possible en anglais, Rigoureux, Dynamique. Dossiers de candidature Toute personne désirant postuler est priée d’envoyer les documents ci dessous CV + lettre de motivation à l’adresse suivant : groupworlddream@gmail.com NB : veuillez marquer votre lieu de résidence dans le mail. |
Avant le 15 janvier 2016, date limite des inscriptions aux examens et concours scolaires, la Directrice des examens et concours (Deco), Mme Dosso Nimaga Mariam, a, sur instruction de Mme Kandia Camara, ministre de l’Éducation nationale et de l’Enseignement technique, invité, ce lundi 21 décembre, à Abidjan-Plateau, dans une déclaration, les parents de candidats au Bepc et au Bac, à s’assurer de l’achèvement des trois principales étapes des démarches d’inscription de leurs enfants (la préinscription, le paiement des droits d’examen au trésor public et la validation à la Drenet/Ddrenet).
« Toute négligence pourrait être lourde de conséquences. Tout manquement ou retard conduira à la non prise en compte du prétendant. Aussi, les parents dont les enfants sont en classe d’examens sont appelés à se rapprocher, avant le 15 janvier 2016, délai de rigueur des inscriptions, des établissements pour s’assurer, à travers les fiches de préinscription et les fiches de candidatures, disponibles dans ces établissements, de l’achèvement des démarches d’inscription effective de leurs enfants aux examens de la session 2016 », a conseillé la directrice de la Deco.
Pour la Deco, la candidature aux examens n’est donc effective que si les trois (3) étapes susmentionnées ont été réalisées dans les délais, a précisé Mme Dosso Nimaga Mariam. Mais bien avant, la première responsable de la Deco est revenue sur les trois étapes indispensables des inscriptions aux examens et concours scolaires 2016.
L’organisation des examens scolaires est un processus complexe qui nécessite rigueur et minutie. « En Côte d’Ivoire, nous devons faire la programmation pour près d’un million de candidats et des milliers d’acteurs provenant de nombreux secteurs et déployer une logistique considérable sur l’ensemble du territoire. Le respect des délais pour la réalisation de chaque étape du processus d’organisation est donc capital », a-t-elle précisé. Et de poursuivre qu’il ne s’agit pas d’une évaluation locale, ni régionale mais nationale. « Elle engage le devenir de la nation. Le moindre retard, la moindre négligence impacte lourdement sur l’ensemble de la chaîne d’organisation. Or, les dates des examens sont fixées, connues de tous et immuables », a-t-elle insisté.
Dosso Nimaga Mariam estime, en outre, qu’il est impératif que chaque acteur, candidat, parent d’élèves, responsable d’administration jouent son rôle avec conscience, responsabilité et surtout célérité. Bien avant, la responsable de la Deco a rappelé les trois étapes principales de la démarche d’inscription.
Les étapes de la préinscription concernent tous les types de candidats (officiels et libres) et se font en deux phases…
Lire la suite sur fratmat.info
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AGENCE EMPLOI JEUNES recherche COMPTABLE STAGIAIRE Numéro de référence : ABE-3322-12-2015 Description : Gérer la comptabilité de l’entreprise maitriser les logiciels excels-word-microsoft Pour postuler, cliquez ici |
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La Banque Africaine de Développement (BAD) recrute AUDITEUR EN CHEF, OAGL.0
Objectifs Le Bureau de l’Auditeur général (OAGL.0) est responsable de la planification, de l’organisation, de la coordination et du contrôle d’un vaste programme intégré d’audit interne et externe y compris, sans s’y limiter, tous les projets et programmes du Groupe de la Banque. Le Bureau met à la disposition de tous les niveaux hiérarchiques des évaluations périodiques, indépendantes et objectives et des audits financiers, comptables, administratifs et d’autres d’activités, notamment le recensement des moyens permettant d’améliorer la responsabilité, l’efficacité des opérations et l’économie dans l’utilisation des ressources. Sous la supervision directe de l’Auditeur général, le Cabinet de l’Auditeur général est chargé de l’appuyer dans la réalisation de sa mission, en coordination avec les divisions responsables des audits financiers, institutionnels et des opérations. Fonctions et responsabilités
Critères de sélection Notamment compétences, connaissances et expérience souhaitables
Postuler en ligne Pour postuler à ce poste, vous devez être ressortissants d’un des pays membres de la BAD. Seul(e)s les candidat(e)s qui auront satisfait à toutes les exigences du poste et qui auront été retenu(e)s pour les entretiens seront contacté(e)s. Seuls les dossiers de candidature enregistrés en ligne avec un curriculum vitae (CV) complet joint seront examinés. Le Président de la BAD se réserve le droit de nommer un candidat à un grade inférieur à celui du poste annoncé. La Banque africaine de développement est un employeur garantissant l’égalité des chances, et les candidatures féminines sont vivement encouragées: www.afdb.org/jobs |
Le 17 décembre 2015, Camrail, filiale du groupe Bolloré concessionnaire du chemin de fer camerounais, a organisé une journée portes-ouvertes dans ses ateliers centraux situés au quartier Bassa à Douala, à l’intention des étudiants des grandes écoles et institutions universitaires de la capitale économique camerounaise, a-t-on appris officiellement.
Dans ce gigantesque espace dans lequel s’affairent quotidiennement plusieurs centaines de techniciens et ingénieurs, qui désossent, dépannent, assurent la maintenance de routine ou remontent les équipements servant à l’activité ferroviaire, les visiteurs occasionnels ont pu découvrir plusieurs métiers de l’activité ferroviaire.
Cette journée portes-ouvertes était organisée en levée de rideau de la célébration, le 19 décembre 2015, de la Saint Eloi, la fête dédiée au Saint patron des cheminots, apprend-on. Organisée sur l’ensemble du réseau Camrail, la Saint Eloi 2015 a été ponctuée par des activités telles que la finale du tournoi de football interservices, la prestation de serment et la présentation des nouvelles recrues, un forum avec les clients et des animations diverses.
avec investiraucameroun
Sept ans après leur entrée dans la vie active, les jeunes d’origine maghrébine ont plus de risques d’occuper un emploi précaire que les autres.
On savait déjà que les jeunes d’origine maghrébine étaient souvent victimes de discrimination à l’embauche. Une étude publiée par le Centre d’études et de recherches sur les qualifications (Cereq) montre qu’ils continuent à être pénalisés par leurs origines quand ils accèdent à un emploi, même plusieurs années après avoir rejoint le monde du travail.
Pour arriver à cette conclusion, le Cereq a suivi le parcours de jeunes de toutes origines ayant quitté le système scolaire en 2004 pendant sept ans. Son étude montre que les premières années de vie professionnelle des jeunes d’origine maghrébine sont plus fréquemment émaillées de périodes de chômage : près de 27 mois sur les sept premières années d’activité contre moins de 11 mois pour les Français nés de parents français, mais aussi les jeunes originaires d’Europe du Sud. Ils ont aussi plus de mal à accéder à un contrat à durée indéterminée : ils mettent 24 mois en moyenne contre 15 pour les Français de souche.
Différences de qualification
Cette situation est de prime abord liée aux différences de qualification. Les jeunes d’origine maghrébine présentent en moyenne de plus faibles niveaux de formation. Celles-ci ne résultent pas de leurs origines parentales mais « essentiellement » de leurs « origines socio-économiques » et de « la ségrégation spatiale », précise le Cereq : 40 % sont enfants d’ouvriers (12 % des jeunes Français nés de parents français) et 23 % résident dans des quartiers en difficulté, (contre 4 %).
Avec le temps, les conditions d’emploi des jeunes d’origine maghrébine s’améliorent cependant, comme pour les autres, Mais « elles restent défavorables comparées à celles des autres jeunes ». C’est ainsi que, sur la part des emplois à durée indéterminée, un écart de plus de 10 points subsiste avec les jeunes Français nés de parents français. Emplois temporaires, à temps partiel… L’origine maghrébine est a contrario surreprésentée dans les emplois dits de « moins bonne qualité » (emplois temporaires et temps partiels).
« Emploi de mauvaise qualité »
Les différences de qualification peuvent expliquer de tels décalages dans les toutes premières années de vie professionnelle. Au bout de trois ans, cela joue donc encore. Mais, après sept ans, durée sur laquelle a porté l’étude, l’effet d’origine devient « statistiquement significatif », constate le Cereq. « Il n’existe plus de différences de salaire à caractéristiques comparables », note-t-il, renvoyant à d’autres études. En revanche, « les jeunes d’origine maghrébine ont plus de risques d’occuper un emploi de mauvaise qualité à niveaux d’études et origines sociales comparables », souligne le centre de recherche, qui n’hésite pas à parler de « pénalité maghrébine en termes de qualité de l’emploi ».
avec lesechos
Dans ce communiqué, le gouvernement indique que les résultats complémentaires des concours directs de la fonction publique seront publiés à partir de ce 22 décembre 2015.
La publication des résultats de trois concours est prévue à partir du 22 décembre 2015. Il s’’agit de ceux des instituteurs adjoints certifiés (ENEP), des adjoints de secrétariat et des adjoints sociaux.
Soucieux du respect de l’équité et de l’égalité de chance dans l’organisation des concours de la fonction publique, le gouvernement de la Transition a décidé de traiter en toute rigueur les dossiers de recrutement dans la fonction publique.
Dans le cadre de l’organisation des concours de la fonction publique session de 2015, le gouvernement, saisi des fraudes démasquées dans l’organisation des concours, a autorisé en sa séance du 28 octobre 2015, l’annulation de neuf (9) concours, la publication des résultats des concours non incriminés et la poursuite des investigations. Six (6) concours ont fait l’objet d’investigation supplémentaire.
Les résultats des investigations ont conduit à l’annulation des concours des inspecteurs divisionnaires des douanes, des sages-femmes et des gestionnaires d’hôpitaux et services de santé.
Le gouvernement saisit l’occasion pour souhaiter bonne année scolaire à tous les admis de la session de 2015.
DCPM Ministère de la fonction publique, du Travail et de la sécurité sociale
Le président de l’Université Ouaga 2, Stanislas Ouaro, a été reconnu coupable de dénonciation calomnieuse ce lundi 21 Décembre par le tribunal et écope de 6 mois de prison avec sursis, 2,5 millions de FCFA de dommages et intérêts.
Depuis déjà quelques jours une guerre oppose le président de l’université Ouaga2 et des enseignants. la discorde est né depuis le lancement du projet FOAD. En effet depuis le lancement du projet Les promoteurs du projet, essentiellement des enseignants, et les premiers responsables de cette Université, notamment le président, se sont retrouvés à couteaux tirés, au sujet de sa gestion. Ce dernier accusant les premiers de détournements de fonds publics, tandis que ceux-ci l’accusent de dénonciation calomnieuse. Il est aussi soupçonné de vouloir écarter les initiateurs du projet, en vue de faire main basse sur celui-ci.
Le dossier porté devant le tribunal , le jugement a eu lieu le 26 octobre 2015 devant le Tribunal de grande instance (TGI) de Ouagadougou et le verdict rendu ce lundi 21 décembre 2015. Le verdict est tombé rendu ce lundi 21 décembre 2015. Le président de l’Université Ouaga 2, Stanislas Ouaro, a été reconnu coupable de dénonciation calomnieuse. Il a, par conséquent, été condamné à 6 mois de prison avec sursis, 2,5 millions de FCFA de dommages et intérêts à payer à chacun des deux plaignants (soient 5 millions de FCFA) et 500 000 FCFA à payer au ministère public. ce dernier n’entant pas en rester la en effet il prévoit interjeter appel
avec ouaga24
Les étudiants ressortissants des villes de provinces, se battent pour tenir le cap durant leur période d’étude à l’université de Bangui. Ils tiennent de petites activités comme la culture maraichère pour survivre.
Ils sont plus nombreux à découvrir cette activité qui leur permet de surmonter les difficultés liées aux études à l’université de Bangui.
Marcelin Dounian Frangodé, étudiant en Master 1 des Lettres Modernes est un jardinier sur le campus universitaire de Bangui. Il explique comment il fait pour surmonter les difficultés « après l’obtention de mon baccalauréat, je me suis inscris au département des Lettres Modernes. Avec l’avènement de la rébellion de la Séléka, mes parents ne m’ont plus soutenu. C’est ainsi que je me suis lancé dans la culture maraichère pour survivre », a-t-il expliqué.
Ce dernier fait savoir qu’il vit grâce à cette activité « c’est grâce à cette culture que j’ai payé mes frais de scolarité. J’ai aussi acheté un ordinateur pour mes travaux de recherche et je me nourri et m’habille», a-t-il ajouté.
Marcelin appelle les autres à persévérer et surtout à se lancer dans cette activité qui, selon lui permet de joindre les deux bouts « comme l’a dit La Fontaine : ‘’La terre est un trésor’’. Essayez et vous verrez, j’invite les jeunes à ne pas négliger les travaux de la terre. Ici sur le campus, cette activité permet de mieux vivre », a-t-il signifié.
Yanick Franck Kombé, un des clients de Marcelin apprécie les légumes « l’épinard que j’achète ici est de bonne qualité. C’est pourquoi je viens souvent ici », a ajouté Yanick Franck Kombé.
De nombreux étudiants se sont engagés dans les petits métiers entre autres la cordonnerie, le jardinage…
abangui
Le président de l’Université Alassane Ouattara, le Professeur Lazare Poamé place la gouvernance de cette Institution sous le signe de “l’Excellence scientifique et éthicologique au service du développement clé en tête”
Le rayonnement de l’UniversitéAlassane Ouattara Rechercher Alassane Ouattara lui tenant particulièrement à cœur, il décide que cette célébration despromus Rechercher promus duCAMES Rechercher CAMES soit inscrite dans la solennité.
Des jeunes de Kouto en France offrent une bibliothèque à leur commune Kouto– L’Union des jeunes de Kouto en France (UJKF) a fait don, vendredi, d’une bibliothèque à la mairie de Kouto. Au total 2.000 livres et documents, d’une valeur 10.000 euros (6,5 millions FCFA) ont remis pour équiper la nouvelle bibliothèque municipale, lors d’une cérémonie qui s’est déroulée à la mairie de Kouto. Dembélé Baba, vice-président de l’UJKF, a dit sa satisfaction et sa fierté pour ce que son association apporte à leurs frères restés au pays. L’imam de la grande mosquée de Kouto et le maire résidant de Kouto ont chacun remercié les donateurs. L’UJKF a déjà procédé à la distribution de 330 kits scolaires aux élèves démunis de Kouto en 2013, rappelle-t-on. (AIP)
(PCCI) – PCCI Côte d’Ivoire, un des leaders des centres de contacts externalisés et de l’expérience client en Côte d’Ivoire vient d’être récompensé pour sa contribution significative à l’emploi des jeunes sur le marché.
PCCI Côte d’Ivoire était à l’honneur au salon ivoirien de l’emploi jeune organisé par l’Agence Emploi Jeunes (Ex AGEPE) le 11 décembre 2015 à Abidjan. Ce salon qui est un cadre d’échanges annuel entre les jeunes diplômés, entreprises privées, cabinets de recrutement et de formation et organismes de l’Etat a pour objectif d’offrir des opportunités d’insertion aux jeunes diplômés. PCCI Côte d’Ivoire s’est encore distingué cette année par son recrutement massif de jeunes diplômés qui lui valu la délivrance d’un « Diplôme d’Honneur » par Mr Sidi TIEMOGI TOURE, Ministre Délégué auprés du Président de la République chargé de la promotion de la jeunesse et de l’Emploi des jeunes. Cette distinction de PCCI Côte d’Ivoire confirme son dynamisme et son leadership sur le marché des centres de contacts externalisés et de l’expérience client en accompagnant des groupes leaders en Côte d’Ivoire.
Rappelons que PCCI Côte d’Ivoire a reçu en Avril 2015, l’Award de meilleure entreprise partenaire de l’Agence Emploi Jeunes en matière de recrutement des jeunes.
A propos de PCCI Côte d’Ivoire
PCCI Côte d’Ivoire est une filiale du groupe PCCI.
Leader dans l’externalisation des centres de contact dans les marchés émergents, le groupe PCCI a rapidement émergé comme un acteur clé offrant une expérience client unifiée et personnalisée. Fondée en Septembre 2001, le Groupe PCCI a son siège opérationnel à Dubaï et dispose de plusieurs sites en Europe et en Afrique. Le groupe PCCI emploie plus de 2500 personnes.
Plus qu’un centre de contact, PCCI apporte des solutions sur mesure à valeur ajoutée à ses clients dans la gestion de leur expérience client avec une gamme complète de services délivrés dans les pays d’implantation aux Émirats arabes Unis (Dubaï), en France (Paris), au Royaume-Uni (Londres), au Sénégal (Dakar), en Côte d’Ivoire (Abidjan), au Cameroun (Douala), au Nigeria (Ibadan), en Mauritanie (Nouakchott), et en Guinée Bissau (Bissau).
Le groupe PCCI offre ses services principalement en français et en anglais et compte dans son portefeuille client des groupes leaders européens et africains dans les télécommunications, les médias, Ies banques, l’énergie, la distribution, le tourisme etc …
PCCI fait partie du groupe Teyliom Global Capital.
Plus d’informations sur www.pcci-group.com , www.teyliom.com
L’Ecole normale supérieure vient de livrer sa première cuvée de masters professionnels à travers la 20ème promotion 2015 baptisée « Martial-Rufin Moussavou ».
Cette promotion qui comprend près de 500 lauréats vient également d’ouvrir une nouvelle page de son histoire avec pour la première fois, plus de 296 titulaires des masters professionnels dans les différentes disciplines d’enseignement général. De cette nouvelle cuvée on peut retenir aussi 48 documentalistes et conseillers d’orientations, 21 conseillers pédagogiques, 24 inspecteurs pédagogiques du pré-primaire et du primaire. Enfin, la promotion « Martial-Ruffin Moussavou » enregistre 55 personnes pour le certificat d’aptitude pour l’enseignement secondaire (Capes), et 33 pour l’enseignement des collèges (Capc).
Martial-Ruffin Moussavou (photo), ministre des Mines et parrain de la de cette 20ème promotion, a recommandé à ses filleuls l’abnégation au travail notamment, la connaissance, la compétence, la rigueur, la disponibilité, l’ouverture d’esprit et la mobilité entre autres. « Le diplôme est certes important, mais il ne s’agit que d’un outil, le plus important étant ce que l’on secrète avec cet outil », a-t-il rappelé.
Créée en 1971, l’Ecole normale supérieure a connu ses premières réformes en 1993, lui conférant un statut post-universitaire. L’introduction du système LMD (Licence-Master-Doctorat) au sein de cet établissement supérieur est intervenue au lendemain des états généraux de l’éducation de 2010.
avec lenouveaugabon
Les lauréats se répartissent ainsi : 245 candidats ont été admis au 1er concours (4 figurent sur liste complémentaire), 27 candidats au 2e concours et 8 candidats au 3e concours.
15 élèves ayant suivi les classes préparatoires de l’ENM ont été admis.
La rentrée solennelle de cette promotion 2016 à la taille inégalée aura lieu le lundi 1er février 2016 à Bordeaux. Les auditeurs de justice suivront une formation probatoire de 31 mois, axée sur la pratique du métier de magistrat et ponctuée de stages. Ils prendront leurs fonctions en juridiction en septembre 2018.
Le jury des concours d’accès a entendu au total 413 candidats : 350 pour le 1er concours, 50 pour le 2e concours et 13 pour le 3e concours.
La barre (note) d’admission est cette année de 10,583 pour les 1er concours (versus 10,694 en 2014 et 10,347 en 2013) ; de 10,028 pour le 2e concours (versus 10,375 en 2014 et 10,111 en 2013) et 10,097 pour le 3e concours (versus 10,458 en 2014 et 10,694 en 2013). Malgré le nombre des admis, le jury a donc décidé de maintenir ses exigences sur le niveau des candidats.
Le directeur, Xavier Ronsin, félicite très chaleureusement les nouveaux auditeurs de justice qui intègreront bientôt l’ENM et encourage les candidats non admis à poursuivre leurs efforts pour réussir l’année prochaine !
Liste des admis au 1er concours, au 2e concours, au 3e concours
Compte rendu de l’AG Ordinaire de la CNEC du Mercredi 16 décembre 2015
1- Informations
Congrès: la CNEC remercie les enseignants-chercheurs et chercheurs pour avoir entièrement financé le congrès du syndicat.
Violence sur le campus de Cocody: la CNEC soutient la décision du conseil de l’UFHB relative à la radiation des étudiants impliqués dans les évènements ayant conduit au décès de l’un des leurs. Toutefois, elle s’oppose à la dissolution des syndicats d’étudiants car pour elle, ce serait une mesure anticonstitutionnelle.
Orientation ou réorientation de bacheliers 2015: les membres du syndicat détenteurs de la carte de membre et à jour de leurs cotisations annuelle 2015 (20.000 FCFA) sont priés de déposer leur cas (1 cas par enseignant) au siège du syndicat au plus tard le 31 décembre 2015 (délai de rigueur) pour être effectivement pris en compte.
2- HC 2013-2014, PR de décembre 2015
UFHB : HC totalement apurées le 14 décembre 2014 et PR prévues pour être payées dans la semaine du 21 au 26 décembre selon la Présidente.
UNA : HC et PR totalement apurées
UAO : HC totalement apurées et PR prévues pour être payer dans la semaine du 21 au 26 décembre selon le Président
UJLOG : il reste à payer 365 millions au titre des HC 2013-2014 et pas encore de date indiquée pour le paiement des PR de décembre 2015
UPGC : reliquat de HC 2013-2014 sur la base de listes additives d’étudiants inscrits. La promesse faite par le Président de l’université du paiement des Primes de recherche dès l’entame du mois de décembre n’a pas été respectée à ce jour.
ENS : les HC 2013-2014 et les PR de décembre 2015 ne sont pas encore payées.
3- Nouvelles PR de mars 2016 :
le décret revalorisant ces primes n’est pas encore signé à ce jour
le budget alloué ne serait pas suffisant et le gouvernement voudrait différer son paiement de trois mois selon le ministre de l’enseignement supérieur
Face à ce manque de considération, la CNEC exhorte tous les enseignants-chercheurs et chercheurs concernés par ces nouvelles primes à arrêter toutes leurs activités académiques et pédagogiques si au 31 mars 2016 (trimestrialisation) la mise en application de ces primes n’est pas effective.
4- Nouveaux taux horaires de 2016
La rentrée universitaire 2016-2017 est conditionnée par le rehaussement des taux horaires entre 10.000 et 15.000 FCFA selon les grades en lieu et place des 5.500 et 7.500 F en vigueur à ce jour, et qui datent de 1976.
5- Reliquats de salaire (décret de 2007) et la Pension de retraite dans l’enseignement supérieur
La CNEC estime que les autorités devraient s’atteler à trouver une solution définitive et heureuse à ces deux problèmes cruciaux qui vont certainement conduire à un arrêt de travail dans l’enseignement supérieur dans le courant de l’année académique 2016-2017.
Merci de faire une large diffusion de ces informations capitales à prendre en compte pour une rentrée universitaire paisible et sans interruption.
Pour le Secrétaire Général de la C.N.E.C
Le service de communication
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La Solektra Solar académie fondée par la Solekta international, auteur de l’initiative Akon Lighting Africa, a été inaugurée le 16 décembre à Bamako. Dédiée aux technologies solaires, elle formera annuellement 200 ouvriers qualifiés et ouvrira ses portes dès le mois prochain.
Dirigée par Patrice Dangang, l’académie administrera une formation théorique et pratique sur des thèmes tels que les systèmes d’électrification décentralisée en milieu rural ou la sensibilisation sur la dynamique du marché solaire. Les cours pratiques seront prodigués grâce à des équipements de simulation de pointe.
La création de cette institution permettra à l’initiative Akon Lighting Africa de disposer des ressources humaines nécessaires pour continuer son projet d’électrification de l’Afrique. A ce jour, elle est déjà présente dans 15 pays africains, principalement situés dans l’ouest du continent, et entend étendre ce nombre à 25 l’année prochaine, tout en faisant son entrée sur le marché asiatique.
« Il faut une main d’œuvre suffisamment nombreuse et qualifiée pour endiguer la crise énergétique que traverse l’Afrique depuis plusieurs années.» déclarait d’ailleurs à ce propos, Samba Bathily, co-fondateur avec Thione Niang et le chanteur Akon de la société Solektra. Il a été d’ailleurs appuyé par de dernier qui affirmait : « Les technologies solaires sont aujourd’hui rentables et peuvent être déployées massivement pour accompagner le développement économique de toute l’Afrique. Notre continent aura bientôt les moyens de tirer la croissance mondiale.».
avec agenceecofin
Il y a de ces faits qui méritent une certaine lumière, tant malgré leur côté anodin (en apparence), il s’agit d’un véritable bouleversement aussi bien au niveau des moeurs que des pratiques. Suite au partage de l’Afrique au profit des anciennes puissances coloniales à la conférence de Berlin (1885), logiquement les langues de ces puissances sont devenues langues officielles des colonies.
Par la suite, le fait est demeuré, une fois les indépendances des années 60 acquises. Or pour les tenants d’une Afrique plus « libre » (pour eux, les indépendances furent factices, le néocolonialisme remplaçant l’ancien système, Ndlr), cela passe aussi par des pré-requis comme une langue commune, ou du moins des langues africaines régionales d’obédience continentale. Ainsi, en ce qui concerne le Kiswahili – déjà parlé par des millions d’Africains de l’Est notamment – le fait que la Tanzanie décide d’en faire la langue de l’enseignement secondaire, au détriment de l’anglais, est un acte d’un suymbolisme certain.
Résumé de l’article ci-dessous : La Tanzanie laisse tomber l’anglais comme la langue d’enseignement dans le primaire et le secondaire. Cela a été annoncé à la télévision nationale par Sifuni Mchome, secrétaire permanent du Ministère de l’Éducation nationale et de la Formation professionnelle. Il a ajouté que le nouveau système supprimerait des examens nationaux pour l’école primaire, désormais, les élèves tanzaniens auront leurs examens finaux après 11 ans dans le cursus primaire et secondaire.
Autre nouvelle, l’enseignement secondaire et primaire sera totalement gratuit, en ce qui concerne les écoles gérées par l’État. La réforme vise aussi à rendre les diplomés tanzaniens déjà performants et opérationnels, dès leur sortie du nouveau cycle des enseignements. A noter que le swahili a été choisi par l’Union africaine, comme une 5 langues de travail de l’institution panafricaine, mais dans les faits, cela peine à se matérialiser*.
Dans ce contexte, une réforme de l’éducation comme celle qui a été annoncéepar les autorités tanzaniennes, et visant à favoriser une langue africaine, ne peut être suivie que de près. Dans une moindre mesure, signalons aussi le cas du Rwanda, qui en 2008, a abandonné le français comme langue de l’enseignement, mais là au profit de l’anglais.
Source : (Minsili ZANGA)
Garyland International a déjà fait sensation par le passé. Principalement au Comice agro-pastoral d’Ebolowa en 2011, au cours duquel le chef de l’Etat camerounais avait lui-même été ébahi par le jus de tapioca produit par cette société coopérative, puis par ses pâtes alimentaires baptisées «miondoninini» faites à base de farine de manioc, de patates, de macabo, etc.
Le 11 décembre 2015 au cours d’une mini-foire organisée autour du cacao par la responsable de la coopération allemande au Cameroun, le stand de Garyland a de nouveau été très couru. Non plus à cause de ses«miondonini», mais de ses Cocoa Cake ; ses «enrobés de dattes aux fèves de cacao» (commercialisés sous la marque Perles noires) dans lesquels les noyaux des dattes sont habilement remplacés par des fèves ; ou encore ses «fourrés de fèves de cacao» (commercialisés sous la marque Pralines), dans lesquelles les fèves séchées sont incorporées dans une sorte de gâteau à base de farine de patates.
C’est avec l’ensemble de ces produits que Mme Selamo (photo, en foulard), PCA de Garyland International, veut aller en croisade contre la malnutrition en milieu scolaire au Cameroun, avec le concours du ministère de la Recherche scientifique. «La malnutrition est l’une des causes de la baisse du niveau des élèves dans notre pays, mais personne n’en parle. En tant qu’antioxydant, le cacao permet de régénérer les capacités du cerveau. Ainsi, au lieu de donner des biscuits aux enfants, nous suggérons nos Pralines, qui sont des fèves de cacao enrobées à la farine de patate douce. En remplacement du chocolat, qui contient de très petites quantités de cacao, il est préférable d’offrir aux enfants des fourrés de dattes aux fèves de cacao. Ces produits sont faibles en matière grasses et en sucre», explique la PCA de Garyland.
Afin de vulgariser ces produits en milieu scolaire, la PCA et son époux de DG de Garyland International veulent lancer des cantines scolaires mobiles. L’expérience pilote, souligne-t-elle, se fera dans le département du Nyong et So’o, non loin de la capitale camerounaise, où les chefs d’établissements ont été séduits par son projet. Pour ce faire, Garyland qui bénéficie de l’appui technique du ministère de la Recherche scientifique, a mis au point un «présentoir isothermique mobile à plaques photovoltaïques».
C’est cet outil capable de conserver les produits aussi bien secs que frais à température constante, souligne Mme Selamo, qui sillonnera les établissements scolaires du Nyong et So’o (et plus tard du pays) pour faire découvrir aux élèves les trésors de la transformation locale des produits agricoles, dont le cacao qui peut se manger à toutes les sauces.
avec investiraucameroun
CIFIP RECRUTE POUR IMPORTANTE MULTINATIONALE RESPONSABLE RÉGIONAL DES ACHATS Profil recherché : – De formation Bac+4/5 Logistique ou équivalent, – Vous avez une expérience d’au moins 5 ans dans une fonction similaire. – Capacité d’analyse, esprit d’anticipation, sens de la planification, organisation, réactivité, capacité de négociation et capacité d’encadrement sont indispensables pour réussir.
INTERNATIONAL RESCUE COMMITTEE – Côte d`Ivoire RECRUTE EPIDEMIOLOGISTE Profil recherché : Formation en sciences médicales (doctorat en médecine de préférence) et/ou Diplôme en santé publique et/ou d`épidémiologie. – Expérience de travail, d`au moins 3 ans dans un contexte d`urgence – Bonne connaissance du système d`exploitation Windows et de ses Icg ciels d`application (Word, Excel, Outlook….) ainsi qu`une maîtrise des logiciels de base de données et de cartographie constituent des atouts.
Au cours d’un point de presse tenu ce mercredi, le ministère de la Justice a officiellement présenté les résultats de la phase écrite du concours de recrutement des auditeurs de justice (futurs magistrats). Sur 672 candidats, seuls 93 ont été admissibles. Me Ibrahima Béavogui, chargé de la communication du ministère de la Justice, a déploré le faible taux de réussite (environ 13%). Béavogui s’est également montré déçu du faible niveau des candidats – le premier a 13/20.
Le résultat serait un peu honorifique pour l’université guinéenne si des fictifs n’avaient pas été retirés de la liste des admis. Selon Me Ibrahima Béavogui, 39 admis fictifs ont été détectés.
Par ailleurs, les cadres du ministère de la Justice considèrent ce résultat comme l’aboutissement de « la transparence » et de la « rigueur » qui ont marqué ce concours. « Nous sommes à la recherche des hommes de qualité. La justice est un secteur très important dans le développement d’une nation. C’est pourquoi les magistrats doivent être des hommes de qualité. Nous avons donc sélectionné les meilleurs fruits de nos universités », a indiqué Mohamed Koly Camara, chef de cabinet du ministère de la Justice. Selon Camara, même des proches des magistrats et des cadres du ministère de la Justice ont été recalés pour n’avoir pas répondu aux critères de sélection.
Les 93 admis passeront l’épreuve orale du concours prévue le 11 janvier 2016. C’est cette dernière phase qui fournira les 50 auditeurs de justice à recruter cette année.
La phase écrite du concours de recrutement des auditeurs de justice s’est tenue du 24 au 25 octobre dernier à Conakry. Des candidats avaient signalé des fraudes à certains médias privés dont Guineenews. Mais leurs témoignages qui avaient aussitôt fait l’objet d’un démenti du ministère de la Justice.
avec guineenews
Prévue pour durer trois ou cinq ans au maximum, la préparation à soutenir une thèse se fait souvent en sept ou huit ans.
Beaucoup finissent souvent par jeter l’éponge. Après la licence et le Master, obtenir le troisème diplôme du triptyque LMD n’est pas aisé. C’est courant d’entendre une connaissance dire qu’elle prépare sa thèse depuis plus de six ans. Parfois au bout de huit ans, l’abréviation « Dr » n’est toujours pas ajoutée à son nom. Mais qu’est-ce qui fait problème ? « Les raisons sont nombreuses. La première cause, c’est le système mis en place. Système dans lequel, le doctorant est seulement suivi par son directeur de thèse. Et parfois, il n’est même pas le seul à être encadré par cet enseignant. Ils peuvent être 10 et même plus », explique un responsable à l’Université de Yaoundé I. Dans cette situation, explique notre interlocuteur, même si ce directeur de thèse a beau être le plus disponible du monde, il arrivera des moments où il ne pourra pas bien accompagner chaque doctorant.
Non seulement la thèse ne sera pas de bonne qualité, mais en plus, le temps de préparation va se rallonger. Pourtant, le délai de préparation d’une thèse est de trois ou de cinq ans en principe, d’après le Pr. Marcel Fouda Ndjodo, inspecteur général au ministère de l’Enseignement supérieur. Ceci avec une possibilité de prorogation de deux ans au maximum par le recteur, sur demande motivée du doctorant. Sur un autre plan, les doctorants sont aussi responsables de cet allongement de délai. Sur cette question, l’un d’eux qui a requis l’anonymat indique qu’il y en a qui ne consacrent pas la majorité de leur temps à la recherche. Ils sont des responsables de famille. Il n’y a pas souvent un choix à faire entre assurer la ration alimentaire et investir dans la recherche.
Ceux qui rédigent des thèses en anthropologie, en pétrochimie ou en biologie et qui sont obligés de se déplacer pour aller réaliser leurs recherches, loin de leurs villes de résidence, sont souvent les premiers bloqués. Ceci à cause du coût élevé du financement de la recherche.
Pour ce qui est du côté administratif en tout cas, l’inspecteur général du Minesup fait savoir que l’Etat camerounais a réorganisé la pratique en mettant en place, des Ecoles doctorales. Structures composées d’enseignants pluridisciplinaires, chargés de suivre tous les doctorants à travers des séminaires. Assises durant lesquelles, le postulant expose son œuvre devant des enseignants de rang magistral afin que ces derniers l’enrichissent. Depuis le passage à cette formule, le Pr. Marcel Fouda Ndjodo affirme que les choses se mettent en place progressivement. Les directeurs de thèse jouent toujours leurs rôles et les autres suivent également les doctorants. Mais, il reste aux postulants de jouer leurs partitions à fond.
avec camernews
Concernant le taux d’alphabétisation, le directeur général a révélé que 56,1 % de la population ivoirienne ne sait ni lire ni lire ni écrire alors que le taux d’urbanisation en Côte d’Ivoire est passé de 32 % en 1975 à pratiquement 50 % en 2014, tandis que la proportion de la population est de 24 % en 2014 alors qu’il se chiffrait à 26 % en 1998.
En tout, le nombre de personnes vivant en Côte d’Ivoire s’éleve à 22.671.331 repartis ainsi : 17.172.995 Ivoiriens et 5.492.199 non Ivoiriens.”L’on note 41,8 % de jeunes de 0 à 14 ans et 35,5 % pour les personnes âgées de 15 à 34 ans”, a-t-il relevé.Selon lui, le taux de croissance de la population est de 2,6 % comparativement à celui du dernier recensement qui était à 3,3 %, avec une densité de 70,3 %.
Cette analyse démographique qu’est le recensement général de la population et de l’habitat a aussi permis de savoir que seulement 38 % des ménages disposent d’un lieu d’aisance adéquat. Quant aux commodités des logements des ménages, 3 % des ménages ont une connexion Internet et 80 % disposent d’au moins un téléphone mobile, selon le responsable des Statistiques en Côte d’Ivoire.
“Le taux d’analphabétisme de nos concitoyens est de 44,7% selon l’UNESCO et varie selon le genre et la région. Les femmes sont la catégorie sociale la plus touchée par ce fléau”, avait déploré le Premier ministre ivoirien Daniel Kablan Duncan, lors de la célébration de la 50è Journée internationale de l’alphabétisation.
Le ministre de l’éucation nationale, elle a révélé que l’ambition de la Côte d’ Ivoire est de le faire baisser l’analphabétisme de à 35% en 2020.
Ahopol
Sources : Afrik53.com
Cette fois semble être pour de bon afin de ramener le calme dans les universités publiques du pays.
La Conférence des présidents des universités publiques de Côte d’Ivoire (Cpup-CI) , a invité mardi le gouvernement à entériner sa décision du 3 décembre portant sur la radiation deFulgence Assi Rechercher Fulgence Assi ,secrétaire général de la fédération estudiantine et scolaire de Côte-d’Ivoire (Fesci ), Fanzin Koné premier responsable de l’Association générale des étudiants et élèves de Côte d’Ivoire (Ageeci) et Aimond Zaoue de l’Institut Supérieur de Commerce de Yamoussoukro.
Pour rappel, LaFesci Rechercher Fesci et l’Ageeci se sont affrontés à l’arme blanche pour le contrôle du quai de bus de la Sotra et des chambres universitaires. Cette violence a occasionné une perte en vie humaine, celle de l’étudiant Konin Wilfried dit Dubaï, inscrit en Master 1 de Gestion et fait de nombreux blessés.
Le gouvernement a pris acte lors du dernier conseil des ministres de la proposition de dissoudre les deux syndicats et annoncé que les enquêtes étaient en cours pour retrouver les meurtriers de Wilfried Konin, afin que ces derniers répondent de leur acte devant les juridictions.
avec koaci
La Conférence des présidents des universités publiques de Côte d’Ivoire (CPUP-CI) a demandé au ministère de l’Enseignement supérieur d’entériner la décision relative à l’exclusion définitive de trois étudiants suite à des heurts entre syndicats rivaux ayant occasionné la mort d’une personne, dans une note publiée mardi.
« La CPUP-CI demande à la tutelle (…) de consolider les décisions du Conseil de l’université Houphouët-Boigny d’Abidjan, notamment le point relatif à l’exclusion définitive des trois étudiants appartenant respectivement aux universités de Bouaké (centre), Nangui Abrogoua (Abidjan nord) et à l’Institut supérieur de commerce de Yamoussoukro (Centre) », indique la note. Parmi les étudiants concernés se trouve le leader de la FESCI, Assy Fulgence
Le 20 novembre, un étudiant a été tué et six autres blessés à la suite des heurts entre la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI, principal mouvement estudiantin) et l’Association générale des élèves et étudiants de Côte d’Ivoire (AGEECI) pour le contrôle d’un quai à bus situé aux abords du campus.
A la suite de ces évènements, le Conseil de l’université d’Abidjan a décidé de renvoyer neuf étudiants et demandé l’exclusion de trois syndicalistes appartenant à d’autres universités.
Au terme d’un Conseil des ministres mercredi, Bruno Koné, le porte-parole du gouvernement a indiqué que « des enquêtes sont en cours en vue de déterminer les circonstances de la mort de l’étudiant, de poursuivre et punir les auteurs de ces faits ».
La CPUP-CI qui s’est réjouie de l’ouverture d’une enquête a invité les acteurs de l’espace universitaire, à « lutter ensemble contre la résurgence de la violence » sur le campus.
avec connectionivoirienne
Le fournisseur Emirati de solutions énergétiques Access Power a lancé avec la banque de développement allemande FMO, l’Access Power-FMO Solar Shark Compétition, un consours destinés aux initiatives dans le domaine de l’énergie solaire.
Il est ouvert aux développeurs solaires d’Afrique, d’Asie et d’Amérique Latine nécessitant un appui au développement pour rendre leurs projets économiquement plus viables.
Seront éligibles à ce concours, les participants dont les projets de centrales solaires auront une capacité comprise entre 5 MW et 50 MW et dont les études de faisabilité auront déjà été réalisées. Une première présélection permettra de désigner un carré d’as qui viendra défendre ses projets devant un comité, le 18 février 2016, lors de la conférence « Making Solar Bankable » qui se tiendra à Amsterdam.
Le gagnant obtiendra une subvention de 100 000 $, et sera directement considérér comme préqualifié pour la phase finale de la seuxième édition de l’Access Co-Developement Facility. Ce concours organisé par Acsess lui donnera la possibilité d’accéder à un financement de 5 millions ainsi qu’à un appui technique pour son projet.
La seconde édition de l’AFC est prévue pour être lancée le 18 février. Le gagnant sera connu en juin 2016. La première édition remportée par Quaint Solar Energy et Flatbush Solar a connu la participation de 55 projets venus de 18 pays.
avec agenceecofin
L’aménageur et développeur du nouveau pôle urbain Victoria, Garan, est en pourparler avec des partenaires afin d’accueillir les premiers élèves du campus scolaire Victoria de Casablanca.
«Garan comprend l’importance de mettre en place, au sein du quartier, une offre d’éducation, de santé et de commerces de proximité variés, dans l’objectif de faire de Victoria un pôle urbain intégré», indique un communiqué du groupe.
Sur une superficie de plus de 30.000 m² s’étend le campus scolaire qui accueillera plus de 1.000 élèves du préscolaire au lycée. Ainsi, les parents pourront choisir entre le système français et anglosaxon pour l’éducation de leurs enfants, dès la rentrée 2018-2019.
Ainsi, le complexe sera doté des meilleures infrastructures pédagogiques ainsi que d’équipements sportifs et culturels de premier plan. Le site comportera une piscine olympique couverte, des terrains de basketball, de tennis et de football, ainsi qu’une salle de théâtre.
Par ailleurs, Victoria offrira à ses 150 000 habitants un grand nombre d’équipements publics et privées dans les domaines de la santé, l’éducation et les loisirs ainsi que plusieurs mosquées et postes de police. Une avenue piétonne de 70 mètres de large comprendra également une zone dédiée à la restauration. Il comprendra également des équipements privées développés par Garan : une clinique privée sur plus de 15 000 m2 ainsi qu’un complexe comprenant des plateaux bureaux, une galerie commerciale et un hôtel de 3 à 4 étoiles sur une surface exploitable totale de 25 000 m2, selon la même source.
avec leseco
« Le salon vous a permis, vous jeunes de terminer l’année avec le moral et beaucoup d’espérance. Prenons donc rendez-vous pour 2016 avec plus d’opportunités ». Ce sont en ces termes que Sidi Touré, le ministre délégué auprès du Président de la République, chargé de la Promotion de l’Emploi Jeunes, a mis fin à son discours lors de la cérémonie de clôture de la 1ére édition du Salon ivoirien de l’emploi jeunes qui s’est tenu du 10 au 11 décembre 2015, à l’Espace Latrille Event des 2 Plateaux. Selon le ministre, ces deux jours de rencontre et d’échanges entre les employeurs, les entreprises et les jeunes ont été un véritable succès au vu de l’engouement des participants à ce salon car le nombre des jeunes participants est allé au delà des prévisions de 10.000 jeunes. Pour le ministre, les chiffres montrent que ce sont au total 16.813 jeunes qui ont visité le salon. « Ce salon a été un lieu d’échanges entre les entreprises et les jeunes. Cette occasion a permis à ces jeunes de savoir les exigences de ces entreprises. Prévu pour 10.000 jeunes, ce sont au total 16.813 participants qui ont pris part à ce salon. Et 43,23 % soit 7217 jeunes 7 217 jeunes ont été pris en charge avec l’affectation de conseillers emploi ou projets selon le cas, et des rendez-vous fermes ont été donnés dès le mois de janvier 2016.». Au vu de cet engouement qu’a suscité la 1ère édition, Sidi Touré a tenu à féliciter les jeunes pour leur participation massive qui s’est faite dans la discipline. Ce qui démontre, selon lui, de la maturité de ceux-ci et leur adhésion au vœu du Président de la République d’avoir « un Ivoirien nouveau». « Je tiens à féliciter les jeunes pour leur participation massive ces deux jours. Et ce, dans la discipline. Ceci témoigne de leur maturité et leur volonté d’avoir de grandes responsabilités. Vous démontrer là que le vœu d’un Ivoirien nouveau est en train de se concrétiser », s’est réjoui le ministre, tout en leur faisant la promesse de faire de son possible afin dans les mois à avenir un grand nombre de jeunes trouvent une solution pour leur insertion : « En 2016, nous ferons encore mieux (…) Vous êtes le plus grand atout de la Côte d’Ivoire. C’est pourquoi, nous serons partout où vous aurez besoin de notre aide ». Aux partenaires et entreprises, il a exprimé toute sa gratitude : « A travers votre collaboration, vous aidez le gouvernement à résoudre une priorité du gouvernement c’est-à-dire trouver des solutions à l’épineux problème du chômage des jeunes. Soyez-en remerciés ». Présent à cette cérémonie, le ministre Moussa Dosso, ministre de l’Emploi, des Affaires sociales et de la Formation professionnelle a tenu à rappeler que le chômage est un problème qui touche une grande majorité des jeunes. Il a, de ce fait, remercié toutes les parties prenantes « Je tiens à remercier toutes les parties prenantes pour les opportunités que vous offrez aux jeunes car la question du chômage des jeunes ne doivent pas se limiter aux paroles mais doivent se concrétiser par des actes tels que ce salon», a souligné le ministre. Il a, par ailleurs rendu un vibrant hommage au ministre pour son engagement dans la quête de solution au chômage : M. le ministre Sidi Touré, jeune frère, je voudrais te rendre un hommage appuyé pour ton engagement contre le chômage ». Il a notamment demandé aux jeunes de faire confiance au ministre Sidi Touré.
avec abidjan
C’est l’un des objectifs des premières assises de modernisation des études doctorales et du régime général des études.
Obtenir son diplôme de doctorat continue à rester un mirage pour de nombreux étudiants. D’ailleurs, à cause des embûches qu’on retrouve sur ce chemin, il n’est pas rare d’enregistrer une multitude de démissions de la part des apprenants, très souvent désespérés. Les plus téméraires décrochent le précieux sésame après six, sept voire 10 ans d’attente. Et parfois bien plus longtemps que cela. Et voici qu’Adolphe Minkoa She, vice-recteur chargé des Enseignements, de la Professionnalisation et du Développement des technologies de l’Information et de la Communication (Vrepdtic) à l’Université de Yaoundé II pense qu’il est possible de réduire les délais. «Nous espérons qu’avec un meilleur encadrement de doctorants, la préparation d’un thèse durera au minimum trois ans et cinq ans au maximum», déclare-t-il le lundi 14 décembre 2015 ; en marge de la cérémonie d’ouverture des premières assises sur la modernisation des études doctorales et du régime général des études.
Vivement
donc que cette perspective se matérialise en actes concrets. Pour cela, les travaux qui se sont ouverts hier et s’achèvent demain doivent donner naissance à un projet d’arrêté qui permet d’encadrer des études doctorales. «Jusqu’ici, l’école doctorale se résume à un tête à tête entre le doctorant et son directeur de thèse. Or, il est important qu’il existe une convention entre le doctorant, le directeur de thèse, l’université ; qui définira les droits et les obligations des uns et des autres», clarifie Adolphe Minkoa She. En effet, «il s’agit de donner un souffle moderne et novateur à nos écoles et au système d’enseignement en vigueur à l’université de Yaoundé II », précise Ibrahima Adamou, le recteur de l’université de Yaoundé II, dans son discours d’ouverture. Yaoundé II est sur les traces de son aînée, qui dispose d’un texte encadré à cet effet.
Si le «cycle de Doctorat est la phase ultime de la formation universitaire», il n’en demeure pas moins vrai que les travaux ouverts hier concernent également le «cadrage général du système Lmd». C’est d’ailleurs pour cela que les assises sont assises sont scindées en deux ateliers, le premier est relatif au régime des études doctorales; tandis que le second concerne le régime général des études. «Un bon arrimage au système Lmd est nécessaire. Faut-il permettre à un étudiant de franchir un niveau avec des dettes ? Élaborer un texte le plus exhaustif possible. Il sera question de proposer des solutions au maximum de questions qu’on trouve sur le terrain», poursuit le Vrepdtic. On aboutira à un régime général, dont les déclinaisons feront des textes particuliers.
La présidente de l’université Félix Houphouët Boigny de Cocody a prorogé exceptionnellement lesinscriptions Rechercher inscriptions pour lesétudiants Rechercher étudiants retardataires au titre de l’année universitaire 2014-2015, du 15 décembre 2015 au 22 janvier 2016, délai de rigueur.
Ly Ramata souligne dans un communiqué dont copie est parvenue à KOACI, que passé ce délai tout étudiant non inscrit verra son année invalidée et qu’aucune excuse ne sera tolérée.
Pour la première responsable de la plus grande université du pays, cette mesure viserait à mettre fin aux pratiques d’étudiants qui cumulent lesinscriptions Rechercher inscriptions sans passer à la caisse de la scolarité pour solder.
Ci-dessous les différents lieux d’inscriptions :
Scolarité Centrale : UFR (Unité de Formation et de Recherche) Langues, Littératures et Civilisations (UFR-LLC) ; UFR Sciences de l’Homme et de la Société (UFR-SHS) ; UFR Sciences Economiques et de Gestion (UFR-SEG) ; UFR Criminologie (UFR-CRIM) ; UFR Information, Communication et Arts (UFR-ICA) ; Scolarité Sciences Juridiques Administrative et Politique : UFR Juridique Administrative et Politique (UFR-SJAP). Scolarité Bâtiment Bokra ; UFR Mathématiques et Informatique (UFR-MI) ; UFR Biosciences (UFR-BIOS) ; UFR Sciences des Structures, de la Matière et Technologie (UFR-SSMT) ; UFR des Sciences de la Terre et des Ressources Minières (UFR-STRM) ; Scolarité Sciences Pharmaceutiques et Biologiques : UFR Sciences Pharmaceutiques et Biologiques (UFR-SPB) ; UFR Odonto-Stomatologie (UFR-OS). Scolarité Sciences Médicales : UFR Sciences Médicales (UFR-SM).
avec koaci
Comme il est donné de constater à chaque année scolaire desélèves Rechercher élèvesperturbent les cours afin d’anticiper les congés.
Depuis quelques jours plusieurs cas sont signalés dans différentes localités du pays.
Ce lundi et selon un témoin sur place , desélèves Rechercher élèves se sont rendus au collège Saint Ana situé àCocody Rechercher Cocody deux plateaux, non loin de la clinique Rema, en vue de forcer leurs camarades à ne pas prendre part au cours et contraindre la direction à anticiper lescongés Rechercher congés de Noël prévus pour la semaine prochaine.
Malheureusement pour ces derniers, leurs camarades leur ont opposé une farouche résistance en refusant de les suivre dans leur bêtise, avant que lapolice Rechercher police n’intervienne pour éviter le pire.
A en croire toujours notre source en question, trois desélèves Rechercher élèves perturbateurs ont été mis aux arrêts par les forces de l’ordre.
Le ministère de l’éducation nationale et de l’enseignement technique (Menet), devrait songer à prendre des dispositions sécuritaires, à l’approche de chaque congé scolaire, afin d’éviter les situations pareilles dans les écoles.
avec koaci
La question de l’emploi des jeunes sur le plan africain requiert l’élaboration d’une nouvelle approche, a estimé Abdelilah Benkirane, lundi à Casablanca.
Le chef du gouvernement, qui s’exprimait en marge de l’ouverture du Sommet des partenaires sociaux pour l’emploi en Afrique, organisé du 14 au 15 décembre, a toutefois noté que toutes les initiatives adoptées jusqu’à présent dans le domaine de l’emploi ont échoué non seulement au niveau africain, mais également mondial.
La problématique de l’emploi des jeunes en Afrique exige désormais une stratégie «basée sur la logique de la coopération et non pas sur le conflit entre les partenaires», a-t-il souligné. La problématique de l’emploi, a-t-il ajouté, est aujourd’hui liée à la sécurité des États et à la quiétude des peuples.
avec leseco
C’est une ambition du chef de l’Etat Alassane Ouattara de faire en sorte qu’il y ait une université dans toutes les grandes régions de Côte d’Ivoire. Et bien, celle de Man prévue depuis quelques années, va ouvrir ses portes dès la rentrée 2016-2017. L’information a été donnée par Bruno Koné, porte-parole du gouvernement ivoirien, par ailleurs Ministre de la Poste et des Technologies de l’Information et de la Communication, au terme du Conseil des ministres qui s’est tenu ce mercredi 9 décembre, au palais présidentiel du Plateau. Il a indiqué que les travaux de l’université ont commencé sur une superficie de 332 hectares dans la ville de Man. L’objectif, a-t-il ajouté, est d’accueillir le plus grand nombre possible de bacheliers nouveaux. L’université vise à terme un effectif de 20 000 étudiants. ‘’La construction se fera progressivement. La première tranche des travaux dotera l’université de Man d’une capacité d’accueil de 3 000 étudiants, puis une deuxième tranche à 7 000, une troisième à 12 000 puis une quatrième tranche complètera la capacité à 20 000 étudiants’’, a précisé le Ministre de la Poste et des Technologies de l’Information et de la Communication. Il est prévu, compte tenu surtout du potentiel en matière économique de cette région, a expliqué l’orateur, que ce temple su savoir traite principalement les thématiques suivantes : les Mines, l’Energie, les Matériaux et la Mécanique. ‘’L’université de Man comprendra quatre UFR, donc l’unité de formation, trois écoles et un institut’’, a détaillé Bruno Koné, porte-parole du gouvernement ivoirien.
abidjan.net
C’est inédit ce qui va se passer en Algérie dès ce dimanche 13 décembre 2015. Les journalistes se remettent à l’école, mais en compagnie de profanes du métier. Voilà l’idée du cycle des conférences-formations qui va s’étendre sur l’ensemble du pays au cours de l’année 2016. Elles seront ouvertes non seulement aux professionnels de l’information, mais aussi aux à l’ensemble des citoyens.
A ce sujet, le ministre de la Communication, Hamid Grine (photo), rappelle que le thème général des conférences-formations est « Connaitre les médias », avec pour slogan « le droit du citoyen algérien à une information fiable ». Le gouvernement continue ainsi de déployer son plan de formation dans le secteur des médias. « Ce cycle de formation est ouvert à tout le monde, aux journalistes et aux citoyens. Ils auront l’opportunité de connaître ce qu’est une information juste, fiable et objective », explique le ministre. Il situe alors l’enjeu de ces formations : « Après la décennie noire, les citoyens cherchent des informations sensationnelles. Le public étant friand de sensationnel, le formatage de l’opinion publique a fait que certains journaux se vendent mieux que d’autres plus fiables et plus respectueux de la déontologie. »
Le ministre parle davantage de formation-information qui « se veut didactique et accessible à un large public, avec pour objectif de fournir au simple citoyen, autant qu’à l’étudiant ou à tout autre consommateur d’informations, les instruments ou grilles de lecture des médias, qu’il s’agisse de médias lourds ou de la presse écrite, afin de lui donner les moyens de distinguer, par lui-même, le bon grain de l’ivraie ».
Le cycle de conférences-formation sera animé par les dirigeants des entreprises de presse, les cadres du ministère de la Communication, des universitaires et des experts du monde des médias. La première conférence, de ce 13 décembre, est prévue à Constantine et sera animée par le Dg de la Radio nationale, Chabane Lounakel. Ensuite viendra les formations à Oran et Alger avec des Dg de la Télévision nationale, Toufik Kheladi et le Dg de l’agence Algérie presse service, Abdelhamid Kacha.
avec agenceecofin
En dépit des efforts du président de la République Alassane Ouattara et de son gouvernement d’assainir le secteur de la fonction publique, certains individus tapis dans l’ombre continuent de faire du faux dans l’appareil de la fonction publique.
DECISIONRécemment, des documents, à nous parvenus attestent de ce qu’un haut fonctionnaire de l’Enseignement Supérieur a été démasqué au niveau de l’Université Félix Houphouët Boigny d’Abidjan. La crise postélectorale qu’a connue la Côte-d’ Ivoire n’a pas que fait des victimes physique et morale. L’administration n’a pas été épargnée, au point où, elle est infestée de fonctionnaires fictifs et indélicats.
En témoigne, l’attestation de réussite au doctorat délivrée à Sidibé Daouda qui officie dans ladite université comme Docteur à l’UFR Bioscienses. En effet, alors même que le Président de la République Alassane Ouattara avait signé une ordonnance annulant plusieurs concours de la fonction publique, truffés d’irrégularités, le Doyen de l’UFR de Bioscienses Monsieur Kouamelan Esechi Paul délivre une attestation provisoire de thèse de Doctorat au sieur Sidibé Daouda le 26 février 2011.
De fait, pendant que le Président Alassane Ouattara était au Golf Hôtel, il avait pris une ordonnance qui rendait nul tous les actes passés par les administrations aux ordres du Président Laurent Gbagbo. Sur cette base, beaucoup de concours ont été annulés et même repris. Entre autres, celui de l’ENS de 2010 qui a connu une annulation de son premier résultat en 2011.
ATTESTATIONCurieusement, certains autres résultats ont été acceptés et même suivis d’effets, car ils ont permis à certains individus au parcours douteux d’obtenir leurs diplômes et d’intégrer la fonction publique, tel est le cas de Sidibé Daouda. A toutes fins utiles, Sidibé Daouda a obtenu son doctorat le 26 février 2011 sur le thème : « caractérisation physico-chimique des amidons de cinq variétés (attiéké mossi 1, attiéké mossi 2….) cultivée en Côte d’Ivoire » en défiance à l’ordonnance prise par le Président Alassane Ouatta (CF : fac-similié). C’est ce dernier qui est actuellement en fonction à l’université Félix Houphouët Boigny de Cocody.
Au regard de tout ce qui précède, il est temps, grand temps que les autorités compétentes de la fonction publique ouvrent l’œil sur certaines pratiques pour faire la lumière sur ces cas litigieux. Il y va de la crédibilité de l’administration ivoirienne qui avait commencé à être nettoyée avec le ministre Gnamien Konan.
avec lepointsur
L’université Robert Gorbon (RGU) d’Aberdeen a annoncé qu’elle retirait à Donald Trump le doctorat honorifique qu’elle lui avait décerné, jugeant les déclarations du milliardaire américain “incompatibles” avec ses propres valeurs.
Mardi dernier, le candidat républicain à la Maison Blanche, Donald Trump, avait réclamé de barrer l’entrée des musulmans aux États-Unis. Ces propos, quasiment condamnés dans le monde entier, ont conduit à la déchéance de son titre. “Dans le cadre de la campagne électorale américaine, M. Trump a fait un certain nombre de déclarations entièrement incompatibles avec l’esprit et les valeurs de l’université”, a notifié un porte-parole de la RGU ; avant d’ajouter : “En conséquence, l’université a décidé de lui retirer son doctorat honorifique”.
D’ailleurs, dans la journée, une pétition lancée sur le site 38 Degrees pour que cette distinction lui soit retirée avait recueilli plus de 70.000 signatures.
Propriétaire de deux terrains de golf en Écosse, Daniel Trump, dont la mère était écossaise, était docteur honoraire de l’université depuis 2010.
Avec AFP
LES NATIONS UNIES NE FONT PAYER AUCUN FRAIS A QUELQUE ETAPE QUE CE SOIT DU PROCESSUS DE RECRUTEMENT (DEMANDE D’EMPLOI, ENTRETIEN D’EMBAUCHE, TRAITEMENT DES DOSSIERS OU FORMATION). LES NATIONS UNIES NE SINTERESSENT NULLEMENT PAS AUX INFORMATIONS RELATIVES AUX NUMEROS DE COMPTES BANCAIRES DES DEMANDEURS D’EMPLOI.
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L’ONUCI
recrute pour le Secrétariat des Projets à Impact Rapide de la section des Affaires Civiles UN(E) ASSISTANT(E) ADMINISTRATIF(VE) AVIS DE VACANCE DE POSTE TEMPORAIRE
SEUL(E)S LES CANDIDAT(E)5 PRESELECTIONNE(E)S SERONT CONTACTE(E)S, AVANT LE JOUR DE L’ENTRETIEN. LES PIECES ET DOCUMENTS REQUIS POUR LE POSTE, Y COMPRIS UNE ATTESTATION ET/OU UN CERTIFICAT DE TRAVAIL ❑ECRIVANT LES FONCTIONS ET LES TACHES EXECLITEES, SONT VERIFIES PAR L’UNITE DE RECRUTEMENT, AVANT LE JOUR DE L’ENTRETIEN.
I- PRINCIPALES FONCTIONS ET RESPONSABILITES
La Mission de l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI) est en phase de déflation. L’extension du poste est sujet à l’approbation du budget.Ce poste est à pourvoir jusqu’au 30 Juin 2016 au sein du Secrétariat des Projets à Impact Rapide de la section des Affaires Civiles de l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI).
Sous la supervision générale du Coordinateur du Secrétariat des Projets à Impact Rapide, l’Assistant(e) Administratif (ve) sera responsable des tâches suivantes :
Activités :
QIPs et Projets « Outreach »
II. COMPETENCES ET QUALIFICATIONS REQUISES
DOCUMENTS REQUIS
Les dossiers de candidatures doivent être envoyés à l’adresse suivante :
Prière de mettre en objet, la référence suivante :
ONUCl/GS/2015/054 — UN(E) ASSISTANT(E) ADMINISTRATIF(VE)
Les dossiers de candidature ne portant pas cette mention ne seront pas acceptés.
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Il précise que les travaux de l’Université ont commencé sur une superficie de 332 ha dans la ville et elle démarrera ses premiers durant l’année académique 2016-2017.
Comme la construction se fera progressivement, la première tranche des travaux dotera l’Université de Man d’une capacité d’accueil de 3000 étudiants.
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Toujours au titre de l’enseignement supérieur, le gouvernement a adopté un décret portant création, attribution, organisation et fonctionnement d’un établissement public administratif dénommé Université virtuelle de Côte d’Ivoire (Uvci).
Enseignement supérieur: 3000 étudiants attendus à l’université de Man en 2016
Le Conseil des ministres de ce mercredi 9 décembre a adopté un projet de décret portant création, attribution, organisation et fonctionnement de l’Université de Man dont les portes seront ouvertes pour la rentrée 2016-2017. L’information a été donnée par le porte-parole du gouvernement, le ministre Bruno Koné, lors de son point-presse habituel d’après Conseil des ministres.
« Les travaux de construction sont en cours et avancent bien. Il est prévu, compte tenu du potentiel de cette région en matière économique, que cette université traite principalement les thématiques des mines, de l’énergie, des matériaux et de la mécanique. Elle comprendra donc quatre Unités de formation et de recherches (Ufr), trois écoles, un institut et va accueillir dans un premier temps 3000 étudiants », a dit le ministre Bruno Koné précisant qu’elle est programmée pour recevoir 20.000 étudiants à terme.
Toujours au titre de l’enseignement supérieur, le gouvernement a adopté un décret portant création, attribution, organisation et fonctionnement d’un établissement public administratif dénommé Université virtuelle de Côte d’Ivoire (Uvci). Cela a pour objet d’apporter une réponse plus efficace à la question de l’amélioration de la qualité de l’offre de formation au niveau du supérieur et une autre au déficit infrastructurel, et en matière d’encadrement des étudiants.
Enfin, le conseil a enregistré une communication relative aux violences survenues à l’Université Félix Houphouët-Boigny de Cocody entre deux syndicats rivaux.
Selon le porte-parole du gouvernement, le bilan est de un mort et six blessés. En attendant que les enquêtes livrent leurs résultats, « le gouvernement prend acte des décisions de suspension des syndicats prises par les conseils des Universités. Le moment venu, il se prononcera sur le sort à réserver à ces mouvements.»
Poursuivant, il a indiqué que le gouvernement comprend le besoin d’avoir des associations, des comités d’amphithéâtres qui défendent les intérêts des étudiants mais, « comprend moins bien les raisons qui ont pu amener aux affrontements et tous les débats politiques qui animent la vie de ces syndicats.»
Toutefois, il a signifié que le gouvernement continuera de travailler sur tout ce qui peut améliorer les conditions de vie et d’études sur les campus universitaires.
avec fratmat
Des étudiants ont violemment manifesté, vendredi, à l’Université Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan Cocody pour dénoncer les décisions du Conseil de l’Université qui radient notamment une dizaine d’étudiants, accusés d’être à l’origine des événements qui ont fait récemment un mort.
«Les cours ont été perturbés ce matin. Des véhicules administratifs dont celui qui appartiendrait au Secrétaire général de l’Université ont été saccagés», a expliqué un étudiant du département d’histoire.
Cette situation a occasionné l’interruption des cours et nécessité une forte présence de policiers sur le campus
A la suite d’une série d’affrontements survenus les 18 et 19 novembre derniers entre des étudiants se réclamant de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI ) et l’Association générale des élèves et des étudiants de Côte d’Ivoire (AGEECI), plusieurs blessés et un mort ont été enregistrés.
Le Conseil de l’Université Félix Houphouët-Boigny a sanctionné, jeudi, une dizaine d’étudiants parmi lesquels les Secrétaires généraux des deux mouvements qui sont exclus définitivement des universités publiques.
Auparavant, ce Conseil avait suspendu les activités des syndicats d’étudiants et demandé la dissolution de la FESCI et de l’AGEECI. Le calme est revenu au sein de l’université où un important dispositif sécuritaire est déployé.
La réaction du RDR:
Le mercredi 1er avril 2015, le RDR (Rassemblement Des Républicains), avait par ma voix, fait un communiqué pour demander la dissolution pure et simple de la Fesci.
En effet, des mouvements déclenchés depuis début mars 2015 par la FESCI ont connu leur point culminant le lundi 23 mars 2015 par l’assassinat à l’arme blanche d’un élève à Abobo et au décès accidentel d’un autre élève qui, sorti des classes suite à la grève déclenchée par la FESCI, a été mortellement percuté par un véhicule à San Pedro. En plus de ces morts, le RDR a noté la destruction totale du Lycée Moderne de Bonon et de tous les documents pédagogiques et administratifs de ce Lycée. Dans le même temps, le Lycée Moderne de Biankouma, qui avait été réhabilité par le Président de la République SEM. Alassane Ouattara, a été complément saccagé.
Face à ces dérives inacceptables, le RDR avait, dans son communiqué, recommandé au Gouvernement de tirer toutes les conséquences qui s’imposent en procédant à la dissolution pure et simple de la Fédération Estudiantine et Scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI).
Les mercredi 25 et jeudi 26 novembre derniers, deux syndicats estudiantins, la FESCI et l’Association générale des élèves et étudiants de Côte d’Ivoire (AGEECI), sur la question de la gestion des cités universitaires se sont affrontés. La conséquence de cet affrontement, c’est qu’il y a eu encore mort d’homme, l’étudiant Wilfried Konin est décédé à la suite de ces affrontements.
Pour éviter que ces faits qui nous rappellent des mauvais souvenirs, les Autorités académiques de l’Université (le Conseil de l’Université) ont pris la décision de suspendre toutes activités syndicales dans le milieu estudiantin et de radier Fulgence Assi de la FESCI et Fanzin Koné de l’AGEECI ainsi qu’une dizaine d’étudiants considérés comme les instigateurs des dernières violences survenues sur le campus de Cocody.
En réponse à cette décision saluée unanimement par l’ensemble de la société civile ivoirienne et par les parents d’élèves, des étudiants se réclamant de la Fédération estudiantine et scolaire (FESCI), ont commencé à paralyser le fonctionnement des Universités, Collèges et Lycées.
Tout en saluant la décision du Conseil de l’Université, nous condamnons avec la dernière énergie ces actes barbares qui n’honorent pas le temple du savoir.
Nous demandons au Conseil de l’Université de rester ferme sur sa décision et au Gouvernement de prendre les mesures appropriées pour éviter les perturbations dans les Universités, Grandes écoles, Lycées et Collèges.
Nous demandons à tous les parents d’élèves et d’étudiants de prendre leurs responsabilités en inculquant à leurs enfants les véritables valeurs qui feront d’eux des cadres de demain. L’Université n’est qu’une étape dans la vie.
Le Ministre Joël N’GUESSAN
Secrétaire Général Adjoint chargé de la Communication, Porte-parole du RDR
avec APA
Il conviendrait de se demander quel mauvais sort s’abat sur l’école ivoirienne en générale. Malgré les efforts de la Minsitre Kandia avec le projet « zéro grossesse », rien ne semble changer dans le sens d’une amélioration. La situation mérite qu’on s’y penche, on n’est pas loin de l’état d’urgence à l’école !
Moins de 4 mois après la rentrée scolaire effectuée le 21 septembre 2015, le département d’Agboville dans la région administrative de l’Agneby-Tiassa compte 87 cas d’élèves enceintes. La directrice régionale de l’éducation nationale a donné ces chiffres lors d’une conférence qu’elle donnait sur le thème : « grossesses précoces, quelles solutions ». « Ce chiffre de 87 élèves enceintes ne concerne que les déclarations faites dans le département d’Agboville. Il ne concerne donc pas Tiassalé, l’autre département de l’Agneby-Tiassa » a précisé la directrice régionale. Les chiffres sont réellement alarmants. En 2013-2014 avec le lancement d’une campagne nationale contre ce fléau l’effectif est passé à 4035 grossesses. L’année scolaire écoulée, 2014 -2015, ce sont 3828 cas qui ont été répertoriés.
Lancer des programmes de sensibilisation c’est une piste mais, trouver les causes de ces grossesses répétées seraient certainement plus efficaces. A quoi les jeunes élèves s’intéressent aujourd’hui ? Leurs études les préoccupent de moins en moins. Les responsabilités sont à situer, et chaque branche du système éducatif devrait se sentir concerné par ce phénomène, ainsi que les parents d’élèves.
avec imatin
La Banque Mondiale recrute des Stagiaires Africains
Le Groupe de la Banque mondiale offre de stages des personnes très motivées l’occasion d’améliorer leurs compétences tout en travaillant dans un environnement diversifié. Les stagiaires trouvent généralement que l’expérience soit enrichissante et intéressante.
Pour être admissible au stage, les candidats doivent posséder un diplôme de premier cycle et déjà être inscrits à un programme d’études supérieures à temps plein (obtention d’un diplôme ou d’un doctorat Maîtrise avec l’intention de retourner à l’école dans à temps plein). Généralement, les candidats retenus ont terminé leur première année d’études supérieures ou sont déjà dans leurs programmes de doctorat.
Ce stage vise généralement des candidats dans les domaines suivants: économie, les finances, le développement humain (santé publique, éducation, nutrition, population), sciences sociales (anthropologie, sociologie), agriculture, environnement, développement du secteur privé, ainsi que d’autres domaines connexes. La Maîtrise de l’anglais est nécessaire. Il faut aussi une expérience pertinente de travail, compétences en informatique, ainsi que la connaissance des langues telles que le français, espagnol, russe, arabe, portugais et chinois sont avantageux.
Le Groupe de la Banque verse un salaire horaire à tous les stagiaires et, le cas échéant, verse une allocation pour les frais de voyage. Les stagiaires sont responsables de leurs propres logements d’habitation. La plupart des postes sont situés à Washington, DC (certains postes sont offerts dans les bureaux de pays) et ont une durée minimum de quatre semaines.
Le stage du Groupe de la Banque mondiale est offert pendant deux saisons, et les demandes sont acceptées pendant les périodes suivantes:
Stage d’été (Juin-Septembre)
La période d’inscription pour le stage d’été du 31 Décembre au 1 Janvier de chaque année.
Stages d’Hiver (Décembre-Mars)
La période d’inscription pour le stage d’hiver est du 1er au 31Octobre . Toutes les demandes doivent être soumises en ligne. Les demandes présentées après la date limite ne seront pas considérées.
Liste de contrôle
La liste de contrôle de l’application est destinée à faciliter votre expérience de l’application.
Vérifiez que vous utilisez soit Google Chrome, Mozilla Firefox, Apple Safari ou Internet Explorer 10 ou plus que la version de votre navigateur.
Vous serez invité à créer un compte et fournir une adresse e-mail.
Vous devez remplir votre demande en une seule session et sera en mesure de le soumettre seulement si vous avez téléchargé tous les documents nécessaires et répondu à toutes les questions (toutes les questions marquées d’un astérisque – * – sont obligatoires).
Fournir des informations de contact les plus courant.
Assurez-vous que vous avez correctement orthographié votre adresse e-mail, puisque ce sera notre principal canal de communication avec vous au sujet de votre candidature.
Rappelez-vous de saisir votre numéro de téléphone complet (code du pays + code de la ville + numéro).
S’il vous plaît joindre les documents suivants (obligatoire) avant de soumettre:
Curriculum Vitae (CV)
Déclaration d’intérêt
Preuve d’inscription à un diplôme d’études supérieures
Remarque: Chaque fichier ne doit pas dépasser 5 Mo, et devrait être dans l’un des formats suivants: .doc, .docx, .pdf ou
Une fois que vous soumettez votre demande, vous ne serez pas en mesure de faire d’autres changements / mises à jour.
Pour visiter le site officiel des Offres de Stage de la Banque Mondiale, CLIQUEZ ICI
Pour soumettre votre demande : CLIQUEZ ICI
Les services de la scolarité de l’université Felix Houphouët-Boigny de Cocody (Est d’Abidjan, la plus grande de Côte d’Ivoire), devraient rouvrir mardi après avoir été ravagés samedi par un incendie, a annoncé la présidente Ly Ramata dans un entretien à ALERTE INFO.
“Les services de la scolarité seront ouverts mardi matin”, a indiqué Mme Ramata, après “une réunion de crise” au cours de laquelle il a été décidé la réhabilitation immédiate des locaux de la scolarité qui “ne pouvait attendre “.
“Ces travaux de réhabilitation démarrés samedi sont prêts et le personnel pourra reprendre du service après trois jours d’interruption”, a-t-elle insisté, précisant que “le matériel et la documentation ont été sauvés en partie, par des éléments de la police avant l’arrivée des pompiers”.
Samedi, un incendie avait ravagé les locaux de la scolarité vers 04h00 GMT, à la suite de manifestations d’étudiants sur le campus aux cours desquelles les vitres de la voiture du secrétaire général de l’université avaient été brisées.
Ces évènements se sont produits après la décision du conseil de l’université de dissoudre la Fesci et l’Ageeci, les deux principaux syndicats estudiantins dont les affrontements mi-novembre avaient été à l’origine de la mort d’un étudiant en Master 1 de Gestion, Christian Wilfried Konin.
La présidence de l’université de Cocody va “proposer un nouveau mode” de fonctionnement dans le milieu universitaire après consultation avec les présidents des autres universités, a souligné Mme Ly Ramata.
Dans un communiqué, pondu par l’Association des élèves et étudiants de Côte d’Ivoire (Ageeci), le syndicat étudiant dénonce la radiation de 6 de ses membres, l’arrestation de cinq de ses membres qui sont jusqu’à ce jour détenus à la Maison d’arrêt et de correction de Côte d’Ivoire (Maca).
« Suite aux évènements du 19- 11 – 15, cinq (05) étudiants membres de l’Agecci ont été arrêtés et sont encore détenus à la Maca (Maison d’Arrêt et de Correction d’Abidjan). »Mentionne d’entrée le communiqué. Doumbia Abdoul Karim, le secrétaire à l’organisation de ladite association qualifie d’injuste cette décision des autorités ivoiriennes, en rappelant qu’aucun acte de vandalisme n’a été commis.
Bien au contraire, l’Ageeci a appelé ses membres et l’ensemble des élèves et étudiants à rester calmes. Parce que soutien-elle « l’Ageeci n’a posé aucun acte de vandalisme parce qu’elle accorde de l’importance aux méthodes pacifiques de résolution des problèmes. » Par ailleurs, le syndicat étudiant s’est prononcé aussi bien sur la réunion ténue par le conseil de l’université que de la radiation de 6 étudiants, membres de l’Ageeci.
« En outre, le 03 – 12 – 15 s’est ténu un conseil d’université à la suite duquel six (06) étudiants membres de l’Ageeci ont été radiés. Etant donné qu’il y a possibilité d’appel auprès du ministère, l’Ageeci compte exploiter cette piste légale afin que ceux-ci soient réintégrés. » Renchérit le communiqué. Non sans faire la précision suivante. « Quant aux actes de vandalisme perpétrés sur l’espace universitaire après les décisions du conseil, elle n’est mêlée ni de près ni de loin à cela. »
Au demeurant, elle condamne ces actes de vandalisme qui n’honorent aucunement notre prestigieuse institution universitaire. Elle profite pour lancer un appel à tous les étudiants de rester calmes afin d’exploiter toutes les voies judiciaires. Conclu-t-elle.
Ce communiqué de l’Ageeci intervient après les derniers développements des évènements sur l’espace universitaire, relatifs à l’incendie de la scolarité dont les auteurs n’ont pas encore été identifiés.